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8 millions de facons de mourir - Hal Ashby - 1986


Basculo Cui Cui

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revu hier soir avec un grand plaisir !

 

Scudder is a detective with the Sheriff's Department who is forced to shoot a violent suspect during a narcotics raid. The ensuing psychological aftermath of this shooting worsens his drinking problem and this alcoholism causes him to lose his job, as well as his marriage. During his recovery through Alcoholics Anonymous, he meets a mysterious stranger who draws him back into a world of vice. In trying to help this beautiful woman, he must enter a crime-world of prostitution and drugs to solve a murder, while resisting the temptation to return to his alcohol abuse.

 

 

 

 

coming soon at steb's & DPG's

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Un film qui s'oublie vite avec son esthétique télé et ses héros délavés. Le seul truc un peu soigné c'est le méchant, bien sadique et cruel joué par Andy Garcia. Je crois que c'est le dernier film d'Ashby, qui était déjà bien malade.

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  • 1 year later...
  • 1 year later...

Vu dans une vieille copie M6 avec carré orange

Dans le genre, je préfére encore J'aurais ta peau : c'est du solide, mais tout de même trop classique et un peu trop long. Putes, drogues, flic déchu, méchant classe, chemises qui flashe et moustache : la routine quoi. Bridges est formidable (annonçant involontairement son rôle du Duke par moment ) et Andy Garcia est très à l'aise en Tony Montana bis aux dents longues.

 

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  • 2 weeks later...

Tarantino avait classé le final de ce film parmi son top 10 des meilleurs scènes d'action avec le final du syndicat du crime 2 , la scène de la tronçonneuse de scarface, la fusillade de l'année du dragon, la scène de la roulette russe de voyage au bout de l'enfer et le final de guet apens.

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  • 3 years later...

Je garde une inexplicable tendresse pour ce film.

 

Bien que mou, classique, pleurnichard et rempli de clichés, il est aussi, malgré tout, emprunt d'une discrète humanité qui rend l'ensemble attachant.

En grande partie, d'ailleurs, grace à Jeff Bridges, avec qui on a envie de devenir pote dès qu'il apparaît à l'écran...

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