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Ben

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Tout ce qui a été posté par Ben

  1. Tu as retitillé mon intérêt, je le volerai avec plaisir
  2. Je voulais également me le faire offrir (après en avoir entendu parler sur le blog de The End ), alors je suis allé checker la bête en librairie, et j'ai pas mal déchanté Déja, c'est bilingue, donc les 250 pages et des bananes, ça fait plus que la moitié. Après, ça met en avant le côté "conversations avec James Gray", et c'est bien ce qui m'intéressait, sauf que les conversations avec James Gray, c'est quand même super réduit. Ya beaucoup d'illustrations (très belles, certes), des interviews avec acteurs et producteurs, et finalement, les interviews avec Gray ne sont pas si nombreuses, et, s'il parle de tous ses films, ça ne va pas au delà, ce ne sont pas de longues conversations sur le cinéma comme je le pensais au départ (Florent confirmera?). Après, c'est un très beau bouquin, mais vu le prix (autour de 45 euros je crois) ça fait un peu chier.
  3. Ben

    Lifeforce - Tobe Hooper (1985)

    Jamais vu jusqu'à hier soir, et bien j'ai envie de dire: "pfiiiouuu la bonne tuerie que voilà!". D'ailleurs je ne me gêne pas: pfiiiouuu la bonne tuerie que voilà! Du cinoche total, ça part direct avec la séquence spatiale qui calme d'entrée de jeu, et ça ne s'arrête plus, pour deux heures d'un putain de ride! C'est audacieux, aussi bien visuellement que dans l'histoire, parfois gentiment dérangeant et incorrect, et parsemé de scènes hyper marquantes. Mais je crois que ce que j'ai préféré, c'est le dynamisme du film, sa façon de constamment rebondir, surprendre et se renouveler aussi bien dans l'intrigue, le genre que dans les personnages. Et à aucun niveau, il ne fait daté. Et les sfx comme les séquences spatiales sont excellents. Et la musique tue. Ce film est vivifiant, et bon pour la peau.
  4. Ben

    Warlock - Steve Miner - 1989

    Sans être aussi fan que Bloknotise, je trouve que c'est une sympathique série B qui se regarde sans ennui. C'est d'ailleurs sûrement son principal défaut: être plus un divertissement qu'une péloche d'horreur, et d'adopter un ton finalement assez léger plutôt qu'une ambiance plus dark. Du coup la menace de fin du monde, on ne la ressent pas vraiment, et j'ai connu plus inquiétant que le sorcier campé par Julian Sand (il fait limite rigoler avec tout ce qu'il prend dans la gueule; si vous vous souvenez la scène des clous dans les empreintes, j'ai même cru que c'est dans l'empreinte de son postérieur sur le tas de sable qu'elle allait enfoncer le dernier clou ) Mais le casting est très bien, surtout Lori Singer qui fait passer nickel son personnage de gentille fifille coeur d'artichaud rigolote. Et la BO est très bien.
  5. Ah oui oui, pour moi c'est juste un truc nul au milieu de pleins d'autres trucs nuls
  6. Rhaaaaaa je l'ai trouvé vraiment horripilant dans son rôle de side-kick rigolo maladroit qui fait des bourdes (enfin son rôle dans le film plus que lui même, c'est vrai que lui est toujours plutôt bon). Putain le coup de la main en plastoc, c'est lamentable, on se croirait dans une comédie française des 80s avec Villeret et Lefevre. Perso, un MI, je préfère que ce soit sérieux (ou alors pas aussi grossier), les mecs c'est quand même l'élite des agents secrets, et là t'as un espèce de guignolo-geek qui se retrouve agent de terrain, et qui peut pas s'empêcher de parler quand il stresse (mais pas de problème, il infiltre le Kremlin finger in da noze, en lachant des blagounettes de temps en temps). Affubler le héros d'un zozo qui fait rire à peu de frais, dans "Espion et demi", avec plaisir, mais je trouve que ça n'a vraiment rien à foutre dans MI.
  7. Ben

    Une nuit - Philippe Lefebvre - 2012

    Et j'aimerais bien voir un buddy movie avec Rochdy Zem et Samuel Le Bihan
  8. Ben

    Une nuit - Philippe Lefebvre - 2012

    Ca se suit bien, sans jamais coller au siège. Je pense que c'est typiquement le film dans lequel ce qui est pour les un un défaut sera une qualité pour d'autres. Par exemple, j'ai bien aimé la construction du récit, on ne peut plus simple: un trajet en bagnole/Forestier sert à rien >> une boite >> un trajet/Forestier sert à rien >> une boite >> un trajet/Forestier sert à rien, etc... Avec à chaque arrêt boite, une info supplémentaire sur les persos ou l'intrigue. J'ai surtout bien aimé au début, car ça lasse un peu sur la longueur, il aurait peut être fallu casser le rythme à un moment. Par contre j'imagine aisément que cette construction puisse gonfler(notamment en effet le côté Paris Dernière), notamment lorsque Weis va rencontrer 5 fois le même type, dans 5 endroits de Paris différents, pour lui parler 3 minutes à chaque fois (mais bon, c'est un classique du film de gangsters; ils sont pas logiques ces gens là). Après, on a le fait que Weis semble toujours tout contrôler; même s'il cherche des infos, il sait toujours comment les obtenir. Ca lui donne une certaine envergure, mais en même temps on ne le sent jamais en danger... Enfin ya le récit lui même, tout sauf spectaculaire, et ceux qui sont venus chercher de l'action en seront pour leur frais. A y regarder a posteriori, le titre donne d'ailleurs un indice. Ca aurait presque pu s'appeler "Une nuit comme tant d'autres"(presque hein, il se passe quand même des trucs!!). Mais on a le sentiment que ce qui intéresse le réal, c'est de nous embarquer avec ce flic pendant sa nuit, de nous montrer les dessous, plus que l'intrigue policière à proprement parler. Ca a indéniablement son charme, mais c'est aussi un peu trop pépère sur la longueur. D'ailleurs, peut être qu'un des défauts du film, c'est de la jouer un peu tendu au départ (notamment avec la musique lors des trajets en bagnole), alors qu'au final c'est une nuit presque banal qu'il nous raconte. Peut être aurait-il fallu aller plus dans le côté polar, ou plus dans le côté "quotidien d'un flic". Mais ouais, on s'en fout un peu.
  9. Fort déçu, j'ai trouvé ça très moyen au final. La réalisation ne m'a pas abasourdi, et est même parfois un peu lourde (la séquence contemplative sur des visages mélancoliques, le tout sur fond de musique country tristoune). Le scènar est parfois confus, souvent très convenu et cousu de fil blanc. Surtout, les personnages et leurs rapports sont très basiques et n'évoluent pas vraiment. Etant entré dans la salle plein d'optimisme, j'étais bien dedans dans la première partie, aux aguets, espérant que les éléments mis en place allaient se combiner par la suite pour donner qqe chose de sympa. Mais non, ça reste très premier degré, très en surface. Finalement on passe son temps à espérer que le film va finir par se reposer sur les jalons posés pour prendre plus d'ampleur. Hélas on se rend bientôt compte que ces éléments ne sont pas des jalons pour mener à quelque chose de plus ambitieux, mais qu'ils se suffisent à eux même, qu'ils sont leur propre finalité. Et dans la deuxième partie, quand on finit par capter que le film ne grimpera pas vers des cimes plus élevées, on commence même à s'emmerder un peu
  10. Ben

    FERMETURE DU FORUM le 31 décembre

    Inadmissible. Amateur!
  11. Ben

    Shame - Steve McQueen - 2011

    Ca marque clairement qu'il a pris conscience de son problème. Mais le mec est un addict et donc sujet à des pulsions, il fait pas ça de façon raisonnée. Si ce dernier plan signifie"j'ai réalisé que c'est pas bien, que ça me bouffe, je vais arrêter", c'est assez simpliste et irréaliste. Le mec ne va pas s'arrêter du jour au lendemain, il entre dans une nouvelle phase de sa maladie: il est conscient du problème, ça le dégoutte, mais il va être constamment tenté. Il a clairement fait un pas avec cette prise de conscience, mais il est loin d'être sauvé pour autant. Pour moi, le dernier plan illustre cela: comment il va être constamment pris entre la raison et les pulsions, et le combat quotidien qu'il va devoir mener pour résister à celle-ci. Dans cette dernière scène, la nana qui allume représente la tentation/pulsion tandis que son alliance représente la raison (au passage McQueen est en plus ici bien cruel puisque, alors qu'au début du film, la nana ne faisait rien de particulier, et que déja ça rendait Fassbender dingue, cette fois, il nous la montre en mode seductrice, donc encore plus difficile de résister). Je pense pas que le plan final soit moralisateur, ce n'est pas le sexe que juge McQueen, mais le recours à celui-ci de façon compulsive pour fuir la réalité et son problème de communication. La scène jumelle dans le métro nous montrait un beau mec sûr de lui et séducteur, là on nous montre un mec malade, désemparé, et qui flippe en réalisant l'enfer potentiel dans lequel il va vivre.
  12. Ben

    TOP / FLOP 2011

    LES MEILLEURS X-men Submarine The murderer La planète des singes This must be the place Drive PATATES Harry Brown Hell driver Animal kingdom Attack the block Warrior L’exercice de l’Etat Shame Nuit blanche TOP Tron l’héritage Black swan Winter’s bone Essential killing La proie Source code Priest Insidious Balada triste Habemus papam BIEN MAIS PAS TOP 127 heures Sucker punch Le complexe du castor Super 8 NEDS Hors Satan Contagion MOYEN PLUS Incendies Jewish connection True grit Les marches du pouvoir Detective Dee Thor Les nuits rouges du bourreau de jade La conquête Le moine MOYEN MOYEN Paul Blackthorn Le chat potté Poupoupidou MOYEN MOINS Malveillance The troll hunter CA DEVIENT PENIBLE Fast 5 Omar m’a tuer Captain America Tu seras mon fils Mission Impossible 4 NUL Scream 4 J’ai rencontré le diable PIRE TRUC DE L’ANNEE Robert Mitchum est mort Pas de claquage de beignet ultime cette année, mais pas trop trop de trucs à chier par terre non plus. Et je m’aperçois surtout que j’ai raté un max de trucs
  13. Ben

    Shame - Steve McQueen - 2011

    Ah pour ma part, j'ai interprété ce plan différemment. Pour moi, le film s'arrête avant la fin de cette scène; on quitte Fassbender tandis que la caméra scrute son visage pour savoir quelle décision il va prendre: changer et rester sagement assis, ou re-céder à ses démons et se lever pour traquer la gueuse. Mais McQueen ne nous donne pas la réponse, et choisit au contraire une fin totalement ouverte.
  14. bSX2oxLdcWA Par le mec qui a fait le doc sur Justin Bieber et Sexy dance 2 et 3 ALORS!!!???
  15. J'ai trouvé ça assez moyen au final. Ca part pourtant très fort dans les 15-20 premières minutes, avec un chat potté charismatique en diable, qui en impose sévère. Mais dès l'introduction des autres persos et avec le flash-back, gros coup de mou. Les mecs se sont vraiment pas fait chier pour l'histoire, c'est du très très basique. Qui plus est, le vol des oeufs d'or en haut du haricot magique, c'est pas vraiment ce que j'étais venu chercher... Y a aussi pas mal de scènes qui sont "mouais ok" mais auxquelles il manque le petite quelque chose pour être vraiment "whaouu" (exemple typique: la scène de danse, un peu paresseuse, pas honteuse, avec des trucs qui font sourire, mais sans rien de vraiment méorable). Après, c'est parsemé de trucs bien sympas, mais dommage que tout n'ait pas été dans l'esprit de l'intro, et que finalement, le film n'ait pas été vraiment centré sur le chat qui fait son numéro (sans ce putain d'oeuf, même s'il a du style dans sa combinaison dorée) puisque c'est au final ce que l'on vient chercher et ce qu'il y a de mieux dans le film.
  16. Ben

    Omar m'a tuer - Roschdy Zem (2011)

    Oui mais tout ça n'est la faute ni des arabes, ni des jardiniers, et encore moins des moustachus.
  17. Je l'avais vu posèment auparavant Par impressionnant je veux dire que le postulat de départ est a priori moins wtf que ses deux précédents. Mais finalement, c'est un film tout aussi audacieux (un film sur un vieux samurai quasi muet qui fait une trentaine de numéro de clowns, faut oser quand même)
  18. Ben

    Omar m'a tuer - Roschdy Zem (2011)

    Tout à fait d'accord, ça se borne à de la simple reconstitution basique. Que ce soit l'aspect social de l'affaire, l'aspect enquête, l'aspect procès, l'aspect complot (avec tout ça y avait moyen de faire un film touffu!), rien n'est développé; c'est juste de la mise en image d'une affaire et dans ce genre, je préfère Hondelatte. Ca fait très film d'acteur: avoir un sujet qui te tient à coeur et vouloir le porter à l'écran c'est bien, mais ça suffit pas à savoir faire un film. Mais Podalydès qui prend les virages à fond sur sa mob
  19. Pareil que Cyril, c'est très bon, même si c'est un chouia en dessous de ses deux premiers, peut être parce que c'est moins "impressionnant" et plus personnel (ça fait écho à son passé d'amuseur public, et je crois qu'il a eu une gamine juste avant de commencer ce film). Mais on retrouve l'humour de Matsumoto et son sens du rythme absolument incroyable, ce mec sait utiliser les longueurs comme personne. C'est aussi assez touchant et impossible de se débarrasser de la musique de fin
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