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Jeremie

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Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. Ce nouveau "petit" Far Cry a vraiment tout de la suite de flemmard : en gros, ça se passe 17 ans après le 5ème volet (et une apocalypse par dessus), ce qui veut dire même map mais avec de jolis couleurs et des méchants avec des tatouages et des casques de motos. Voilà Je me plains pas, j'avais adoré l'ambiance de Hope County et je trouve ça très chouette d'y replonger sous un autre angle (on reconnait certains lieux visités dans le 5). Le jeu sent toujours la sciure de bois, y'a de gentils toutous, des combats nerveux...on sait pourquoi on vient, et c'est pas pour un gros Far Cry hyper novateur.
  2. Après plusieurs versions signées AT Games, la Mini Megadrive officielle est enfin annoncée pour la rentrée prochaine. C'est un peu tard et beaucoup vont sans doute s'en foutre : non seulement à cause des sous-versions déjà disponibles mais aussi à cause de la ressortie de Sega Megadrive Collection sur consoles...mais bon perso je l'attendais au tournant la liste des jeux sur les versions officielles était bof et le design des manettes était atroce. Là au moins, c'est du produit officiel et ça donne envie (et avec un peu de chance, y'aura aussi une version crackée comme pour les NES). Sur les 40 jeux proposés, seulement 10 annoncés pour le moment : Sonic the Hedgehog Ecco the Dolphin Castlevania: Bloodlines (Castlevania : The New Generation) Space Harrier II Shining Force Dr. Robotnik's Mean Bean Machine ToeJam & Earl Comix Zone Altered Beast Gunstar Heroes
  3. Jeremie

    The OA (2016) Netflix

    Alors qu'on pensait la série quasi abandonnée (c'était il y a presque 4 ans !), la saison 2 déboule avec en plus l'initiative de ne pas s'arrêter là ! Une chose est sûre : c'est que la S1 paraît très très loin maintenant... A la manière de la S2 de Leftovers, la série redistribue les cartes, fout la tête à l'envers, va jusqu'à développer sa propre mythologie (avec une vague tentation lovecraftienne), faisant de San Francisco une sorte de ville énigme... Saut entre les dimensions, manoir façon rubik's cube, visions prémonitoires...les ambiguïtés sont levées, mais au moins, on débouche vers un délire vraiment imprévisible et flamboyant. Et en plus il y a Irene Jacob Une bonne claque et cette fin...
  4. Jeremie

    Broad City (2014-2019)

    Ah oui c'est génial ça La comparaison avec Girls est facile (portraits de meufs sans concessions + NY) mais la série de Lea Dunham n'avait pas forcément vocation à faire rire (ou alors très jaune). Alors que Broad City est vraiment loufoque de ce côté là Je suis pas allé au delà de la S3, sans doute parce que je regarde presque plus de séries hors Netflix, mais j'ai vraiment le souvenir d'un truc survolté et très drôle où rien n'arrêtait les deux actrices. D'ailleurs Ilana avait tenté une mini-série qui s’appelait Time Traveling Bong (tout est dans le titre), mais j'avais moins accroché il me semble
  5. Au bout du 4ème, faut croire que c'est vraiment une licence qui se contente de peu... Le 3 était pas très excitant, tant visuellement que pour le reste, et là on sent que des petites choses ont été amélioré : il y a plus d'effets gores (les corps à corps !) et plus de liberté pour le joueur...Mais à côté de ça, c'est toujours aussi solennel et mou du cul dans le ton et l'esthétique, les maps sont très vides et pas très belles (ça se passe en Italie pourtant, y'avait du potentiel...), c'est techniquement très bof...en fait il ne reste la satisfaction de buter des nazis et du fameux concept hyper satisfaisant avec les mutilations façons rayons X. On dira que ça suffira pour le peu de temps à que ça divertit...
  6. Et je continue, sachant que ceux qui me restent sont ceux qui m’intéressent le moins... Sonnie's Edge : Esthétiquement ça bouffe à la tous les râteliers : y'a du Millenium, du Kaiju Eiga, du Bioshock...mais ça se suit, c'est violent, bien mené. When The Yogurt Took Over : Rigolo mais ça s'oublie quand même très très vite... Beyond the Aquila Rift : Le personnage de la blonde est étrangement mieux modélisé que les autres, mais putain y'a vraiment des plans où on jure voir une véritable actrice ! Sinon c'est pas mal, sympathiquement cul et la fin à la Clive Barker vaut le détour The Dump : On dirait un Pixar écrit par des mecs de Fluide Glacial. J'aime bien Secret War : C'est plastiquement ouf et le côté Starship Troopers soviétique à la sauce fantastique n'est pas désagréable, mais la mise en scène est vraiment à côté de la plaque. Dommage...
  7. Les Wilson partent retrouver leur maison de vacances sur la côte californienne. C'est là-bas qu'Adelaide, la mère, a laissé un très mauvais souvenir de son enfance, près de la plage de Santa Cruz. A la nuit tombée, quatre personnes se présentent sans un mot devant la villa : tapis dans l'obscurité, il s'agit des doppelgängers des Wilson... Considéré aussi bien comme le nouveau Carpenter ou le nouveau Craven (c'est dire le niveau d'exigence...), Peele a au moins prouvé que divertissement horrifique et message politique pouvaient à nouveau cohabiter en haut du box-office. Cependant, US ne répète pas bêtement le discours de son prédécesseur, et fait preuve d'une grande ambition, débutant comme un home-invasion bizarroïde avant de prendre de plus en plus d'ampleur. On retrouve les mêmes qualités de Get Out (casting béton - en particulier Lupita Nyongo et Elizabeth Moss - super b.o, humour et effroi bien dosés) mais sur un film un poil plus énervé. Le seul regret, c'est que comme Get Out, il manque encore quelque chose pour que ça decolle vraiment. La faute peut-être à une conclusion encore une fois très Twilight Zone (il reboote la série, ça tombe bien...) à la fois trop explicite et trop fragile . Et très franchement, il aurait pu se passer de ... Du coup, un bon moment oui, mais pas le chef d'oeuvre qu'on va sûrement annoncé dans les jours à venir...
  8. J'étais surpris que ce ne soit pas que de la SF à cause du titre + le fait que c'est vendu comme du Black Mirror...alors que c'est clairement le même concept que Metal Hurlant en effet J'ai continué et j'avoue que certains m'ont agréablement surpris...je me doutais bien que j'étais pas tombé sur les meilleurs Three Robots : Très fun limite un long ça m'aurait pas dérangé tellement les perso sont marrants Good Hunting : Le mélange fantastique/steam punk n'est pas hyper homogène (on a un peu l'impression d'avoir deux courts en un) mais c'est original et plutôt séduisant. La fin à la Gumm est cool mais je veux une suite moi, pourquoi s'arrêter comme ça ??! Shape-Shifters : L'univers visuel est pas ouf mais l'idée est bonne et bien tenue jusqu'à la fin. Et les combats de loulous sont sympa Zima Blue : Le plus poétique jusque là. Très touchant, pas bête, ultra Asimovien. Une petite merveille
  9. J'en ai vu deux hier soir au hasard et j'ai trouvé ça très mauvais...mais je suppose que j'ai pas eu de chances Sucker of Souls ressemble à du mauvais Bobbypils, tout simplement. D'ailleurs je vois pas trop la sf là dedans. Et c'est pas très beau (j'ai rarement vu un Dracula aussi moche et une bite aussi mal dessinée ) The Witness a une technique fabuleuse (imitation du grain pellicule, matte painting, motion capture bluffante) et j'aime bien l'univers cyber punk mais l'histoire est conne, racoleuse et franchement prévisible Je continue quand même, on sait jamais
  10. Une journaliste pressée accepte d'interviewer, un peu forcée, un jeune acteur du nom de Rupert Turner. Celui-ci est connu avant tout pour avoir eu une relation epistolaire avec la star déchue John F.Donovan, mort depuis. Il décide alors de raconter enfin cette histoire... Le cinéma de Xavier Dolan perd manifestement de sa fraîcheur et de son intérêt hors Canada : l'atroce Juste la fin du monde l'avait amorcé, cet essai américain le confirme. Vu l'histoire, c'était évidemment impossible à tourner ailleurs qu'à Hollywood : Dolan débauche ses idoles et monte un nouveau casting de fou, mise sur une grosse fresque de 4h...las, le film est remonté tant bien que mal (perdant au final un personnage incarné par Jessica Chastain), passe mollement dans certains festivals et n'est distribué actuellement qu'en Italie et en France ! Bref, ça n'annonçait rien de bon... Dès le début sur fond d'Adèle, rien ne fonctionne. Le casting a beau être béton, tout le style de Dolan ne passe pas la porte, avec les mêmes engueulades mère/fils, les repas de familles loupés, les "lève le son c'est ma chanson", les scènes de boîtes (y'en a une, elle est très bien et la musique est géniale, soit), les très gros plans (le mec se casse le cul à tourner aux quatre coins du monde mais on verra pas grand chose donc bon ), les renvois "intimes" (Rupert = Xavier, évidemment), la photo granuleuse et vintage... Certains perso tiennent de la décoration (le frère, l'agent, la bonne copine...), des scènes sont à oublier fissa (le moment sous la pluie sur fond de Stand By me est immonde ou la séquence de pétage de câble noyée dans la musique), et le perso principal est à claquer, autant dans le fond (certains échanges avec la mère sont !!) que côté acting (le petit Tremblay surjoue à mort). Qu'est ce qui reste ? Le propos, grave et lucide, sur le star-system, ses atours de prison dorée, l'homophobie pernicieuse...on pense à des gens comme James Dean, Anton Yelchin, Heith Ledger, Brad Davis...d'ailleurs Jon Snow s'en sort pas trop mal.
  11. Annaud qui parle de sale caractère, c'est pas du tout l’hôpital qui se fout de la charité Sinon j'ai découvert, un peu horrifié, que la Rai tout récemment a fait un remake en mini-série avec John Turturro à la place de Sean Connery avec un peu de chance, ce sera vite enterré que les remakes tv de Pique Nique à Hanging Rock ou de Rosemary's Baby...
  12. Durant son enfance, Alexandre a été abusé plusieurs fois par un prêtre. Bien des années plus tard, alors qu'il mène une vie paisible avec sa famille, il retrouve la trace de cet homme d'église, toujours en contact avec des enfants. Après un face à face et une remontée auprès du Cardinal Barbarin, Alexandre attend une destitution...en vain... Passé d'un machin aussi débile que L'amant double à ça, fallait oser J'y allais un peu à reculons, de peur d'y voir le Spotlight français, ce film enquête ultra NÉCESSAIRE chiant comme la pluie, avec sa gueule de bac à glaçons oublié dans le frigo, et sur lequel tout le monde s'est branlé avant d'être oublié aussi sec et bien heureusement, le Ozon l'explose largement, même si le sujet n'est pas exactement le même... Passé un premier plan à la fois très beau (dans l'idée) et très laid (dans l’exécution), Ozon déploie son film sur 3 personnages à tour de rôle : le père de famille catho et rangé, le bon Papa impulsif, et le marginal écorché. Tous superbement interprétés, même si la palme va à Swann Arlaud, vraiment hallucinant avec son petit côté Dewaere. C'est passionnant, jamais froid, bien que relativement didactique. Zéro pathos, une belle habilité à montrer comment on gère un traumatisme chacun à sa manière, comment la parole se libère...mais aussi la brutalité et l'incompréhension que cela peut provoquer (les réactions de certains proches dans le film sont effarantes et je suppose, à peine inventées pour le coup). Le film fera un malheur aux prochains Césars, à n'en pas douter...
  13. Jeremie

    Cujo - Lewis Teague (1983)

    Et ben ça fait 6h sans le film, donc ils ont pas trop triché En tout cas, je sais pas quel film a vu Netflix, mais ça a l'air sympa
  14. Jeremie

    The Abyss - James Cameron (1989)

    Vu sur Twitter, le master 4k est en cours, 30ème anniversaire du film oblige. IL ÉTAIT TEMPS !
  15. On sent que Hughes est derrière : on a un huis-clos façon Breakfast Club (deux personnes que tout sépare se retrouvant enfermées), des voleurs façon Home Alone (sans les pièges cools ni la tension comique) et un héros à la Ferris Bueller, mais version looser. Le mec est un gros mythomane avéré et il est juste insupportable...du coup bon, se le farcir durant tout un film, même d'1h20, c'est chaud... Connelly est sublimée jusqu'à la déraison dans le film, mais son personnage n'est pas fou (aucun ne l'est de toutes façons). C'est joliment filmé et photographié, mais au service d'un truc pas drôle et un peu chiant. Le film a son (tout) petit charme, mais ça reste loupé. Cette vidéo sur Space Age Love song (qu'on entend pas du tout dans le film) est mieux que le film mcMh6GZoFC8
  16. Jeremie

    Cujo - Lewis Teague (1983)

    Il est sur Netflix depuis aujourd'hui d'ailleurs
  17. C'est vrai que les Warner Archives n'arrivent pas jusqu'en France...et ça fait perdre pas mal de films après j'imaginerais bien une édition fr par ESC mais bon...le br ricain a déjà quelques années quand même. Actuellement il est dispo depuis quelques mois sur Netflix, ce qui a été une grosse surprise...et en espérant qu'il y reste
  18. Directeur d'un diner, Mr Danger dérobe l'argent de son beau-frère, qui lui envoi un redresseur de tort à ses trousses. Mais Lulu, la femme de Danger, prend l'avantage et s'enfuit avec l'argent et son "ravisseur". Elle demande alors de se rendre dans un hôtel où va se donner en spectacle un étrange magicien du nom de Beverly qu'elle semble bien connaître... J'ai appris un peu par hasard que Jim Hosking avait enfin enchaîné après son mémorable The Greasy Strangler...le film étant déjà dispo en dvd/bluray aux States et en Angleterre depuis quelques mois je suppose qu'on peut se brosser pour la France... Très content de voir des comédiens comme Audrey Plaza et Jemaine Clement rejoindre l'univers délirant de Hosking, où ils se retrouvent comme des poissons dans l'eau, mais alors par contre n'attendez pas un Greasy Strangler bis... Je suppose que ça explique la distribution par Universal, mais le film est totalement inoffensif, hormis une scène de baise entre gros histoire de choper un R un peu gratuitement. On ne retrouve ni la veine trash, ni le côté malaisant à la Tim & Eric...ce qui est assez frustrant On a bien encore et toujours une super b.o de Hung, des vieux chelous dans les arrières plans et des gags d'un autre monde mais c'est quand même très propre...L'autre soucis, c'est que même si ça reste assez cool esthétiquement et plutôt drôle (bien que le surjeu de Emile Hirsch en Jack Black de substitution m'a pas franchement convaincu), 1h50 pour aussi peu d'enjeux c'est trop. Encore heureux qu'il y a une scène de danse sur Words de FR David pour ne pas crier à l'arnaque
  19. Jeremie

    Cujo - Lewis Teague (1983)

    Ce n'est curieusement pas Arrow mais Eureka qui sort le film en bluray pour ce mois d'Avril, avec 7h de suppléments sur deux disques j'aime bien le film mais ça me paraît beaucoup pour une petite série b sympa disons... Les visu sont cools et en font des caisses
  20. Y'avait surtout ce gimmick avec le sang noir qui était assez hallucinant. Et les spectres aussi... Un truc très con qui m'avait marqué, c'est que l'actrice qui joue sa copine adulte n'avait strictement rien à voir physiquement avec celle qui l'a jouait petite, limite j'avais trouvé ça foutage de gueule (tout comme l'idée de cet asile tenu par deux gardes tatoués...un truc dans le genre ). Mais c'était pas mal oui, à revoir je suppose... J'ai revu le second de Reynolds il y a un mois ou deux, Heaven, qui est vraiment virtuose au niveau de la mise en scène, mais qui est bouffé par des personnages antipathiques. Le film avait filé aussi en DTV (ce qui était un peu injuste).
  21. Jeremie

    Blue Velvet - David Lynch - 1986

    Criterion c'est vraiment noir ou blanc : soit ils se cassent le cul et font des illustrations de ouf (dernièrement : l'affiche de Mort à Venise), soit ils s'en foutent Pour cette fournée, ils s'en battaient clairement les couilles, les couv de Funny Games et du truc avec Binoche ont été faites en 2 minutes sur Illustrator
  22. Jeremie

    Blue Velvet - David Lynch - 1986

    Le film sort en Mai chez Criterion avec ENFIN un master 4k seule hic : c'est Criterion donc zoné, espérons donc qu'il existe l'équivalent UK ou que la copie soit récupérée pour la France. Il faut avouer que le bluray de MGM était plus que correct...mais encore mieux je dis pas non Il y aura bien les scènes coupées...mais pas plus que celles déjà disponibles visiblement
  23. Les Mo Brothers (Macabro, Safe Heaven, Libido, Killers...) font maintenant leur tambouilles chacun de leur côté et confirment qu'ils feraient mieux de retourner ensemble...alors que Timo enchaîne The night come for us et May the devil take you, Kimo sort lui aussi sa petite série b d'horreur locale. Manque de pot, on dirait exactement la même chose que May the devil take you (que j'ai perso détesté) mais dans un immeuble N9ymyIhAUV0
  24. Le retour de la palme du cul Film très apprécié à Cannes et très attendu rien que pour son concept : tout promettait un grand moment de cinéma, un grand voyage voyage. La descente fut rude. Pas facile à résumer...pour tout dire, je n'ai rien compris mais le problème est peut-être que je ne voulais rien comprendre aussi. Un homme cherche une femme, peut-être cette créature en satin vert qu'on aperçoit dans des scènes parallèles. Peut-être, peut-être pas. On s'en fout. On est clairement dans un cocktail diluant sans trop d'effort le cinéma de Lynch et de Hou Hsiao-hsien (dont je raffole pas des masses), ultra-hermétique et mystérieux, joli pour les yeux et les oreilles... Au bout d'une heure où j'ai dû plonger au moins deux ou trois fois, le spectateur enfile ses lunettes 3D pour un long plan-séquence partant d'une pièce aménagée dans une mine à un petit village en contrebas. L'atmosphère est incroyable, le décor labyrinthique à souhait (évoquant parfois le trip de La Clepsydre), on a droit à des plans aériens à la Enter the Void, un baiser filmé en travelling circulaire...tout est zoli, mais je crois que ce genre de performance au cinéma ne m’intéresse plus. Car j'en avais toujours rien à foutre quant à la 3D, si elle est effective, difficile de savoir si cela ajoute vraiment quelque chose à tout ce bordel. Il y a pourtant une partie ping-pong et une autre de billard, mais comme on se prend pas de boule dans la gueule, à quoi bon Bref, lapin compris.
  25. Jeremie

    Spetters - Paul Verhoeven - 1980

    La copie HD est bien chouette si le bluray de Kino est zoné, ce n'est pas le cas du bluray-allemand, qui a des st anglais. Reste à savoir qui se décidera enfin à ressortir les Paulo période hollandaise chez nous...en tout cas c'est le seul à être passé à la casserole ailleurs. Le film se bonifie avec les visions pour ma part : je n'ai pas une quelconque sympathie pour les perso masculins (en même temps, pas sûr que ce soit l'idée de base ) mais j'adore le perso de Fientje, la femme Verhoevienne comme on l'aime. Drôle de se dire aussi que le film ferait encore bien chier les gens aujourd'hui Le thème instrumental du film 9vkF1EGOjGQ
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