Ben

Moi je trouve que ça fait Espigoule reloaded aussi. J'avais vu la BA au ciné et ça m'avait sidéré tellement ça avait l'air à chier, et d'après les échos que j'avais eu à la sortie, c'est effectivement une horreur.

Lectures de ces dernières semaines: Excellent. Un ton cynique et doux amer, un humour pince sans rire, pour une histoire finalement assez sombre et dramatique. Les personnages sont tous des freaks, dans leur tête ou dans leur corps, et pourtant tous très attachants. Plus anecdotique que le précédent, mais pas désagréable, une histoire qui prend pour toile de fond la compétition ultime de body building, et comme héroine la favorite de ladite compétition, qui voit sa famille de péquenots du Sud débarquer pour l'encourager. Là encore, les freaks de tous poils sont au rendez-vous; ça part dans un ton sec et sombre pour vite devenir plus léger lorsque débarque la famille de ploucs. C'est même parfois un peu too much (ça m'a fait penser à du Kinky Friedman par moments), mais sur la longueur, ça passe, surtout grâce à des persos tous très bien écrits et très riches. Comme dans Le chanteur de gospel, le final est un impressionant crescendo de tension et d'émotion. Mon premier Lehane. Après Harry Crews, on se dit qu'il boxe pas vraiment dans la même catégorie, mais finalement, ça le fait bien. C'est moins ambitieux, ya qqes grosses ficelles scènaristiques et des propos pas forcément très subtils, mais ça se lit tout seul. Du "easy reading" de qualité. Et là j'attends avec impatience que La Poste me livre

Rhaaaa Marielle qui réclame son pot d'eau chaude

Yes, j'avais bien kiffé Wackness ("La loose" ) et c'est clair que le clip m'y a également fait penser direct! Pour le coup, je lui trouve un ptit côté Biggie à ce morceau, en ptet un peu plus laid back

J'accroche pas à tout, mais c'est vrai que ça passe bien en cette saison Et puis, ne serait-ce que pour celle-là UnAbszcy3bs Ca sonne comme si ça sortait direct des glorieuses 90s

Comment ça!? Et Naomi qui se carresse, non!!????

Un truc pas tout récent, mais je découvre l'album, et c'est absolument En direct de Vancouver: EVIL EBENEZER 38hzm9Dhtdw mX192pTq2Sw qgDL1D3o7QA L'album est excellent, avec des morceaux assez variés, même si on retrouve toujours son style nonchalant caractéristique

J'ai vu cette BA hier (d'abord cru à un fake vu la voix du type, et vu comme c'est con ce qu'il raconte), et j'ai trouvé que ça envoyait bien [dmotion]xjdmc8_space-battleship-bande-annonce-trailer-vf-hd_shortfilms[/dmotion] Alors si j'ai tout bien suivi, c'est l'adaptation de Space Battleship Yamato, manga de Leiji Matsumoto, qui est aussi le créateur d'Albator et de Galaxy Express 999, et qui est ici aussi au scénar. Et c'est réalisé par le mec qui avait fait The Returner. Ca sort le 3 Août en vidéo, et ce sera malheureusement sûrement nul

Je me suis fait chier, j'ai donc pas peur de l'eau Ya un certain parti pris réaliste qui te colle au milieu des naufragés, sauf que 4 mecs qui nagent au milieu de l'océan, bah c'est chiant. Et vu que ça ne cherche pas à faire dans le spectaculaire, c'est une succession de "ya un truc là bas? Non ya rien. Attends je mets mon masque, je regarde sous l'eau. Ah non. Ah si ya un truc! Ah non...jsais pas trop...Ah ben si, ça t'a bouffé la jambe!" En effet si on marche et qu'on s'identifie, ça peut peut être le faire, mais si vous cherchez du charclage par des gros requins, passez votre chemin. Et puis c'est quoi cette scène de naufrage? Ils ont oublié de monter des scènes? Le mec cherche ses corn flakes, le bateau touche un récif, et hop, le plan d'après, le bateau est retourné et rempli de flotte...

Tout fout le camp. Aujourd'hui, on peut avoir un piercing à la lèvre, une mèche folle et faire du rap. Quelle époque de merde. dg7K-5BHnGY&feature=relmfu

uZ7JKmcLTsI&feature=player_embedded Bah moi ça me fout la trique.

Ah ben tiens, 5'9 sort un nouvel album cet été (il doit vouloir une nouvelle télé), et bof: xAeVkEve4_Y v-b6N3mCdwQ

Pareil. Et comme das chaque film de Wan, t'as au moins une scène absolument mortelle, ici celle où la vieille met son masque, pendant laquelle j'étais complètement (alors ok, le coup des flashs et la vue à travers la visière du masque, c'est totalement gratuit et juste là pour faire des effets de réalisation, mais putain qu'est-ce que c'est bien foutu!) Et puis Rose...

Bon bah Triptik c'était mieux avant (bouh les victimes de la mode) The clipse, c'était mieux avant aussi (Lord Willin ) Et Benj a bien raison d'insister, j'ai jeté une oreille à Bad meets Evil, ça envoie pas mal, et ça fait plaisir que 5'9 fasse enfin un bon truc, parce que ce mec a laissé voir un grand talent par ci par là, mais niveau album solo, ça volait pas haut (putain le dernier... )

La tagline de l'affiche originale est pas dégueu non plus Je plussoie ardemment Natale, du bon polar US de la grande époque, où en quelques scènes, on savait te poser des personnages avec bien plus de complexité que certains films ne sauraient le faire en 1h30. Duvall est justement un faux gentil, surement pas le bandit au grand coeur, qui ne fait pas d'états d'âme et est assez prompt à coller deux ou trois baffes à cette pauvre Karen Black (le double aller-retour à la fin du film ).Son duo avec Joe Don Baker fonctionne bien (même si ce dernier fait un peu trop nounours pataud...en tout cas, bonne année pour lui puisque en 73, il était également le super méchant de "Tuez Charley Varrick" ), le personnage de Karen Black est par contre un peu en retrait et n'a pas vraiment d'utilité, c'est dommage. J'ai beaucoup apprécié le côté immersif dans le Milieu, et l'impression générale qu'on a affaire à des "artisans" du crime, des mecs pour qui être un gansgter est un job comme un autre, ce qui enlève tout glamour au gangstérisme (même si le boss a une belle baraque et une jolie pépé). On a ainsi nombre de scènes et répliques qui placent l'action des personnages a un niveau très "fonctionnel"; ils n'agissent pas par idéaux ou par romatisme: "votre patron est mort, vous n'avez plus de job ici", et les mecs se barrent sans chercher à venger l'honneur du patron ou quoi que ce soit; un type qui, ayant engagé un tueur, se demande pourquoi la cible lui en voudrait, ce n'est que du bizness après tout; ainsi que les us et coutumes de la profession desquels sont imprégnés les différents protagonistes (avec le tueur au début, lorsqu'ils braquent le coffre, ou avec cet homme de main (à qui il a dit avant qu'il n'était pas assez payé pour jouer les héros) à qui MacLean demande de se tourner et qui répond, sachant que c'est pour l'assommer, "du côté gauche stp, mon oreille droite est faible". Même les motivations de Duvall sont très terre à terre: on a bien l'impression que, plus que pour venger son frère, c'est très prosaiquement pour récupérer de la thune qu'il part en croisade. Vu en VF aussi, et c'est même pas grave.

Ouias je viens de mater, c'est vrai qu'il y a à boire et à manger. J'aime bien "Jreprésnte Paris", "Le produit", "Dans ma caisse" ou "Volvo". Le strucs de Tony Lunettes, j'accroche moins. Les prods sont vraiment bien et pourtant le crunk, carrément pas mon truc. J'aime bien le délire en tout cas.

Je connaissais pas, je trouve ça mortel! Bon j'espère qu'il rape pas toujours comme ça parce que ça doit saouler, mais la prod

BONSOIR, MADAME!

Un peu partagé. J'aime beaucoup la musique, l'atmosphère entre rêve et réalité, et plein d'idées intéressantes et intrigantes (la relation avec le cactus ). Les scènes gores sont également en effet sacrément dégueus... Mais je ne sais pas, peut être n'était-ce pas le bon soir, peut être trop d'ellipses, mais j'aurais bien aimé qu'il soit plus explicite sur certaines idées, ou qu'il dévelope un peu plus qqes pistes. Pas tout compris au final Ca mérite sûrement d'être revu donc; j'enchaine sur Wife collector, peut être qu'une vision plus globale sur ce qu'a fait le bonhomme m'aidera à capter (ou alors ptet que je suis juste con).

Le blouson fait pas très Cannes par contre J'aime beaucoup, cette affiche. Après l'extrait fuite en bagnole à 2 à l'heure, l'affiche avec le blouson preque cool mais pas vraiment en fait, c'est cohérent et bien dans le style de Refn.

Je découvre ça: XSbZidsgMfw Le clip, le morceau, putain de tuerie AH OUAIS CA A DEJA ETE POSTE, PUTAIN DE TUERIE QUAND MEME

Rien à voir ! Dans transformers : - Les robots sont géants - Ils sont pleins - Ils se transforment en truc - Ils pètent des trucs - Ils se battent avec des armes de destruction massive - Ya pas de gosse - Ya Megan Fox - Yavait peut être des violons, j'en sais rien, j'ai surtout souvenir que c'était FORT ça fait toute la différence Et je doute que, même dans l'intimité du vestiaire, on puisse apercevoir les balloches du robot de Jackman. Alors que chez Bay, t'as tout le temps de les voir se balancer au gré du vent (sinon ça sent mauvais. Si ya bien des mecs qui sont pas faits pour la boxe, c'est les robots. Quand un boxer prend un coup, t'as pas envie d'entendre "CLING" mais de voir voler le sang, les dents et la morve )

L'inverse de Martin et DPG pour moi, j'ai trouvé que ça partait gentiment pour progressivement monter en puissance dans la deuxième moitié, et finir en m'ayant quand même mis une bonne petite claque. Le début m'a un peu déçu car sans être déplaisant, ce n'était pas très ambitieux et ne dépassait pas l'aspect film de gare, mais à partir de l'arrestation, avec le début des manigances de chacun, Fini la famille unie, la meute, là c'est la loi de la jungle où on s'entre-dévore. Le portrait de la famille est brillant, et les persos sont ultra riches, avec beaucoup de non-dits et d'éléments de leur histoire que le film laisse devnier sans les mentionner. Ca peut en effet manquer de niak, mais je pense que cela vient surtout du parti pris assez clinique et observateur de ce qui passe, et de la réalisation discète, avec une caméra omniprésente mais pas envahissante. Perso j'ai vraiment ressenti une belle montée en puissance dans la deuxième partie, pas de rage certes, mais une atmosphère qui va crescendo, lentement et implacablement, sans astuces tape à l'oeil, mais juste en tirant parti de ce qui a été mis en place au préalable.

Moi aussi bien aimé. Mais alors c'est très surprenant, on s'attend à la comédie classique apatowesque, et on a une histoire touchante et subtile, sans être plombant, qui ressemble dans la forme à un épisode de Strip-Tease Du coup, ça fait la part belle aux acteurs, qui devaient être assez libres et ont du pas mal improviser, et sont tous excellents. Pas de levrette pour Marisa cette fois, mais elle a de jolies bouclettes. Et on voit Cyril Despontin sans pantalon.

Dans mon souvenir, ya en effet aucune pourquite avec les flics dans le bouqin. Par contre les flash backs et surtout le final étaient assez vénéres, bien que brefs, si je me rappelle bien, non? Mais c'est vrai que c'est du sur mesure pour Refn, jusque dans la relation avec la voisine (il a déja fait dans Pusher, il sait faire) quoi qu'il en soit.