kevo42

Dur

Il est tout vieux Beigbeder !

Ah ouais, Black & white. J'ai envie de dire que les vrais jouent à Powermonger

Oui, j'ai peur que ça se termine comme ça. En cette période, tout est permis, même le crime.

Je l'ai emprunté à la médiathèque avant de partir, mais on a des boîtiers verrouillés, et j'ai oublié de le déverrouiller. J'ai l'impression d'être comme le gars dans l'épisode de la quatrième dimension qui est trop heureux d'être le dernier homme vivant, qu'il va enfin pouvoir lire tranquille ses bouquins, et qui se rend compte que ses lunettes sont cassées. Et sinon, Kubo est absolument superbe.

Si ça se trouve il est france tv slash et personne ne le sait car personne ne regarde ce qu'il y a sur ce truc.

Il est dispo sur une plateforme genre amazon ou netflix ?

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Le film est sorti au moment où les jeunes écoutaient Linkin park et my chemical romance. Le côté emo a touché l'esprit du temps. Bon et ça sort de l'ordinaire quand même, et je crois qu'il y a aussi le côté film que l'on aime bien raconter aux autres pour montrer que l'on est intelligent et que l'on a tout compris.

Si on rentre là dedans k9IfHDi-2EA

Vincenzo Natali qui est depuis devenu un réalisateur de TV un peu classe (il a fait 2 épisodes de Locke & key récemment, et je me demande s'il a pas fait du american gods aussi).

J'aimerais que cette accroche soit sur l'affiche

8BP71QwUZjI Un chanteur qui a renoncé à l'amour tombe amoureux d'une sirène. Mais quand elle chante son coeur s'abîme petit à petit. La bande annonce est dans le genre Amélie Poulain c'était hier pour moi aussi. Ça me fait penser que la chaîne de reprises de la bite à dudule ( que je vous conseille) n'a pas fait de version Dionysos alors que ça pourrait totalement.

Par le réalisateur de Monstres academy, pas la plus fine lame de pixar

Death stranding, excellente ambiance en cette période. Hier j'ai transporté une personne d'un point a à un point b dans un sac de la morgue, portée sur le dos, pour qu'elle ne meure pas des saloperies qui traînent dans l'air.

Oui on peut. Le jeu te rajoute quelques constructions histoire de ne pas trop être désavantagé. Perso je joue essentiellement hors connexion et c'est pas gênant du tout

Les "fans" ont chié sur Anthony Burch le lead writer de l'épisode 2, parce qu'il est bisexuel et SJW, n'empêche qu'il écrivait bien et qu'il arrivait à trouver un juste milieu entre humour de gros lourd et une certaine émotion (la mission du salon de thé de Tiny Tina était tellement bien). Personnellement, je me suis laissé totalement happer par Death Stranding. Ca me relaxe à fond en rentrant du boulot : on marche, on fait des livraisons, les gens te disent merci. Ca fait du bien. En bonus on a des cinématiques avec Mads Mikkelsen qui fait le con pour amuser son bébé (même si je sens le très gros twist), et des scènes de douche avec Norman Reedus et Lala Seydoux (mais pas en même temps)

7 ans après, je l'ai enfin vu. Et quel film ! Romantisme oblige, je l'ai vu pour la saint Valentin avec mon amour. Bizarrement, l'idée est plutôt venu d'elle, car elle a totalement bloqué sur un montage youtube d'un morceau de John Maus sur des passages du film (je crois l'avoir mis dans la rubrique clip du forum, mais au cas où, je remets ici) ryvHj2z-0BM Tout d’abord, c’est 100% un film sur Vanilla Ice. Sa musique, sa philosophie de vie, son romantisme. Rétrospectivement, cela paraît une drôle d’idée, mais Mark Wahlberg ne devait pas être beaucoup plus crédible au départ. La différence ? Wahlberg a très rapidement (voire tout de suite) coupé avec son image de Marky Mark, alors que Vanilla Ice lui joue le jeu à fond : clip avec Naomi Campbell qui passe faire un coucou, amis / faire-valoir danseurs, et surtout une collection de looks incroyables. Plus intéressant, les dialogues à base de gros plans sur l’énorme visage de Vanilla Ice, qui donnent à ressentir la difficulté qu’il a à penser et produire des maximes aussi élaborées et définitives que « drop the zero and get with the hero ». Comme Jean-Claude Van Damme, il dégage un mélange de stupidité et de sagesse. Une fois passé les formulations maladroites et la mode vestimentaire hasardeuse, le film n’est pas si bête que ça. Enfin, c’est compliqué. Il y a deux films dans le film. Un film pour le petit frère de 10 ans qui aime Vanilla Ice au premier degré, et rêve de monter sur sa moto, et un film pour la grande sœur de corvée d’accompagnement dudit petit frère. Le film pour le petit frère est immonde, rempli de gags merdiques à base de garagiste tellement bête qu’il en devient inquiétant (on penserait presque à the house of 1000 corpses de Rob Zombie), de répliques bizarres (le petit frère qui dit : une fois que vous aurez fait l’amour, je pourrais faire de la moto avec Vanilla Ice ?) et un duo de kidnappeurs et des bastons dignes d’un épisode des power rangers (mais la partie avec les acteurs américains, pas la partie super sentai). Le film pour la grande sœur est plus chouette. On y suit une jeune femme au croisement de sa vie : elle a un petit ami qui est un connard en chemise trop large, qui ne rêve que de rester dans ce bled pourri. Elle se dirige vers la fac, et aspire à autre chose. Arrive Vanilla Ice qui lui saute littéralement dessus avec sa moto, alors qu’elle est à cheval (séquence incroyable). Et Vanilla ice va lui offrir une parenthèse hors du temps et de l’espace, avec cette séquence dans le désert, et une séquence de cache cache au milieu d’un chantier. A la fin, elle part avec Vanilla Ice, mais on sent bien que cette histoire ne sera qu’une parenthèse avant le départ vers la vraie vie, la fac. Il y a une sorte de coïncidence entre l’aspect naturellement éphémère de cet amour et la carrière de Vanilla ice, qui sera pour toujours l’homme de Ice Ice baby, et qui avec ce film était sans le savoir à l’apogée de sa carrière. Bizarrement, c’est un peu ce film-là qui est capté dans le clip de Bennington, qui transformerait presque le film de david Kellogg en film de Sofia Coppola. Formellement, c’est à la fois déguelasse et très réussi. Le réalisateur y va à fond dans les trucs à la mode de son époque, et c’est la foire aux effets de caméra débile et aux filtres oranges et bleus. Mais en même temps, janusz Kaminski (chef op de Spielberg sur des tas de grands films) y va très sérieusement, ce qui en fait un film très bien fait techniquement. Résultat, ça se regarde très facilement et il y a même des scènes où on se dit que ça aurait pu être bien. Du coup, à l’image de la veste bicolore de Vanilla Ice à la fin (d’un très bon goût effectivement), le film est généreux et est à la fois un film pas si pourri et un nanar incroyable. Totalement ma came, donc.

La fin est assez étrange

Up pour Peter Wonkley qui doit le voir dans son cycle Spirousploitation. Il faut aussi voir Tamara et Zombillénium qui pèsent lourds.

Repose en paix Manuel Pradal. Une carrière étrange avec l'insuccès comme fil conducteur.

J'avais regardé la bande annonce. Ca avait l'air vraiment triste. Et pourtant je suis fonctionnaire

D'après JPboxoffice (qui est un site plutôt complet, mais dont je ne préjuge pas de la fiabilité) on serait sur 10 517 entrées. Soit pas mal moins que les misérables, la preuve que l'on préfère le Montfermeil qui pleure au Montfermeil qui rêve.