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kevo42

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Tout ce qui a été posté par kevo42

  1. 2 énormes morceaux, dans des genres différents. Pour les curieux, le poème samplé dans no geography Perso mon morceau préféré sur cet album est celui-là
  2. The show est un long métrage qui fait suite aux courts-métrages Show pieces, dont je n'avais jamais entendu parler et qui ne sont semble-t-il disponibles que via shudder, ce qui expliquerait cela. Exploration d'un monde qui semble un mélange d'horreur psychologique, de burlesque et d'accents anglais, le film semble surtout intéressant par son scénariste : Alan Moore. Celui-ci a déclaré au moment du lancement de la production : "« Je voulais voir s'il était possible de créer un monde immersif et addictif sans dialogues superflus, sans personnages que l'on oublie, un monde où chaque figure est mémorable, remarquable et tente de voler la vedette pendant le spectacle, comme nous le faisons nous-mêmes dans nos vies », explique Alan Moore, qui promet du « spectaculaire »..." (source ActuaLitté) Vu la déception qu'était d'une certaine manière le Mirrormask de Neil Gaiman,je suis très méfiant, mais j'ai envie de croire que ça peut être bien.
  3. kevo42

    Mon cousin - Jan Kounen - 2020

    J'étais allé voir Pension complète au cinéma, car je m'étais engagé à le chroniquer pour un site. Je suis parti au bout de trois quart d'heure. C'était monstrueusement nul et je ne connaissais même pas l'assiette au beurre, donc je n'avais pas d'élément de comparaison. Dans le même ordre d'idée il y a aussi 20 ans d'écart de David Moreau. et surtout Budapest de Xavier Gens qui a l'air d'être son film qui fait le plus peur.
  4. Vincent Lindon (qui a le même prénom que Bolloré, comme par hasard) est un homme d'affaire qui a réussi. Il veut vendre la société familiale pour avoir encore plus d'argent. Problème, il doit convaincre son cousin, qui est un babos doublé d'un poissard façon Pierre Richard, de céder aussi ses parts. C'est le début d'une grande aventure familiale. Quand j'étais au lycée, j'avais adoré Doberman, Vibroboy, et Gisele Kerozene. J'avais écrit un article dans le fanzine de la MJC d'Annemasse que Jan Kounen était le futur du cinéma français. 20 ans après, on en est là. Je n'ai pas le coeur de voir ce film au cinéma. On dirait un mélange de Rain man, de films de Coline Serreau et de films avec Dany Boon. Quelqu'un peut-il me dire si le film est aussi affreux que la bande annonce ?
  5. kevo42

    The Witches - Robert Zemeckis (2020)

    Très bonne nouvelle. Même si Zemeckis est moins en forme ça peut être bien
  6. kevo42

    The Witches - Robert Zemeckis (2020)

    Ca me rend triste que le film sorte directement en VOD.
  7. Alors, je sais pas si la version consoles est aussi jouable que sur PC, mais le jeu est dispo sur PS4, Xbox one et même switch. Edit : je mets l'avis de Gamekult sur le portage PS4 Après un long crawl d'essai sur Xbox Game Preview avec Unknown Worlds au développement, l'excellentissime Subnautica émerge cette semaine des abysses et s'en vient régaler les possesseurs de One, mais aussi de PlayStation 4. C'est Panic Button Games (Rocket League Xbox One et Switch, Doom, Wolfenstein II et Warframe sur Switch) qui s'est chargé de finir le boulot, pour un résultat cette fois - et sans mauvais jeu de mots - entre deux eaux. Techniquement d'abord, Subnautica ne tient pas la charge sur toutes les machines qui l'ont accueilli ce mardi 4 décembre. Sur PS4 “fat”, l'expérience paraît plus ou moins au rendez-vous durant les premières heures de nage, mais prend malheureusement un bon coup dès qu'on fabrique son premier submersible. Comptez alors 20-25 fps de moyenne en vitesse de pointe, des sursauts et des surprises visuelles extrêmement tardives quand vous pilotez le fameux Seamoth, un jouet pourtant central dans l'exploration de la planète 4546B. Sur Xbox One S - clairement le martyr du lot - Subnautica a d'emblée l'air d'un jeu Xbox 360, aliasé, texturé au crayon gras, sans pour autant pouvoir garantir un minimum de fluidité à tout instant. Deux plateformes exclues d'office du reste de cet encart, donc. PS4 Pro et Xbox One X sont fort heureusement - et évidemment - mieux loties et couplent framerate stable et rendu fin dans la plupart des situations, à deux exceptions près. La première, c'est évidemment cette remontée à la surface qui se termine souvent en micro (et parfois macro) freezes, un problème connu des acheteurs PC à la sortie, mais réglé dans les mois qui ont suivi. La seconde concerne celles et ceux qui voudront s'adonner au housing étendu, avec de courtes paniques du moteur lorsqu'on marche au pas de course dans une base sous-marine richement équipée. Ca, c'est pour les petites surprises qui n'entacheront probablement pas votre plaisir de jeu, tout comme elles n'avaient pas entravé le nôtre en début d'année sur PC. Dommage tout de même de ne pas trouver une réglette Performances / Qualités, comme c'est de plus en plus courant en matière de bons portages de salon. Plus embêtant avec ces adaptations consoles du chef-d'oeuvre d'Unknown Worlds : cette corruption d'un micro-nano-pico-fragment de l'ADN originel du jeu. Raboter la distance d'apparition d'un biome dans Subnautica, c'est comme filer un glaucome à Link dans Breath of the Wild : toute l'exploration est de fait légèrement modifiée. Mais c'est pourtant l'angle d'attaque choisi par Panic Button. Le pop d'éléments "par couches" (d'abord une masse rouge visible de très loin, puis des herbes et des éclaircies sablées à mesure que l'on s'approche) est remplacé par un nouveau streaming qui fait parfois surgir sur le tard de grands pans de terrain ou des dominantes entières de couleur. C'est donc en quelque sorte la signalisation du jeu qui est modifiée, même si pas de beaucoup. Notez bien le distinguo entre "différente" et "plus mauvaise" dans cette approche de l'apparition des éléments : la version PC n'était pas parfaite non plus, et puisqu'on ne découvre Subnautica qu'une fois, difficile pour nous de juger cette partie en seconde visite. Question confort en revanche, pas de doute : Subnautica a désormais ses versions dites "inférieures". Allez, légèrement inférieures, car il faudrait bien plus pour décrocher un tel monstre du podium. Le champ de vision bloqué autour des 60 degrés par exemple, vous laisse le nez collé au masque, avec couteau et lampe torche très près du visage. Aussi, et c'est peut-être le seul vrai problème universel de ce portage : l'absence de fonctions visant à améliorer l'expérience au pad. On aurait notamment aimé que Panic Button adapte en conséquence les interactions avec les éléments à la fois proche et mobiles. La pêche aux petits poissons demandait déjà un brin d'adresse à la souris, et elle se trouve ici transposée à l'identique, avec le même curseur discret, les mêmes bestioles louvoyantes et la même capture au pixel près. Aux sticks, certaines récoltes simplistes peuvent ainsi déborder sur de longues minutes de poursuites grotesques, bien au-delà de ce que visait Unknown Worlds sur PC. Enfin, et on n’en tiendra pas compte dans la note car les développeurs parlent de patchs déployés dans quelques heures/jours, que les plus pressés soient prévenus : chaque version souffre pour l’instant de son vilain bug vulgaire, avec des crashs intempestifs durant certaines sauvegardes sur PS4, et des ressources (soufre, cuivre) absentes de certaines parties générées sur Xbox One. Patience, donc.
  8. De ce que j'avais compris c'est bien mais subnautica c'est toujours mieux.
  9. kevo42

    La Porte d'Entrée

    Bottine ! Ce nouveau forum est d'ores et déjà un succès public.
  10. kevo42

    What do U think of : Superbus ?

    Y-a-t-il un sujet sur Shaka Ponk aussi ? Je mets le sujet sur la table
  11. kevo42

    US Marshals - Stuart Baird (1998)

    Ca me fait penser que j'ai jamais vraiment compris cette histoire de Gens Poutre.
  12. Une musique qui à défaut de poser ses couilles met au moins sa bite sur le synthé.
  13. Ma copine et moi avons découvert ce clip grâce aux suggestions youtube, suite à la vision du clip de Cardi B. Je crois que c'est parfait pour rouvrir ce sujet. Attention, je crois que c'est le truc le plus vulgos que j'ai vu.
  14. kevo42

    NOUVEAU FORUM

    Cyril, l'homme qui met à jour les forums. Merci ! Hâte de profiter de toutes les nouvelles fonctions.
  15. Une esclave cherche à s'évader d'une plantation de coton sudiste. La réalité est néanmoins plus complexe que cela, mais pas trop complexe quand même. Disons qu'en gros, c'est la BD de valeurs actuelles sur Danièle Obono, le film. Le teaser qui balance tous les twists du film dans la plus grande tranquillité ZUrGn6HhAUw Drôle de film que ce Antebellum. Dans son montage, tout semble fait pour ménager un effet de surprise qui ne fonctionne pas, car toutes les bandes annonces et toute la promo grille le truc. Du coup, je ne sais même pas comment vous en parler. Faire comme si vous ne saviez pas de quoi ça parle ? Ou se dire que l'on s'en fout, on "divulgâche" tranquille. Le film a quelques qualités. Il est soigné visuellement, Janelle Monae est super (de manière générale d'ailleurs), et on ne s'ennuie pas trop. Mais dans l'ensemble c'est loin d'être dingue. Premier problème, le film est extrêmement superficiel. On a des femmes noires puissantes, des blancs racistes, et une opposition qui s'exprime de la plus brute des façons : l'esclavage. D'un côté, l'idée d'avoir de puissants hommes blancs qui vivent dans ce fantasme est pas absurde, tant le racisme de certains pro-trump est caricatural. D'un autre côté, malheureusement, la discrimination américaine est beaucoup plus louvoyante : la police tue mais a toujours le prétexte d'avoir pensé que la personne était criminelle. Les cartes électorales sont trafiquées pour minimiser le vote noir, et / ou l'on met moins de bureaux de votes dans leurs quartiers pour biaiser le résultat. Même si la symbolique sudiste est forte, je ne sais pas si ce côté reconstitution historique est intéressant. Ce que j'ai trouvé le plus intéressant dans l'aspect politique du film est encore le portrait de cette classe aisée noire, qui a un poids intellectuel important, fait du yoga, et se sent forte dans cette Amérique. Bon, ça ne va pas beaucoup plus loin qu'un clip de Beyoncé non plus, et la conférence de Janelle n'est pas au top niveau du ted talk. Deuxième problème : le film n'est pas non plus un vrai film d'horreur. Il y a un sujet d'horreur dont on devine très bien le potentiel, celui de l'enlèvement, de l'injustice qui lui est lié, de la perte d'espoir et de la brisure psychologique. Mais le film n'appuie pas vraiment là-dessus, sautant des éléments que l'on devine important pour le personnage (notamment par rapport à la première séquence, qui n'est jamais contextualisée), ne précisant aucun personnage secondaire, tous restant très schématiques. Je serai curieux d'ailleurs de savoir si le montage du film était prévu ainsi dès le départ. Le flashback, situé au milieu du film, contient en effet des éléments d'annonce de l'horreur à venir, qui n'ont aucun sens, vu que l'on sait déjà quelle est la situation du personnage. Y a un truc pas maîtrisé dans l'histoire, quelque chose de pas approfondi, qui est vraiment dommage, parce que visuellement c'était quand même un peu chouette.
  16. L'adaptation télé était chouette en termes d'histoire mais les costumes étaient vraiment laids. Les trucages dans les enfants de Dune étaient mega cheap.
  17. Je sais pas si c'est le montage, mais ils ont l'air plutôt en forme dans cette vidéo. Et ils font des choix sympa en plus.
  18. Titre original : little women L'adaptation du roman classique de Louisa May Alcott par Greta Gerwig avec un cast de fou, puisqu'on retrouve Saoirse Ronan, Emma Watson, Florence Pugh de Midsommar, Laura Dern, Timothée Chalamet, Meryl Streep et même Louis Garrel. kpknvXR8JSM 4 sœurs qui viennent d'une famille riche devenue pauvre car leurs parents ont trop aidé les autres pauvres. Elles ont toutes une passion artistique (musique, théâtre, écriture, peinture), mais sont confrontés à des choix propres au XIXème siècle : comment concilier amour et mariage quand la loi fait de la femme la propriété de l'homme ? Le mariage n'est-il qu'un choix économique ? Une femme peut-elle vivre de son art quand le monde artistique est fait d'hommes qui gardent l'entrée ? Et quand on associe les deux problématiques, ça fait beaucoup de problèmes. Sur le fond, c'est donc un peu white feminism, the movie : des femmes blanches, proche de situations de pouvoirs bien que déclassées, qui veulent faire valoir leur droit à l'indépendance, et dont la manière d'aborder la question des écarts de classe aux Etats-Unis passe avant tout par la charité. Il y a bien une scène où Laura Dern dit à une femme noire, oh la la il y a des jours où j'ai honte de mon pays, et la femme noire lui répond que c'est pas juste quand il y a des pères de 4 enfants morts au combat qui viennent pour une couverture chaude qu'il faut s'indigner, mais aussi pour la situation des noirs. Ce à quoi Laura Dern répond, ah oui j'ai honte aussi et on n'en parlera plus. La présence d'Emma Watson n'est pas étonnante du coup, vu qu'elle est un peu là-dedans. Bon après, on s'en fout un peu. L'idée c'est que le film est super bien. L'idée de rajouter des considérations sociales et féministes (même avec les limites que l'on peut donner et qui honnêtement dans un contexte XIXème sont pas étonnantes) à une comédie romantique est très bonne. Surtout les comédiennes et comédiens sont tous excellents, avec une direction d'acteur à la fois hyper juste et vivante. Même Louis Garrel est super. Timothée Chalamet a de très beaux cheveux. Le film est esthétiquement chouette, bien plus que Ladybird, et plus dense aussi en termes d'histoire. Louis May Alcott a grandi dans une famille proche de Thoreau et Emerson, ses parents ont milité pour l'abolitionnisme. Je crois que le roman est un peu romancé par rapport à ça. Le film essaie de remettre du réel dans la fiction, ce qui lui donne un côté méta, et allie très bien ce côté revendication (la scène de négociation des droits d'auteurs est encore très actuelle) et histoire romantique. Donc ça m'a vraiment plu. Seul regret, on n'a pas la chanson à la fin RsOtEoV5QuQ
  19. Vu enfin hier. Le film commence par le nom des acteurs sur des caisses dans un entrepôt, ce qui le place direct dans la Wonkeysploitation. Le résumé placé en début de sujet est clairement plus clair que le scénario du film, bien que l'action soit relativement simple. Sidaris compense un certain manque de budget par des nichons, des bazookas, encore des nichons, et un serpent en plastique. On ne peut pas dire que ce soit trépidant dans la manière de filmer, mais il se passe toujours quelque chose de suffisamment stupide pour garder l'attention. Et puis, il y a ces scènes cultes qui ont inscrit le film dans l'histoire, que ce soit le skater, le frisbee, ou le serpent sorti des toilettes. On les a beaucoup vues et j'étais content de les voir enfin dans le contexte. On ne dirait pas mais il y a un vrai travail de mise en situation pour le frisbee (pour rappel : https://www.nanarland.com/video-51-attrape-ca-.html ).
  20. Danielle Moonstar est transférée dans un étrange hôpital désaffecté suite à la mort de sa réserve indienne dans de mystérieuses circonstances. Elle y fait la rencontre d'autres adolescents troublés et ou rebelles, qui, attention spoiler, sont des mutants. Arriveront-ils à maîtriser leurs pouvoirs pour rejoindre les X-Men, où vont-ils crever dans cette demeure qui semble hantée ? Vous le saurez. aTS_5liIxLQ Le film est connu pour ses galères de production. La bande annonce dans ce sujet date de 2 ans, et je ne suis pas sûr que ce soit la première. N'ayant pas trop suivi l'histoire, je ne saurais dire ce qui a changé. J'ai cru comprendre que l'histoire devait mener au départ à l'introduction de Mister Sinistre, un méchant très important des univers X-Men et nouveaux mutants, qui promettait un cross-over comme on les aime dans les comics. Malheureusement, la franchise X-men étant un champ de mine en matière de continuité, cette idée n'a pas été gardée. Quand on y pense, Colossus, qui est le frère d'Ilyana, n'apparaît pas dans le film, alors qu'on le voit dans deadpool avoir une stagiaire qui appartient aux nouveaux mutants, mais n'est pas dans ce film, et lui-même est un x-men qui n'apparaît pratiquement dans aucun film des x-men et jamais avec cette personnalité. Quel bordel. Au final, qu'est-ce que ce film ? La promotion vendait un film qui fait peur avec des mutants. Je suis une grosse flipette et j'avoue ne jamais avoir eu peur devant le film. Comme dans l'expérience interdite ou dans catacombes, les héros sont confrontés à leurs plus grandes peurs et aux événements les plus traumatiques de leur vie. Ce n'est pas très original et franchement pas flippant, le tout n'étant pas aidé par des trucages plutôt moches. Par ailleurs, le film ne fait aucun mystère d'où viennent les apparitions, et le twist est loin d'être surprenant. Au final, tout est dans le nom du réalisateur, Josh Boone, réalisateur de nos étoiles contraires, qui donne une tonalité très roman young adult au film. Le film a une vraie bonne idée, pas inédite mais très x-men : dépeindre les mutants comme des adolescents traumatisés par les changements dans leur corps et par le mal qu'ils ont fait à leurs proches. On n'a pas ici des héros, mais des "malades" qui ont besoin d'apprendre à utiliser leur pouvoir pour pouvoir retrouver la société. On a du coup droit à un peu tous les clichés du film d'ado : la drague, les soirées interdites, la rebelle qui fait chier mais en fait elle a un grand cœur, et, originalité pour un marvel, une histoire d'amour lesbienne. Résultat, on a là un film qui n'a rien d'original en soi, mais le devient un peu par contraste avec les autres films de super-héros. Les personnages sont assez attachants, leurs pouvoirs sont assez fidèles aux comics (même si Solar a été blanchi, ce qui prouve que Josh Boone ne cèdera pas devant les gens qui dénoncent le white washing) et le film a un côté modeste, allant d'un point A à un point B d'une manière assez claire, qui est plaisant. C'est un peu le breakfast club rencontre l'expérience interdite rencontre nos étoiles contraires rencontre Buffy contre les vampires. Si on le prend pour ce qu'il est, un truc qui fait un peu peur pour adolescentes de 12 ans qui n'ont pas encore vu Anabelle, et aiment bien les belles histoires, c'est un peu chouette.
  21. Ruby Rose est une ex-marine reconvertie en groom d'un grand hôtel. Quand Jean Reno et sa bande prennent d'assaut l'hôtel, elle sera plus Steven Seagal que Spirou. pugLE1ifvbY On se demandait ce que devenaient Kitamura et Jean Reno et voilà la réponse. Comme le chantait Jean-Louis Aubert, t'as eu ce que t'as voulu même si t'as pas voulu ce que t'as eu. Je sais pas quoi en penser à part que ça a l'air nul.
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