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Postscriptom

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Tout ce qui a été posté par Postscriptom

  1. Vu la première moitié, effectivement c'est "sous influence" du maître (même s'il n'assume pas du tout, ah, ah, voir interview ci-dessous) mais c'est magnifique quand même, et encore il me manque une bonne heure de visionnage, la suite ce soir http://www.chronicart.com/webmag/article.php?id=1762
  2. Euh, pour cinq sagas capitales il y a Massacre in Liberty City 3, Massacre in Nice 3, Massacre in Miami (Vice) 3, Smackdown vs Raw 3 et Skate2 3, mais je ne suis pas objectif http://www.youtube.com/watch?v=NEORUSD-OxI&feature=relmfu http://www.youtube.com/watch?v=2SaAE255ZjM&feature=autoplay&list=UUBt17YExa3YgjN22HuDEgeQ&playnext=1
  3. Moi je ne m'interroge pas, j'y allais plutôt confiant et quelle déception, Sam Raimi peut dormir tranquille, ce film c'est à peu près tout ce qu'il ne faut pas faire : rebooter si tôt une franchise tout en demandant aux gens de l'oublier alors que c'est tellement pompé dessus que ça en devient gênant (on revoit même la salle de catch du premier, n'importe quoi...), en la rafraîchissant pour faire "d'jeun" en plus, et surtout on a juste ce qu'on attend mais rien d'autre, le réal' n'est pas un styliste de la mise en scène et ça se voit, pour compenser il y a plein d'effets spéciaux froids comme la mort qui ne surprennent plus personne, et Gwen Stacy (jouée par une comédienne bien trop maligne et sans aucune candeur) ne meurt pas à la fin bien sûr (!!!), bref à oublier d'urgence, par contre il m'a donné envie de revoir le premier de Raimi qui l'enterre sans forcer, et je ne parle pas des deux suivants...
  4. Je n'ai jamais fait de brocante c'est pour ça, mais je l'ai eu moins cher que ça...
  5. Je me le refais ce soir en BR avec une bonne image et enfin (!) au format 1.77 au lieu du 1.33 du DVD Mad Movies, 20 ans d'attente, yeah !... http://www.planete-hd.com/Death-Race-2000-test-t1070.html
  6. Kurt Russel dans NEW YORK 1997, ça devait être Charles Bronson... http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=hqzBhEiilqM
  7. Dommage qu'il rate un film sur deux, et vu que celui-là est pas mal...
  8. Zut je me suis trompé, je croyais avoir vu SAFE...
  9. Oui, et pas qu'une, je l'ai vu trois fois en trois ans, il est souvent ressorti chez moi je ne sais pas pourquoi, il m'a bien traumatisé je suis devenu cinéphile à partir de ce film, avant j'allais au ciné comme tout le monde...
  10. J'ai vu en salle RAMBO, ROCKY 3, L'ASCENSEUR, SCARFACE, LES RUES DE FEU, 48 HEURES, DAR L'INVINCIBLE, HIGHLANDER, FOOTLOSE, etc... mais je n'ai rien contre toi
  11. "Je suis une fée, et les fées n'ont pas d'âge" - Chantal Goya
  12. Postscriptom

    Phase IV - Saul Bass - 1974

    http://www.youtube.com/watch?v=gcjBIkS-QC4&feature=g-vrec
  13. Postscriptom

    Cherche titre d'un film ?!

    Dans les années 80 il y a eu ELECTRIC DREAMS de Steve Baron sur un sujet similaire, mais là c'est plutôt qu'il est amoureux disons... http://www.youtube.com/watch?v=LXr1msthXh8&feature=related
  14. Pour ceux qui l'ont raté à l'époque je signale le court-métrage qu'il a fait pour HALO (le 3 je crois...), absolument excellent et toujours dans ce style si particulier, énorme et tout à fait digne de DISTRICT 9...
  15. Oui c'est exactement ce que j'ai pensé en le voyant "mais il a refait ROCKEETER", ah, ah, y compris avec encore une héroïne brune à gros poumons...
  16. Enorme, un film inégal car complètement schizo, mais un chef-d'oeuvre juste pour la scène ci-dessous, inoubliable...
  17. Le Tarsem est juste horrible, la bouse de l'année et je suis gentil, et j'aime bien le bonhomme d'habitude mais là c'est juste n'importe quoi, celui-là a l'air cent coudées au dessus il n'y a pas photo, j'y vais demain je pense... Une autre BA qui donne plus envie...
  18. Puisqu'on parle de FIST OF LEGEND voilà un article que j'ai écrit il y a longtemps (réactualisé ici) sur LEGEND OF A FIGHTER, pour mieux comprendre FOL... Un kung-fu un peu oublié de Yuen Woo-Ping qu’on va certainement redécouvrir et réévaluer, pour la simple et bonne raison qu’il s’agit sans aucun doute d’un de ses meilleurs films « old school », non seulement au niveau du scénario et des arts martiaux, mais aussi et surtout parce qu’il comble un énorme vide en nous parlant d’un des plus grands héros chinois, Ho Yuen-Chia, qu’on a très peu vu au cinéma (et pour cause, voir ci-dessous…) obligeant de plus Yuen Woo-Ping a changer radicalement son style de mise en scène tel qu’on le connaissait jusque-là !... Situé au début du 20ème siècle, alors que les Chinois colonisés viennent de signer les fameux « traités inégaux » et sont considérés par les autres pays asiatiques comme les « malades de l’Asie », LEGEND OF A FIGHTER nous décrit l’enfance puis la jeunesse du vénérable Ho, grand maître d’arts martiaux ayant réellement existé, qui non seulement a redonné fierté et honneur à son pays humilié en battant de nombreux champions étrangers, mais a également été ensuite un des grands réformateurs des arts martiaux puisque, à la manière du moine San Te qui avait ouvert l’enseignement du temple de Shaolin aux laïcs (cf. LA 36EME CHAMBRE DE SHAOLIN), il a permis à tous les Chinois qui le souhaitaient de s’initier aux arts martiaux (transmis avant lui encore essentiellement par l’hérédité ou à quelques privilégiés soigneusement choisis...) en disséminant dans tout le pays des écoles ouvertes à tous, quel que soit leur niveau. L’ironie de l’Histoire est que ce grand héros chinois est demeuré quasi-inconnu du grand public occidental, mais aussi de beaucoup de fans de films d’arts martiaux alors qu’il a fait l’objet d’au moins trois films dont deux sont mondialement célèbres ! Le premier est LE CHAMPION DE TAIJIN, film chinois qui a précédé de peu sur les écrans le premier TEMPLE DE SHAOLIN avec Jet Lee, et qui en France a connu une distribution confidentielle chez PANDA VIDEO dans les années 80, bon celui-là très peu l'ont vu, passons... Mais les deux autres vont forcément vous dire quelque chose puisqu’il ne s’agit rien moins que de FIST OF FURY / LA FUREUR DE VAINCRE de Lo Wei avec Bruce Lee, et FIST OF LEGEND de Gordon Chan (chorégraphié par Yuen Woo-Ping, tiens, tiens...) avec Jet Lee. L’amusant étant que Bruce et Jet n’incarnaient pas Ho Yuen-Chia mais ses élèves, celui-ci étant en fait ce fameux personnage du maître invisible, disparu mystérieusement avant le début du film… A signaler que dans la réalité il ne serait pas mort en combattant, mais après un combat : invité à dîner par une école concurrente dont il venait de vaincre le champion, il a été pris de convulsions et meurt quelques heures plus tard, les coupables n’ayant jamais été retrouvés, d’où les interprétations fantaisistes (?) vues dans LA FUREUR DE VAINCRE et FIST OF LEGEND… Donc Yuen Woo-Ping n’a certainement pas choisi ce personnage par hasard, cherchant à échapper à l’époque aux dizaines de copies qui inondaient le marché suite au succès de son DRUKEN MASTER. Mais littéralement obligé d’adopter un ton plus sérieux vu le personnage et sa disparition sinistre, il réduit ici considérablement la comédie cantonnaise lourdingue (sauf dans la scène de combat sur le bateau, à laquelle le héros ne participe pas et qui semble sortie d’un autre film…) et surtout les chorégraphies sont nettement moins alambiquées que d’habitude (c’est flagrant si on compare avec TIGRE BLANC, LE HEROS MAGNIFIQUE ou DANCE OF THE DRUNKEN MANTIS), les combattants cherchant avant tout le coup qui fait mal pour mettre l’adversaire KO immédiatement, un parti-pris réaliste logique et qui fait mouche, les nombreux et excellents combats étant d’autant plus intenses… Et surtout justifiés par un scénario très bien écrit, autre fait notable qui distingue LEGEND OF A FIGHTER des autres productions de l’époque (excepté les films de Liu Chia-Liang ou de Samo Hung), prenant le temps de nous faire croire à l’histoire et aux personnages avant de les lancer dans l’action. A ce titre la première partie est absolument remarquable, pas un temps mort et surtout une interprétation superbe de Yuen Yat-Chor (qui joue Ho Yuen-Chia jeune, une fois adulte c’est Leung Kar-Yan, excellent, qui prend la relève, une autre singularité au crédit du film). Et bien sûr le Yasuaki Kurata dans le rôle du précepteur, dont le jeu tout en nuances convient à merveille à son personnage d’espion japonais infiltré qui possède malgré tout des principes et un code d’honneur… Et c'est là que ça devient amusant, car Kurata interprétait un rôle similaire dans FIST OF LEGEND (le maître d’arts martiaux japonais, qui était en désaccord avec les militaires mais obligé d’affronter Jet « en aveugle » en tant que champion japonais…), hé bien pas du tout, ce n’est pas un rôle similaire, c’est le MEME PERSONNAGE avec quelques années de plus ( ! ! !), une idée de génie de l’avoir repris vieilli quelques années plus tard, signe de l’attachement de Yuen Woo-Ping au personnage (un Japonais rappelons-le !…), très symptomatique de la description honnêtre des fils du soleil levant dans ce film, qui rappelle fortement celle de Liu Chia-Liang dans son extraordinaire SHAOLIN CONTRE NINJA / LES DEMONS DU KARATE (dont le leader était… Yasuaki Kurata !). Et si on veut encore en rajouter un peu sur ce film séminal qu’est LEGEND OF A FIGHTER, on peut décrire l’extraordinaire combat final (là aussi le karaté et le judo ont rarement été aussi bien montré dans un film chinois) qui se déroule dans un dojo : non seulement il rappelle celui dans lequel arrive Bruce Lee dans LA FUREUR DE VAINCRE, annonce celui de FIST OF LEGEND quelques années plus tard, mais aussi celui de MATRIX ( !), impression renforcée par le kimono blanc que porte Yasuaki Kurata (identique à celui de Keanu Reeves), et si on ajoute que dans cette même scène Leung Kar-Yan se met à courir sur un mur le temps d’un plan très bref (à la manière de Carrie-Anne Moss dans la scène d’ouverture contre les policiers dans le film des Wachowski), on conclue que non seulement on est contents d’avoir vu un des meilleurs films d’arts martiaux de tous les temps, mais que Yuen Woo-Ping, à sa façon, est aussi un auteur et pas seulement un extraordinaire chorégraphe-réalisateur…. Le film est dispo chez l'éditeur anglais HKLEGENDS en DVD zone 2 dans une superbe copie restaurée...
  19. P... c'est mieux que le film !...
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