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Binky

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Tout ce qui a été posté par Binky

  1. Tout le contraire en ce qui me concerne. Pareil. Ramzy qui se prend pour un vrai acteur, c'est bien moins cédible. Alors qu'Eric, c'est un vrai le mec. J''attends de le voir dans le prochain Cavayé ! (fantasme, je sais )
  2. thanks ! (mais je commande jamais sur le net, oui, je sais ) Comme ca je pourrais devenir un fan de Romain Le Vern.
  3. Au passage, un morceau qui m'a comme hypnotisé durant deux minutes, durant le film : http://www.youtube.com/watch?v=H6ye3g-wvGo EDIT: en définitive, c'est un peu ringard. C'est plus classe dans le film, la preuve que c'est pas une grosse merde qu'il a fait, Rouve, tout de même...
  4. Dites, on peut encore récupérer quelques numéros les amis? Enfin, je veux dire, j'aimerais beaucoup découvrir ce zine ! Même si j'arrive toujours trois ans après la bataille... Je peux proposer des posters d'Adam Sandler en échange !
  5. Tu as peur d'être 3Dégoûté ?
  6. Oui mais pas pour la mise en scène on te dit
  7. Oui enfin, Dupieux il est tout de même assez doué comme technicien je trouve. Il sait fabriquer des images assez inédites, à partir de pas grand chose, un simple appareil, un décor minimaliste, etc. Il a même déclaré "se sentir comme un homme préhistorique qui inventerait le cinéma" (ouais, il est un peu péteux le Quentin quand même, mais péteux-marrant ), il est capable de vraies trouvailles visuelles je pense ! Mais il est certainement encore plus doué pour écrire des trucs pas possibles !
  8. Si l'ami Quentin D. aide le luron, ca promet dans l'absurde...(il devrait genre lui donner des conseils de mise en scène). mais franchement, déjà, Seuls Two c'était vraiment très cool comme comédie francaise, on se marrait bien. J'attends de voir ca. Et puis, dans un autre genre, Moot Moot ca claquait sa mère ! Merci pour la niouze Yatta Man !
  9. Ca passait hier à la tv...Rouve, très bon acteur au demeurant, y déborde de classe en Spaggiari qui se prend pour Delon. Il n'a pas à avoir honte de sa mise en scène (d'ailleurs, y'a des split screen comme dans Mesrine, les gars peuvent pas rendre une époque autrement que dans les films cultes qu'ils ont vu ?...). Un bon petit film très pépère quand même, peut être trop mélioratif envers le casseur du siècle qui se prend pour Bogart, mais un vrai bon film francais quand même. Sympa, quoi. Enfin, je veux dire, ca casse pas trois biques à un canard, mais c'est agréable, assez bien fait, c'est pas ridicule. Et puis, utiliser du Julien Clerc sans que ca semble has-been ou ridicule, c'est pas mal comme exploit, plutôt bien vu pour servir le propos. Par contre, comment tout le monde y va: une merde, une purge, un film à chier...hé ho, c'est loin d'être un film tout pourri, c'est pas transcendant, on peut voir ca comme un téléfilm de luxe francais, c'est franchement sympa...
  10. Fuck, yeah ! Nos deux zigotos grossiers, Jay l'énervé fou de la bite, et Silent Bob, le mec qui cause que quand c'est nécessaire, partent pour Hollywood histoire de stopper la mise en boîte d'un film (produit par Miramax), adapté d'un comics d'un de leur pote, comics mettant en scène...eux-mêmes, grimmés en super-héros (ou super-zéros, c'est selon). C'est parti pour plus d'une heure de saletés verbales, de grosses vannes, de pets, de fuck pussy shit asshole et co, de vannes en formes de private jokes, de délires ultra-jouissifs qui sentent le fan boy bien décomplexé du gland. C'est, d'abord, de la bonne grosse comédie bien vulgos et bien poilante. Puis, c'est aussi un film avec un singe, plein de nanas aux gros seins, qui suit les aventures de deux dealers. Et aussi...c'est une mise en abîme, où chaque acteur se retrouve à jouer plusieurs rôles, entre fiction et réalité, auto-dérision hilarante et clins d'oeils cinéphages, explosion d'un milieu à coups d'humour bien foireux et bien vu. Le fanboy Smith va encore plus loin que le lointain dans cette veine, il va plus loin que dans le passé. Ca se lâche sévère, de fantasmes superbes en démontages poilants, et ca fait un bien fou. Enfin, c'est un peu un chant de cygne, même si le très beau Clerks 2 suivra, quelques années plus tard. Ici, tout se finit avec une fête en forme de cadeau sincère, de don hyper généreux offert aux fans de la première heure du grand Smith.A la fin, tous les persos de ses films se retrouvent, le gars fait un léger panorama sur sa petite carrière, et le spectateur amoureux de son cinéma attend déjà, avec impatience, le retour de son cinéma franc, touchant, bien délirant et potache. Parce que des mecs comme ca, y'en a pas mille. Merci, Kev', merci.
  11. Que dire: c'est LE chef d'oeuvre de John Hugues. A voir, à revoir, à partager, et bien plus encore. Prenez un peu de la gravité jamais patho de Breakfast Club, l'autre teen movie vraiment essentiel du grand Hugues (même si Sixteen Candles et Une créature de Rêve, c'est anecdotique, mais sympa comme tout) et rajoutez à cela un bon kilo d'humour, une énergie jeune fabuleuse, une b.o qui suit le rythme tgv de l'oeuvre... Voilà, c'est en cela que John Hugues est essentiel (R.I.P), ce film le prouve: il a su comprendre non pas SA jeunesse (ce que beaucoup font en illustrant l'époque de leur jeune âge) mais l'adolescence d'aujourd'hui (enfant, des années 80, mais ca n'a pas beaucoup changé), comprendre les doutes et les états d'esprit, montrer ce que les jeunes veulent voir, les rassurer, les faire rire, éduquer les parents, ne jamais prendre les ados pour de gros cons. Il illustre avec brio, crédibilité et passion une période emplie de sentiments contraires, de sensations de stress et d'extase, de découvertes, de choix, de libertés, une période en apesanteur où l'avenir se fait vague, incertain, illusoire. -Tu veux faire quoi plus tard ? -Aucune idée ! -...la fac ? -Ouais ! Pour y faire quoi ? Tous les désirs des ados sont contenus en la personne de Ferris, certainement un gros fantasme de Cameron lui-même, personnage terriblement attachant et touchant. Ferris, lui, conduit une belle caisse, vit de par la liberté totale, la ruse, triche sans se faire choper, chante, est presque un demi-dieu, met tous les adultes au tapis. Une sacrée image. Certains gags laissent entrevoir les fameux Home Alone scénarisés par Hugues (petites friandises de Nouelle !), tout ici est parfait, dans le bon ton, drôle, sincère, bref, un des meilleurs films jamais faits sur l'adolescence. Pour preuve que ce film là est immortel, ainsi que Breakfast Club -bien plus sensible celui-ci-. J'ai montré les deux films à tous mes potes du bahut, ils ont tous adoré, et tout leur semblait si vrai...Respect !
  12. Soit Révélations en vf ! Film presque conspirationniste, débutant tel un ultra-efficace thriller parano, avant de virer à l'oeuvre sociale essentielle (à la Oliver Stone), dénoncant les magouilles des plus grosses industries de tabac. Des acteurs parfaits (Pacino, qui, ainsi que l'a dit Mann, a été élevé à l'école Pacino, et ne fait donc que...du Pacino ! Et il le fait bien) (et Russel Crowe, très bon et méconnaissable, loin de ses sempiternelles déclarations du style "Hey, les gars, vous savez, vu que je suis le plus grand acteur au monde, j'ai bouffé, baisé et tiré à l'arc comme Robin des Bois durant trois mois, pour devenir Robin des Bois, yeah !"), un scénario en béton armé signé Eric Roth (Forrest Gump, Munich, Benjamin Button...Postman ) qui n'hésite pas, comme d'hab, à verser dans le symbolisme (lors d'une surprenante scène de songe, par exemple)... En deux mots, un film servi par un vrai bon scénario efficace (pas Miami Vice donc) et une mise en scène qui sert le propos, collant au stress du personnage de Crowe dès le début du film, Mann se servant joyeusement de tous ses outils, étalant toute la classe, le côté sophistiqué et les particularités de sa mise en scène sans aucune timidité. Ca va des filtres bleus de Heat à ses typiques axes et angles, la caméra étant collée au plus près des personnages, tout le travail technique démontrant une véritable compréhension assez époustouflante du langage cinématographique, un rythme certain, de vrais plans travaillés... Du professionalisme en somme, pas un chef d'oeuvre ultime mais un super Mann. Oui, je sais.
  13. "J'ai cru entendre les hélices D'un quadrimoteur mais hélas C'est un ventilateur qui passe Au ciel du poste de police" GAINSBOURG C'ETAIT DIEU !
  14. En fait, c'est pas trop mal. A mon sens, un film joliment paradoxal, vu que le principal attrait, et le défaut, finalement, de l'oeuvre, c'est l'expérimentation incontestable qui en découle, soit le sel du tout, mais aussi un certain handicap, tant c'est flagrant. L'inventivité, et surtout, le test (à mon sens), de plein de choix de cadres, d'artifices, le jeu des lumières, les palettes de la photographie... On dirait un génial scientifique qui ne peut s'empêcher de pousser, d'une facon radicale, son expérience, jusqu'au bout. Ce qui éloigne d'une manière le spectateur des enjeux, de l'histoire, de la substance des persos, et, dans un autre sens, c'est juste essentiel, ce but visuel, celui d'atteindre le jamais vu et l'avancée technique...autant ca peut donner de l'espoir, concernant l'avenir d'un médium, autant on dirait les débuts d'un nouveau cinéma (des images inédites, une envie de tout tester, de se regarder filmer, mais à bon usage), donc c'est maladroit, et la froideur obligée de la technique prend le pas sur l'émotion...Hormis de belles scènes romantiques...(malheureusement un peut tuées dans le gras par du rock FM dont Mann semble fou !)... Par contre, et y'a pas de surprise, les fusillades défoncent, c'est évident de la part de Mann...D'un point de vue visuel, je trouve ca foutrement expérimental. Le mec derrière la caméra se fait vraiment sentir, c'est tout sauf discret à mon sens...Là où ce choix visuel impliquait forcément le spectateur dans le superbe voyage urbain Collatéral, ici, il y a un joli problème de rythme, en dépit de l'indéniable qualité technique...Evidemment, l'histoire est prévisible. Là est le problème. Problème de rythme, problème d'enjeux. La beauté visuelle ne peut pas sauver ca, malgré les fulgurances (deux heures 20, putain...). Ah, mais on m'apprends que je viens de voir le Director's Cut. C'est certainement pour cela que j'ai plus l'impression d'avoir vu une expérience radicale plutôt qu'un vrai film efficace. Oups
  15. Bah ouais ! Vraiment surpris par ce film, réalisé, interprété et écrit par Josiane Balasko, alors pleinement "Splendid-isée". Balasko ? Hummm...cela annonce donc le truc sympa, sans plus, un peu lourd ? Bah ouais, lourd en apparences, mais dès le début, le truc rigole pas. Ici, on se marre de machins un peu plus graves que des prouts ou des rots. Soit un road movie atypique, avec deux filles, un garcon manqué et une gonzesse à la Marilyn qui fuit son mari violent...après un accident, la route commence...et les deux s'entichent d'un gros paumé, recherché par les poulets... Malgré les gros traits qui semblent s'esquisser face à ce résumé, tout ici, est admirablement bien écrit, avec finesse, humour, gravité et une vraie prose, les répliques y font des étincelles. C'est du Blier, on se marre des putes, des flics (qui y sont soit alcoolos soit obsédés, toujours incompétents...), d'un peu tout, on se marre du pourri, du tragique, de la société qui est une pure jungle. On cherche en permanence de la thune, un moyen de survivre, face à la connerie humaine qui se perpétue...les trois personnages principaux sont de vrais anti-héros, parfaitement attachants, qui plus est interprétés avec talent (méconnaissable Huppert !) Jean Carmet demeure un des meilleurs persos du film, un grand moment en perpective..sans oublier Coluche en enculé ! A voir, vraiment !
  16. INCROYABLE MAIS VRAI, c'est pas faux que Luce...c'est bien !
  17. Le gros problème avec cette saga, c'est que le "on écrit pas trop de scénario, même si l'idée de départ est géniale, parce que nos ados vont crever, donc à quoi bon leur donner le minimum de substance, et à quoi bon construire d'une facon minimaliste la trame" l'emporte(ra) vite sur le côté hyper attractif et fun du tout. Parce qu'à l'heure où les Saw 6 (jeu de mots possible) pourris et inutiles envahissent tout le marché, ca fait quand même du bien de retrouver du cinéma de fêtes forraines, du "fun and tears" à la Sam Raimi...faudrait pas que tout cela devienne aussi lassant que la saga pré-citée... ps: bon, mis à part cela, j'ai mon B.A.C. Mention...Assez Bien. Le fameux oral qui s'est mal passé (anglais), mais vraiment mal...bah j'ai eu 15 mais par contre, je suis parvenu à me défoncer la tronche en...espagnol...euh...quel con !
  18. Oui, mais après, c'est encore un des actes jamais offensifs d'Uwe Boll, le mec qui kiffe proposer un combat de catch aux journalistes, se foutre de la gueule de Spielberg, etc...c'est de la pub, le mec est un peu un grand de la promotion ! Justement, quelqu'un a vu Raging Boll, documentaire sur le gars ? (VERIDIQUE !)
  19. Clair, ca a l'air trop bon...par contre, ca me rappelle encore une fois que je suis célibataire
  20. Ouch...Amityville...Ca, par contre, c'est dingue...quel nanar atomique ce film, on se demande comment ce machin est devenu un classique (le slip de Brolin ? la culotte de Kidder ? le coup des diodes électro-luminescentes vivantes ?)...J'aurais du écouter Dahan avant d'acheter le dvd, si je m'attendais à ca...(et dire que j'aurais pu prendre Carrie de DePalma à la place )
  21. JEUNeEeEEeeeSSssE LEeeeEve ToAaA !
  22. Le "He needs me, he Needs me" qui couvre toute une séquence assez magique, l'envolée musicale à partir du moment où Sandler court embrasser sa belle, la phrase qu'elle lui lance par téléphone juste avant, son discours final qui est, je pense, un très joli résumé de ce qu'est l'amour, et la scène du baiser de l'affiche, tout cela est effectivement très beau...après, s'il fallait un film de plus pour me dire que Sandler est bon acteur, c'est davantage un rappel qu'autre chose, mais ca m'a pas déplu !
  23. Je trouve au contraire que c'est un des films les plus iconiques que j'ai pu voir...avec un final, qui plus est, over-méga-classe et vraiment utopique, qui renforce le statut mythique de Snake...Bien plus accroché à celui-ci qu'à New York 1997. Mais cherchez pas, vous le savez que je suis un jeune con
  24. Euh... Non. L.A 2013 c'est quand même hyper la classe je trouve ! Et pis le rock ringard, parfois ca vaut mieux que des synthés (coup bas, je sais)
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