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kevo42

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Tout ce qui a été posté par kevo42

  1. kevo42

    Le coin de la VR

    Je crois que tu n'en as pas parlé mais tetris effect est semble t il excellent au casque
  2. A voir la jaquette, on croirait un film sur la fac de droit de Lyon
  3. kevo42

    Guy - Alex Lutz - 2018

    Bon bah comme les deux personnes de qualité au dessus. J'avais peur que ce soit axé sur le côté fils caché avec du drama, et en fait c'est plus simple et subtil. Le film est rempli de belles scènes (genre quand il drague la responsable de la salle de concert, quand il retourne à l'endroit où il avait une boîte ou tout le final avec la cuite au strip club et ce qui suit). Un vraiment chouette film
  4. Non je pense que si t'aime pas, t'aime pas. Y a pas de twist qui donne un nouveau sens au film et tout se poursuit un peu au même rythme.
  5. Je pensais avoir ouvert un sujet sur le film et en fait non. Après l'avoir vu, je pense avoir saoulé mon entourage pendant 3 semaines pour expliquer à quel point c'était de la merde. Je me demande si c'est pas le pire film de la décennie alors que j'ai vu les petits mouchoirs et artemis coeur solitaire au cinéma. Le truc c'est que je crois qu'Assayas veut faire du Aaron Sorkin et recrache tel quel 1 an de lectures de livres hebdo. Même moi qui connaît un peu le milieu je me suis fait chier la mort. Mention spéciale au personnage joué par Juliette Binoche qui dit pouvoir appeler Juliette Binoche pour faire la voix du livre audio d'après le livre de Macaigne
  6. Une main que l’on voit d’abord coupée près d’un corps se réveille dans le frigo d’un laboratoire. Elle s’en évade et commence un périple dont on ne connaît pas la destination. Par des flashbacks, on comprend qu’elle a appartenu à Naoufel, un jeune homme qui, suite à la mort de ses parents, a perdu ses rêves et vit dans un immeuble anonyme de banlieue parisienne. La bande annonce : RTf-11SpSf0 Un mec des Inrocks qui dit que c'est bien, parce que je sais que l'avis des Inrocks est très respecté ici : wZmynUvnLJA Le dossier de presse : http://www.auvergnerhonealpes-cinema.fr/upload/documents/dp-j-ai-perdu-mon-corps-bd.pdf Premier long-métrage animé réalisé par Jérémy Clapin, j’ai perdu mon corps est l’adaptation du roman Happy hand de Guillaume Laurent, scénariste d’Amélie Poulain. L’originalité du film, et ce qui justifie entre guillemet le fait qu’il s’agisse d’un dessin animé, est le trajet de cette main qui parcourt Paris, cherchant à échapper aux pigeons, rats, ainsi qu’au regard des hommes. Les fans de la famille Addams apprécieront. Pour ce qui est de l’histoire principale, c’est-à-dire le destin contrarié d’un jeune homme maladroit qui va tomber d’une bibliothécaire rêveuse, et bien c’est pas mal mais pas fou non plus. On pense un peu à un roman Young Adult, genre John Green, mais à la française, avec au milieu une main qui cherche à retrouver son corps. J’ai assez apprécié l’approche de la banlieue qui est faite du film, c’est-à-dire un lieu qui peut être terne mais pas terrifiant. Techniquement, le film est esthétiquement chouette, même si je trouve que l’animation n’est pas super fluide, et ça m’a un peu gêné (mais bon, même si c’est fait par Xilam, c’est pas une grosse équipe non plus). J’avoue que je m’attendais à quelque chose de plus quand même. Les retours avaient l’air très positifs, le film a gagné de nombreux prix dont celui du meilleur film et prix du public à Annecy, et j’avais vraiment envie d’aimer. Mais globalement c’est pas non plus super émouvant, et la construction un peu compliquée pour pas grand-chose finalement. Je recommanderais néanmoins le film à Benj car il y a : de la menuiserie, de l’exploration urbaine avec un atelier en ruine, une belle scène de graph, et puis c’est joli.
  7. Bah en vrai, j'ai vraiment trouvé ça bien, mais j'aime beaucoup Honoré, même si j'ai failli tout arrêter après Non ma fille tu n'iras pas danser. C'est le film le plus "Gondry" d'Honoré sur la forme, puisque tout se passe dans la tête de Chiara Mastroianni, qui découvre par hasard que ses infidélités pouvaient choquer son mari (en gros, pour elle, c'était une chose entendue dont il ne parlait pas par politesse, alors qu'en fait il ne savait vraiment pas). Elle passe une nuit dans une chambre d'hôtel pour réfléchir, et effectivement, les fantômes du passé, mais aussi sa volonté, une sorte de sosie d'Aznavour en veste zébrée, viennent lui rendre visite. Un peu comme le conte de Noël de Scrooge mais avec du cul. Comme toujours chez Honoré, ça parle de l'amour qui va et vient et du désir qui dépasse tout, mais qui rend triste aussi, un peu, parce que la liberté de l'un peut blesser l'autre, surtout quand il s'agit de Benjamin Biolay (en plus Biolay et Mastroianni ont longtemps été mariés). Y a de très belles scènes, notamment celle où on sort du studio pour aller dans les Baies de Somme avec Carole Bouquet en guest.
  8. Patricia Mazuy est super cool dans la vraie vie . J'avais bien aimé Saint Cyr mais tout ce qu'elle a fait après est loin d'être bien. Dommage
  9. Titre original : the girl in the spider's web aXHDcA6RQ94 Millenium – Ce qui ne me tue pas – Fede Alvarez Un film qui déchaîne les passions Dans cette quatrième aventure, Lisbeth Salander rompt sa routine de punition de maris violents en partant à la recherche d’un programme capable de manipuler les armes nucléaires à travers le globe. Cela n’ira pas sans mal bien sûr, notamment car sa sœur est de la partie et qu’elle lui en veut pas mal. Quelle aventure que ce Ce qui ne me tue pas. Pas rassuré par le semi-succès du remake américain réalisé par David Fincher, Sony a beaucoup hésité avant de décider de sauter les parties 2 et 3 pour aller directement au premier roman de la trilogie écrite par David Lagenkrantz, successeur controversé de Stig Larson. Cela aurait pu être l’occasion de faire revenir Noomi Rapace, sauf que non, puisque Claire Foy devient le 3ème visage de la hackeuse punko-gothique. 3ème interprète aussi pour Mikael Blomqvist, pour un personnage qui a la particularité de rajeunir de film en film. La conséquence est que, si comme moi vous n’avez vu que le premier film suédois et lu que le premier livre en vous disant qu’Hollywood allait finir par adapter le 2 et le 3 avec plus de moyens, et bien c’est raté, et vous voilà un peu perdu devant les histoires de famille de Liseth Salander. Cela n’a pas non plus une très grande importance, puisqu’hormis une introduction dans la lignée du premier film, ce film a peu de rapport avec le reste. Le livre de Lagerkrantz était déjà dans une veine plus efficace et moins tournée vers la question des droits des femmes que les premiers livres, le film en rajoute en action en introduisant un péril nucléaire tout droit sorti d’un Tom Clancy. Mikaël Blomqvist y joue d’ailleurs un rôle de figurant au profit d’un Lisbeth Salander devenue le croisement de James Bond et du héros du jeu Watchdogs. Lisbeth est capable de pirater tout et n’importe quoi, de disparaître comme Batman, de battre au corps à corps des mercenaires, ou même d’échapper à des explosions avec une technique que ne renierait pas le Indiana Jones du crâne de crystal. Résultat, c’est gentiment n’importe quoi, et l’on n’est à cent mille lieu de l’ambiance glauque du premier film. Le film est même étonnamment prude, mettant Lisbeth Salander régulièrement pratiquement nue mais de manière très pudique, ou filmant des fusillades avec un minimum de sang. L’interprétation de Claire Foy est aussi très lisse comparé à Noomi Rapace ou même Rooney Mara. La mise en scène de Fede Alvarez est très agréable avec de vrais efforts de cadre et de couleur mais, faute de vrai suspens, de personnages poussés, de glauque ou même de thématique sociale, le film n’est pas très intéressant. On en sort avec une impression de gâchis, un peu comme le bonhomme de neige de Tomas Alfredson, lui aussi très beau en vain. La morale de cette histoire : en voulant rendre le film plus accessible en réduisant le glauque et en augmentant l’action, Sony a obtenu un bide mémorable : 150 000 entrées France et 14 millions de dollar aux Etats-Unis.
  10. J'ai vachement aimé, mais je crois que je rêve d'être un bourge nombriliste et suis en bonne voie pour y arriver. J'ai trouvé que c'était le meilleur Honoré depuis longtemps.
  11. Au vu des précédentes remontées de topic, j'ai eu peur d'une ressortie dans la collection make my day
  12. Pas mieux. Il y a des scènes qui m'ont fait rire de bon coeur, ce qui est malheureusement assez rare, et les scènes d'action sont pas si mal. La scène de poursuite avec le lit est vraiment chouette. Ah si, histoire de faire un message avec une valeur ajoutée : je me suis enfilé le commentaire audio après, et on apprend 2 - 3 choses intéressantes : 1 - tous les figurants sont des potes d'enfance ou de la famille (oui, bon, en vrai on s'en fout) 2 - il faut mettre la pause pendant le reportage tv (et c'est vrai qu'il y a encore plus de gags à la con en référence au club dorothée, genre Olivier Athon a signé à dans un club brésilien, ou réforme de l'éducation nationale, le collège devient fou fou fou) 3 - surtout, le film a été pas mal remonté en fonction des projections test. Par exemple, la scène initiale devait être celle de la décharge, raison pour laquelle elle est filmée en vue subjective, l'idée étant de montrer Nicky le plus tard possible. Sauf que les gens ne trouvaient pas la scène drôle et il a été choisi de commencer par la baston de l'hôpital, qui mine de rien installe vraiment l'ambiance lourdingue (l'encéphalogramme en forme de bite) mais sympathique du film. En tout cas, je trouve ça intéressant de voir que Lacheau est un un gars qui n'a pas peur des méthodes américaines. C'est un gars qui vise à l'efficacité et au succès, quitte à couper des scènes qu'il aimait bien. D'ailleurs, malheureusement, le dvd que j'ai emprunté à la médiathèque n'a pas de scènes coupées, alors que certaines annoncées dans le commentaire avaient l'air bien.
  13. kevo42

    Bide et Musique

    J'avoue que je ne m'attendais pas à ça au titre de la chanson (d'ailleurs je ne comprends pas le rapport entre le refrain et la chanson). J'aime le fait qu'on croit ne plus pouvoir être surpris par la chanson française et toi ou NickleZob sortez des choses d'une grande violence mêlée de poésie.
  14. Un peu moins enthousiaste que Jérémie. De manière général, je n'aime pas tellement Ozon, qui a tendance à être rapidement ironique pas drôle. Ici, on est à 100% dans le premier degré, et les personnages semblent fidèles à la réalité. On voit dans les bonus un débat organisé par le diocèse entre Ozon, le remplaçant temporaire de Barbarin et la vraie personne jouée par Denis Ménochet. Le mec est tout aussi bourrin que Ménochet, et met un gros coup de pression à l'homme d'église sur le fait qu'ils les font tourner en bourrique sur les réparations à apporter suite au scandale. Le film en lui-même est assez intéressant, mais pas non plus fou. Oui, il met en valeur les personnalités différentes des victimes, mais je n'ai trouvé ça ni particulièrement fouillé, ni particulièrement intense. C'est certainement mieux que d'autres films d'après une histoire vraie, mais pas non plus fondamentalement différent. Disons que c'est plus un reportage Arte qu'un faites entrer l'accusé, ce qui en fait un film bien mais pas top non plus.
  15. Sur l'affiche, il est marqué "et pour la première fois à l'écran: Eric Roberts". Le film doit être assez émouvant de par ce contexte
  16. Personne n'ose ouvrir de topic au sujet de la série ? -33JCGEGzwU On repart 30 ans après les événements du comics, dans un monde qui illustre parfaitement l'expression "this is the future that liberal wants". Contrôle des armes à feu, police soumise à des règles anti bavure strictes, économie verte et soutien aux communautés afro-américaine : une politique menée par le président Redford. Il reste néanmoins quelques justiciers aux méthodes plus expéditives. Un assassinat politique risque d'ailleurs de faire remonter la merde, parce que tout le monde a des secrets. J'ai vu les 2 premiers épisodes. Ca se regarde bien, avec une bonne musique de NIN. J'ai un peu peur d'éléments de feuilleton feuilletonnant (genre au début du 2ème épisode on espère de grosses révélations mais le personnage préfère partir que d'interroger l'autre). On y verra plus clair à la fin de la saison. Au niveau thématique, ça a l'air de tourner autour de la question des communautés aux Etats-Unis, avec des méchants suprématistes blancs fans de Rorschach. Les personnages semblent moins fouillés que ceux du comics, mais là encore, on est au tout début de la série, donc à voir.
  17. Ca pue la mauvaise idée.
  18. On peut quand même espérer que Dacascos tatanne par la suite, non ?
  19. kevo42

    Terminator 17 - Tim Miller (2019)

    Nick tu avais déjà dit beaucoup de mal de Captain Marvel pour cette raison, alors que bon, c'était vraiment un marvel comme tous les marvel. Perso je suis team Superflo sur ce point.
  20. J'espère qu'il y aura Ostreicultultrix le sage toujours là pour donner de bons conseils sur la vie.
  21. Je suis totalement hypé par ce que tu as écrit. Sur l'échelle de 1 à Le Faucon, ça se situe où ?
  22. kevo42

    Bloodshot - Dave Wilson (2020)

    Quelqu'un a lu les comics dont c'est tiré ? Il paraît que ce n'est pas si mal. Le film a l'air assez nul mais enfin ça passera le temps.
  23. Quel que soit le film, il y aura toujours une quote "magistral" possible pour l'affiche yDgvIa7_HtI Dominick est né avec le don de pouvoir devenir invisible. Il n'a jamais trop su quoi faire de ce don, à part espionner mollement ses voisines. Pourtant, le dérèglement de ce don va le troubler. A bientôt 40 ans passés à ne pas vouloir s'investir dans le travail ni dans l'amour, il va peut-être temps de faire des choix. Un film pas inintéressant mais néanmoins raté, faute d'avoir travaillé sur le scénario. J'attendais un peu ce film, à cause du rare duo Bernard Trividic dont j'avais beaucoup aimé l'Autre d'après Annie Ernaux. Ici, ils reviennent avec un récit fantastique inspiré d'une idée d'Emmanuel Carrère. Comme dans la moustache, on voit comment le fantastique s'insère dans le quotidien. On est loin du hollow man de Verhoeven. On comprend qu'il y a d'autres personnes invisibles qui utilisent leur don à plus ou moins bon escient. Le copain d'enfance qui s'en sert pour des cambriolages, un prestidigitateur qui fait passer le vrai don pour une illusion, et une personne qui pousse les gens sous le metro, sous-intrigue largement sous-exploitée. Le coeur du film, c'est vraiment cette métaphore d'un homme qui disparaît à lui-même, paniqué à l'idée de s'engager dans un couple avec Isabelle Carré (sûrement la faute à un visionnage de Garde alternée), à l'idée d'avoir une promotion dans son travail qui l'obligerait à être à l'heure et être dans une position de management, et face à la mort annoncée de sa mère. Malheureusement, le film n'est pas très dense en termes d'écriture. Sur 1h44, je pense qu'il y a facilement 20 minutes de pas grand chose pas très intéressant, qui aurait pu être mieux travaillé. En l'état, on se dit qu'il y a quelque chose mais globalement on s'ennuie. Visuellement, le choix du 4/3 est un peu étonnant, et l'image numérique est très brute. C'est un peu dommage car les deux réalisateurs font partie des réalisateurs français qui ont un goût pour l'image et les ambiances. Certains plans sont réussis, et j'ai bien aimé le parti pris très réaliste de la chose. Pour une fois on a vraiment l'impression de voir des gens qui habitent Paris, avec des apparts normaux, des boulots normaux et des épiceries normales. Malgré tout, le film est globalement assez moche, et le son pas très bien enregistré. J'ai notamment pas du tout compris la dernière phrase du film, prononcée par isabelle Carré. C'est con, ça avait l'air assez définitif, mais je sais pas ce qu'elle dit. A noter pour l'anecdote : le comte de Bouderbala et Claudia Tagbo dans des rôles dramatiques très sobres. A noter aussi : l'invisibilité passant par le fait de ne pas porter de vêtement, on voit pas mal le zizi du personnage principal et de son pote d'enfance joué par le comte de Bouderbala Tout ça pour dire, qu'il s'agit d'un film dont il y a peu de chances d'entendre parler si on ne va pas tous les jours sur chaos reigns (http://www.chaosreign.fr/critique-langle-mort-de-patrick-mario-bernard-pierre-trividic/) , et malheureusement, on ne peut pas dire que ce soit totalement une injustice.
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