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FUCK YOU BILL MURRAY

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Messages posté(e)s par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. Beowulf m'avait bien cassé les burnes et le film était outrageusement laid.

    Là, c'est quand même une autre classe. Superbe reconstitution du London XIX, respect de l'univers et de la noirceur du conte, un Jim Carrey étonnant qui sait s'en tenir à son/ses rôles, conférer une vraie richesse et profondeur au personnage principal qu'il interprète.

  2. Le rapprochement je ne suis pas sûr. Faut quand même comprendre que plus tard la terre va être peuplé de gros connards plein de thune. d'ailleurs le scénario est quand même rempli de conneries qui m'ont fait mourir de rire. Trouver 400 000 connards par Arche qui peuvent payer 1 milliards d'€ faut le faire.

    Le coups des "riches qui ont un cœur" aussi, et qui ouvrent les portes.

    N'importe quoi !

     

    (y compris le chien ! un comble, moi j'aime bien les chiens)

     

    BAH POURQUOI TU T'APPELLES PAS BLACK DOG BONES ALORS?

    Parce que BLACK CAT BONES, le nom trouve ses racines dans les croyances Voodoo, et que acquérir des os de chien noir ne te donnera aucun pouvoir magique !

  3. Ah ça, si tu voulais du scénario, fallait vraiment pas aller voir ce film. Tout le monde le savait

    Évidemment, j'avais aucun espoir, mais merde, ils pourraient quand même faire un effort, avoir un peu de respect pour les gens à qui il reste quelques neurones, ça devient vraiment insultant.

     

    A quoi ça sert de faire un film qui raconte le rapprochement de la race humaine dans le futur si tu n'es même pas capable de respecter la race humaine dans le présent ?

     

    En plus, ça charcle même pas tant que ça.

  4. "Ça démoule de partout" ?

    Putain, les 2h30 les plus loooooooooooooooooooongues de ma vie. totale repompe du scénar de La Guerre des Mondes de Spielberg (père loser, le gamin qui hait son père, famille décomposée qui va se recomposer devant le cataclysme), mais sans l'émotion. Et sans le savoir-faire actionner. Le tout 10 fois plus guimauve (chaque personnage secondaire de merde a droit a sa petite scène d'adieu, arghhhh) et bourré de symbolisme-bulldozer (Noah/Noé, n'en jetez plus).

     

    Mais le pire, c'est que le film dure 2h30, tout ça pour nous raconter l'histoire de gens dont on souhaite la mort au bout de 10 minutes (y compris le chien ! un comble, moi j'aime bien les chiens), alors qu'un petit film d'1H15 montrant "simplement" la fin du monde, sans scénar', aurait été plus efficace. C'est ça le plus fou, en fait, le film est bâti sur 30 minutes de scènes de destruction, et pour le montrer, Emmerich se retrouve à tourner deux heures de films avec des personnages que même lui semble mépriser.

    Emmerich devrait plutôt faire des petits "films-spectacles" en 3D pour parc d'attractions au lieu de nous emmerder avec des "histoires" qu'il peine à raconter.

    Au final, une très bonne comédie involontaire.

    Effarante tout de même.

     

    CHIANT COMME LA MORT.

    Heureusement qu'on avait des invits.

  5. Grosse déception pour moi.

     

    Première demi-heure vraiment bestiale, mise en scène impeccable comme le brushing de la Reine d'Angleterre, puis... ça stagne... Le personnage n'évolue quasiment plus, ne fait plus que se transformer... et puis l'Italie... on s'ennuie.... on est un peu perdus mais on s'en fout tout en se disant "j'espère que la fin c'est pas qu'on va se rendre compte que"

    Et puis si, on se rends compte que...

    Tout ce qu'on redoutait arrive.

    Avec le recul, on se rends compte de la maigreur du script. Sans déconner, De Van n'a jamais vu de films fantastiques de sa vie pour écrire des trucs aussi bateaux ?

    D'autant plus déçu que j'avais adoré Dan Ma Peau.

  6. Vu hier.

     

    Mon seul problème vis à vis de ce film. Problème vraiment grave, rédhibitoire à mes yeux :

     

    - On ne croit pas à l'histoire, au pitch de base, au contexte.

    Ok, il y a eu un virus, ok, on a pas de sous pour montrer des villes décimées, en feu, mais il n'en reste pas moins qu'à aucun moment en tant que spectateur, on s'immerge dans l'idée qu'une grosse partie de la population a été décimée.

     

    - On ne croit pas non plus aux acteurs.

    Que ce soit les gentils ambulanciers comme la bande à Alain Bashung des bois, ça sur-joue, ça sous-joue, mais à aucun moment on croit à ces personnages.

     

    En regardant ce film, impossible de CROIRE à l'histoire qu'il me raconte, je ne faisais que penser aux conditions de tournage, aux gens qui étaient derrière la caméra, hors-champs, tant ce que je voyais à l'écran me semblait complètement artificiel.

     

    Drôle de sensation...

  7. Il y a dans 10 minutes de KEANE l'intensité de toute de la filmographie des Frères Dardennes.

    "Dardennes with guts" on pourrait écrire sur la jaquette du DVD.

    Et tellement plus.

    Ce film on se le prends en pleine face, pourtant à aucun moment il ne se laisse facilement saisir. Au spectateur de se démerder avec les images, les sensations, les émotions, cette histoire blindée de zones d'ombres.

    J'avais un peu tiqué sur CLAIRE DOLAN, l'avant dernier Kerrigan, qui jouait des mêmes principes, mais avec tellement moins de maestria... Celui-là est un vrai bloc, qui, il est vrai, nécessite largement plus qu'une simple vision...

  8.  

    Des années que je me trainais ce film sur mon disque dur sans jamais avoir eu envie de le voir. Peur de voir un film français casse-bonbon, psychologisant à mort, bourré de dialogues et d'acteurs qui jouent mal, un faux film de genre qui contourne sans arrêt le genre.

     

    Contre toute attente, j'ai vachement aimé.

    Une fois qu'on s'est fait à l'idée qu'on ne verra pas un "vrai" film de zomblards, on rentre petit à petit dans un univers subtilement étrange où la tension nait de détails, où le malaise se diffuse sans qu'on arrive vraiment à savoir pourquoi.

     

    J'étais au début très gêné par ces morts-vivants tout propres, mais quand j'ai compris que c'était un film sur le deuil, qu'en quelque sorte les morts revenaient parce que les vivants ne voulaient pas les laisser partir, qu'ils revenaient tel que nous nous souvenions d'eux (une belle idée pìquée à Stanislas Lem / Tarkovski), j'ai commencé à vraiment apprécier le film, non pas comme un sous-Romero intellectualisant, mais comme une métaphore.

     

    Au final, le résultat est vraiment très original et est loin d'être aussi chiant que sa réputation le laisse paraitre. Vers la fin, ce qui était un film français un peu étrange dans veine de certains Resnais ou de Poljinsky (Malville) se paie même le luxe de verser dans le film de genre pour un final

    la fuite des morts, les sous-terrains, les attentats

    vraiment étonnant et émouvant.

     

    Voilà.

    Vous pouvez me découper en morceaux maintenant

  9. J'avais adoré le premier, vraiment court, rythmé, pas un gramme de graisse.

    Je m'attendais à rebelotte pour le 2, mais dès le début c'est... très mou (par rapport au premier, j'entends), y'a plein de scènes où ça jacte, pleins de scènes qui ne font pas vraiment avancer le récit (contrairement au un qui avait au moins une trame), il n'y a plus aucun enjeux (c'est quoi ce super méchant de merde ? le niak décoloré, putain mais va te rhabiller), tous les défauts du 1er se retrouvent dans le 2, le premier était fièrement vulgaire, mais le deuxième sent trop le forcé outrancier... La scène de cul m'a super gavé. "Ça vous a plus dans le premier ? On va faire pire dans le deux". Ah merde alors, je m'y attendais trop pas, hey dis donc.

    Et toutes les scènes fonctionnent comme ça.

    Bref, super téléphoné, super prévisible dans ses excès.

     

    Seule la scène Kaiju m'a vraiment sorti de ma torpeur.

    C'est peu.

    Bref, sans moi pour le trois.

  10. LITTÉRATURE (SF TOUT SPÉCIALEMENT)

    MAUVAIS GENRE | ENTRETIEN AVEC MIRCEA CARTARESCU | MERVYN PEAKE | 07 11 2009

     

    PHILIP K. DICK | MYSTIFICATION ET PSYCHOSE | FRANCE CULTURE

     

    ALAIN DAMASIO | INTERVIEW SALLE 101 | FRÉQUENCE PARIS PLURIELLE | 2006

     

    MAURICE DANTEC | INTERVIEW SALLE 101 | FRÉQUENCE PARIS PLURIELLE | SEPTEMBRE 2006

     

    CINÉMA

    PROJECTION PRIVÉE | ENTRETIEN AVEC ALAIN CAVALIER | 07 11 2009

     

    http://radiokilledthevideostar.wordpress.com/2009/

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