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Binky

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Tout ce qui a été posté par Binky

  1. Tu déconnes. Un des meilleurs Carpenter, au bas mot !
  2. Bon, vu ! (ce Sandler là étant très conseillé par beaucoup de monde, pour le contre-emploi que ca signifie probablement, du genre "hey, mais en fait, il joue bien ce demeuré" ! ), enfin bref,...l'ensemble me laisse perplexe. Ca vaut une revoyure pour mieux s'attacher au style, charmant parfois, déroutant souvent, à ne pas assez en faire, ou a trop en faire. Que dire si ce n'est que la mise en scène est magistrale, malgré un côté "je me regarde filmer", mais tout cela n'est pas dérangeant en fin de compte. Que rajouter..si ce n'est que Sandler trouve un rôle à la mesure de son talent d'acteur. Qu'il y a là dedans trois des plus scènes romantiques que j'ai pu voir (le premier baiser, le second baiser...et le dernier baiser !)...mais c'est en effet très étrange...Ca aurait pu donner un pur chef d'oeuvre...et là, on a l'impression de voir un film superbe en plusieurs tranches inégales...
  3. Sans être totalement décu comme DPG, j'ai pas surkiffé, mais c'est vraiment bien débilos ! le film qui, avec Happy Gilmore, a donné le nom de la boîte de prod de Sandler...en deux mots, c'est affreusement, monstrueusement, terriblement con. Voir Sandler jouer à Forrest Gump (un Gump qui toucherais le cul de son instit', tout en balancant le ballon sur la gueule de ses potes de primaire) a quelque chose d'assez attrayant... Et puis, sans voiloir SPOILER, y'a Steve Buscemi dans une petite apparition hilarante, et y'a même un catcheur obèse et un clown qui s'écrase sur le sol. C'est plus joyeux et décomplexé qu'un Self Control un peu coincé du derche, qui vaut surtout le coup pour voir Nicholson (cabotineur, donc cool) et Sandler chanter en choeur "I'm so Pretty" (sans oublier Turturro qui y est très rigolo). Ici, pas de morale amenée de facon pachydermique ou de twist naze, pas d'histoire ou un pov'gars sans défense s'en prend plein la tronche durant plus d'une heure, juste un film où l'on suit une tronche d'abruti gosse de riche retourner en primaire ! Ca fait du bien... Mais allez-y, dites-le si je vous emmerde aves mes goûts de chiotte
  4. Si c'est pour ouvrir un topic dédié à chaque film du grand Adam Sandler, autant y aller jusqu'au bout ! Amour et Amnésie, c'est donc la comédie romantique par excellence. Des gags loin du trash post-moderniste et avant-gardiste d'un Little Nicky, un humour bien accessible (où s'infiltre malgré tout les quelques déviances potaches de Sandler), de la bonne humeur, des émotions doucement amenées, une histoire originale bien que prévisible, un cadre agréable (soit ici, la pure île paradisiaque), un duo d'acteurs au cordeau... Ce film de Peter Segal (Get Smart, mais surtout l'immense Y'a t-il un flic pour sauver Hollywood !) se boit comme du petit lait. L'histoire n'est, cette fois, pas scénarisée par Sandler lui-même, mais on retrouve ce mélange d'humour et d'émotion...Bien que ce ne soit ni le plus drôle, ni, étrangement, le plus touchant des Sandler ! Car, en fin de compte, on sera beaucoup plus atteint par la sincérité émotionnelle d'un Big Daddy ou d'un Click... Une histoire à la Jour Sans Fin (chef d'oeuvre), ce qui a du attirer Sandler, et une bonne occasion pour Barrymore et Sandler de se retrouver, des années après The Wedding Singer...un vrai bon petit film d'été, avec un acteur qui n'a plus à prouver son talent. Et puis, y'a Rob Schneider dans un rôle très
  5. Uwe Boll, le seul, l'unique, le grand, n'a pas vraiment accroché au Malick: http://www.screenjunkies.com/movies/movie-news/uwe-boll-the-tree-of-life-is-a-piece-of-sht/
  6. Une bande de potes se retrouve dans une maison de campagne. Le narrateur, qui souffre de ne pas avoir tiré son coup avec la belle blonde canadienne qui fut un de ses premiers amours secrets, voit là une bonne occasion pour combler ce manque. Ce petit week end entre "meilleurs copains" pourrait tout aussi bien être une occasion pour se laisser aller aux engueulades, à l'hypocrisie, à la franchise, et évidemment, aux souvenirs emplis de nostalgie... Le meilleur film de Jean-Mi Poiré ! (son meilleur film au premier degré s'entend, pas de quoi rigoler ici comme une baleine face aux incohérences du montage qui se révéleront plus tard dans la carrière du monsieur!). Soit une oeuvre sincère et rigolote, notre The Big Chill bien de chez nous, en moins grave cependant, retracant avec réalisme, affection et humour la période post-68, royaume des babas cools, du pétard et autres substances illicites, des voyages spirituels et spectacles de rues ultra-hyper-giga "engagés, tu 'ois", pour aboutir à un constat assez amer, sur la peur qui envahit toute la population de la nouvelle époque, époque où les anciens fumeurs de oinjs et autres partouzeurs pacifistes sont devenus de simples cadres costume-cravate, et où le Sida fait des ravages...l'antithèse d'un idiéal de paix, de liberté et d'amour, en somme..."tous les matins du monde sont sans retour" Le personnage le plus intelligent, parmi toute cette troupe de faux-derches, se révélera être Dany, interprété par un Daroussin impérial ("Y'a pas mort d'homme" "Moi, tu sais, le racisme anti-jeunes..."), qui fait de la conclusion du film un pur instant d'émotion... Un film réussi sur l'amitié, qui se finit sur les notes superbes de "A little help from my friends" de Joe Cocker...
  7. J'ai également pensé à Postal, sauf que là, c'est un bon film, pas un nanar rigolo et kamikaze, un VRAI bon film ! Donc, enfin vu ce Sandler majeur, et c'est du gros délire bigger than life, co-scénarisé par Judd Apatow, et interprété par un Adam Sandler tout à fait méconnaissable (John Turturro n'a pas à avoir honte non plus !) et en pleine forme. Un summum de débilité délectable, sous fond de politiquement incorrect, bourré de gags sexos-gravos, d'idées toutes plus potaches les unes que les autres (les terroristes surkiffent Mel Gibson). Un bon moment de connerie plus intelligente qu'il n'y parait, et bien rythmé qui plus est... Ceci dit c'est vrai qu'on peut y gagner à le voir en vo, c'est un peu l'effet Borat, quoi...
  8. Bon, bah voilà, enfin vu. En bref, c'était agréable, un petit Sandler anecdotique, loin d'être son plus poilant, loin d'être son plus émouvant, une gentille comédie romantique sous fond d'années 80 reproduites au poil - enfin, c'est la Préhistoire pour nous -moi- le()s jeune(s), mais j'imagine que vous - les autres personnes plus âgées- avaient bien connu les moustaches, les rouflaquettes et Billy Idol - après tout ca a peine 25 ans- et pouvaient dire combien c'est bien reproduit - ringardise - et en définitive, on passe un bon moment devant la mine jeunote de Sandler, mais on est loin du pied pris devant Happy Gilmore, dans le genre oeuvres de l'époque, et je pense même qu'en termes de comédies romantiques, Sandler fera mieux... Oui oui, j'ai toujours pas vu Amour et Amnésie...
  9. Binky

    Big Daddy - Dennis Dugan - 1999

    Bon, et bien c'est fortement touchant. Je ne peux que suivre à fond DPG sur ce coup là. Et à bas les cyniques et les ringards ! Comment peut-on détester un film aussi sincère qu'un bon Kevin Smith, et, qui plus est, qui se termine sur une reprise des Rolling Stones et bien sûr sur Sweet Child O' Mine ? Impossible. Derrière ses potacheries de sale gosse et sa tête de gros dadais, y'a un vrai nounours humaniste et émouvant qui se cache derrière Adam Sandler. (et non, je suis pas Stéphane putain ! ) Bref, la bande originale détonne, les acteurs aussi, et le concept hyper casse-gueule est détourné à merveille. Ca se boit comme du petit lait, c'est tranquille, marrant, émouvant. Et on a les larmes aux mirettes à la fin. Ouais, Sandler est un sentimental, et alors ? Autant il manie l'humour débilos et gravos avec talent, autant il en fait de même, quand il est en pleine forme, avec les sentiments. Rob Schneider dans un super second rôle, la sublime Joey Lauren Adams (hey, Kevin, Adam t'as piqué ta meuf !), et pis Steve Buscemi...m'étonne pas que ca ait fait un succès. Adam Sandler is God.
  10. Binky

    Little Nicky -Steve Drill- 2000

    Désolé de vous décevoir, je ne suis ni le Stéphane de Mad ni celui du forum ZB. Je suis juste un petit pigiste qui... Enfin, je veux dire... Euh... Et merde...j'avoue... Okay, je suis Michel Ciment.
  11. Binky

    Little Nicky -Steve Drill- 2000

    C'est un peu injuste de comparer les Sandler entre eux, le truc bien c'est que le mec semble avoir fait du taf pour tout le monde...des lecons de vie d'un côté et du bon gros bourrinage débilos de l'autre...et parfois les deux à la fois
  12. Un des films les plus agréables d'Adam Sandler, un de ses plus gros succès aussi je crois... En résumé, Happy Gilmore est un joueur de hockey bien looser qui se reconvertit dans le golf avec un certain succès...et Happy Gilmore , en définitive, c'est trop fun. Le crocro, le "Tout est dans les hanches" de Carl Weathers, Ben Stiller en patron de maison de retraite taré, les coups de malade d'Happy Gilmore, sa technique infernale de putting..."Oh Oh Ooooh it's magic !"... Un film où règne l'espoir, la bonne humeur et une jolie conclusion toute Sandler-esque. Comment résister à l'histoire de ce pauvre perdant qui veut juste un peu de thune pour aider sa grand mère ? Et quand, en plus, ce pauvre perdant se nomme Adam Sandler... Bref, c'est un chouette moment vivement conseillé ! Adam...
  13. Binky

    Little Nicky -Steve Drill- 2000

    J'ai donc un style ? Flatteur...
  14. Binky

    Little Nicky -Steve Drill- 2000

    Quelque chose me trahit ?
  15. Prévisible ? Petit, oui, c'est pas le plus grand film au monde. On te les enfile grave comme une oie ? Hummm.... Bah moi, vu que je suis en plein cycle Adam Sandler, je vais causer avec mes tripes, et à brûle pourpoint, vous dire ce que j'ai sur le coeur. Pour changer Donc voilà (SPOILERRRRRS DANS TA MERE) = Bah putain !...si je m'attendais à ca... je mate une comédie présentée comme un truc bien lourd avec un mec qui mate les seins d'une joggeuse au ralenti...et je tombe sur un film d'une gravité et d'une lucidité incroyable, qui finit comme du Capra, montre un Sandler génial, un Jour sans Fin -like en encore plus grave, et foutrement bien écrit, une comédie familiale où se mêle l'humour potache du gars et une tristesse encore plus puissante que dans un Funny People...( et c'est moi où TOUS les morceaux de la B.O renvoient au même thème ???). Et puisque je suis très infuencable, j'ai même versé ma petite larme à la fin ! Nan, franchement...Il devient mélancolique à crever le Sandler avec l'âge. Mais là, franchement, c'est encore plus que fort que Funny People, je trouve, bien que le film d'Apatow parle d'autre chose...'mais avec moins de rythme et d'efficacité' Bref...ca préviens pas, y'a là dedans la naiveté touchante d'un comique mêlée à son indéniable désespoir...et tu t'attends à un truc gentil familial, et surprise grandiose, même le happy end classique m'a fait sauté sur mon fauteuil...ca fait beaucoup de bien. (oué je suis une gonzesse )
  16. Binky

    Little Nicky -Steve Drill- 2000

    Yeaaaah !! Il y a des trucs tellement logiques qu'on y pense plus après visionnage... Pauvre Adolf... Et puis le petit Nicky qui fait les mêmes bruits en ronflant que les cris du démon dans L'Exorciste... Et le ronflement du chien... Et les morts de Nicky au début Et le personnage de l'acteur ("laissez moi enfin ! je suis un acteur !")= "mouhahahaha ! Je suis Kevin Spacey dans Seven !!!!!"
  17. Alors, on aime pas Sandler ici ou quoi ? En tout cas cui-là c'est du lourd de pataquesse, du éléphantesque pachydermique, de l'odorant mégamaniaque. Tarantino qui se prend un poteau, Adam Sandler qui se la joue Linda Blair, Rocky et Tony Montana, Ozzy qui bouffe la tête d'un fils du démon, un chien qui pisse de l'acide, le "vive New York" qui devient "Vive les putes", deux métaleux stoned qui s'enfilent des space cakes, les Harlem Globe Trotter qui s'auto-défoncent la tronche, Keitel en Satan (rien que ca), un serviteur du démon, des nichons sur la tête, qui se fait peloter par un Chewbacca-like, autant dire que c'est un des films les plus importants du septième art. Un chef d'oeuvre ultime. masterpiece ! etc etc etc. HIGHWAYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYY TO HELLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL La preuve que donner autant de thune à un vrai visionnaire de génie peut autant tenir de la grâce que de l'acte kamikaze. Dans cent ans, on étudiera ce film dans les écoles du rire Bon, je cours me cacher
  18. T'as loupé "Christophe Colomb a découver l'Amérique, et moi, j'ai des couverts en plastique" du coup
  19. Espèce de sale hérétique. Me dis pas que t'as pas vu la mythique scène du karaoké ? Avec Anconina qui descend plus bas que terre ? (on sent le mec qui pleure intérieurement en se rappellant Tchao Pantin) De quoi te donner envie d'acheter des casquettes Johnny. Du grand art
  20. J'apporte ma contribution à ce topic déjà chargé à mort Les Ricains reprennent l'imagerie mythique du magazine culte des années soixante-dix (le film est produit par Ivan Reitman) avec quelques jolis noms tel que Dan'O'Bannon aux scénarios (en fait, c'est plein de petites histoires basées sur le pouvoir d'une mystérieuse météorite)...et ca donne un mélange sympa et divertissant de belles filles nues aux poitrines opulentes, de martiens débiles (excellent sketch ou un robot s'engueule avec sa nana humaine, qui lui dit en gros "et comment je pourrais le savoir, moi, si, une fois que j'ai le dos tourné, tu forniques pas avec le grille-pain ?") ou féroces (quelques élans gores), de musique épique mélée au hard rock de ces années là (Cheap Trick, Devo, Black Sabbath et plein d'autres). A noter un épisode très sympa...qu'a totalement plagié le grand Luc Besson !!! 'on y suit donc un chauffeur de taxi du futur qui s'entiche d'une nana bizarre- Du hard rock, des filles nues, et des vaisseaux spatiaux ps: ouais donc je suis bien hétéro
  21. J'apporte ma contribution à ce topic déjà chargé à mort Les Ricains reprennent l'imagerie mythique du magazine culte des années soixante-dix (le film est produit par Ivan Reitman) avec quelques jolis noms tel que Dan'O'Bannon aux scénarios (en fait, c'est plein de petites histoires basées sur le pouvoir d'une mystérieuse météorite)...et ca donne un mélange sympa et divertissant de belles filles nues aux poitrines opulentes, de martiens débiles (excellent sketch ou un robot s'engueule avec sa nana humaine, qui lui dit en gros "et comment je pourrais le savoir, moi, si, une fois que j'ai le dos tourné, tu forniques pas avec le grille-pain ?") ou féroces (quelques élans gores), de musique épique mélée au hard rock de ces années là (Cheap Trick, Devo, Black Sabbath et plein d'autres). A noter un épisode très sympa...qu'a totalement plagié le grand Luc Besson !!! 'on y suit donc un chauffeur de taxi du futur qui s'entiche d'une nana bizarre- Du hard rock, des filles nues, et des vaisseaux spatiaux ps: ouais donc je suis bien hétéro
  22. Pareil. j'irais le voir impérativement. Ca pourrait être le Fatal de cette année, soit la grosse surprise comique francaise. En plus, je découvre Eboué, là. Pas ses squouetches, mais ses réparties bazooka et graveleuses chez Ruquier ! A 2:53
  23. Comme si on avait pas compris que ca puait la merde...
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