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kevo42

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Tout ce qui a été posté par kevo42

  1. Pour moi c'est Punch Drunk Love est mon PTA préféré, et je trouve que c'est celui qui s'en rapproche le plus, même si le film multiplie les clins d’œil à ses autres films. J'ai adoré la dynamique entre les deux. Alana Haim joue trop trop bien, j'espère qu'on va la voir dans plein de films. Rien que pour elle, c'est claquage de beignet. Pour l'anecdote, elle joue dans un groupe de pop avec ses soeurs qui sont aussi dans le film. Le groupe est semble-t-il hyper connu, mais je n'y avais jamais fait attention. D'ailleurs PTA a fait un clip avec elles. Je trouve qu'on ne parle pas assez de PTA comme clippeur. Il n'a pas fait tant de clips que cela mais ils sont tous vraiment bien. Cooper Hoffman est très bien aussi mais moins claquage de beignet. A un moment, je me suis demandé si c'était une origin story du D&D mattress man, mais non. Le film a une structure assez lâche. Les deux passent leur temps à se tourner autour et à s'envoyer des fions, et autour de cela, il y a la vie, avec des débuts de carrière qui aboutissent ou pas. Il y a des scènes un peu gratuites qui sont l'occasion de croiser des figures de l'époque. On croise même le papa de Leonardo di Caprio. PTA a dû se faire super plaisir. La scène avec la moto m'a fait penser aux anecdotes de Pierre Rissent que l'on voyait dans Sofilm. Les vieux acteurs hollywoodiens qui font de la merde bourré. J'aime bien. Par contre, clairement, le passage politique arrive tard et je ne sais pas s'il est bien utile. Même si le scénario ne vise pas l'efficacité, j'ai trouvé cela nettement plus rythmé que ce que PTA fait depuis 10 ans et tant mieux. J'ai trouvé ça très touchant, il y a des scènes qui m'ont fait crever de rire (le mec du restaurant japonais, Bradley Cooper, le casting d'Alana), bref j'ai 100% adhéré au projet.
  2. Il n'y a pas de sujet sur Godzilla vs Kong ? Je vais essayer de créer cela dans le week-end, mais en attendant, je suis étonnamment satisfait. C'est vraiment très très bête, avec des néons partout, et je pense que sur grand écran ça doit mieux rendre que sur ma télé trop petite, mais j'ai apprécié le côté : ok, c'est con, mais on y va. Par contre, la cohérence sur le monster cinematic universe, c'est pas ça. Les 4 films ont des tonalités totalement différentes, et même King of monsters et Godzilla vs Kong qui sont censés se suivre ont très peu en commun.
  3. Je l'ai vu aussi et c'est le bon moment de ressortir ce smiley
  4. Je l'ai regardé avec ma compagne suite à l'avis de Cyril, et on avait tous les deux trouvé ça affreux du début à la fin. L'impression qu'absolument rien n'avait de sens, que c'était moche, et Hugo Weaving en méchant qui fait ah ah ah, ça ne va plus.
  5. Question : on est d'accord que la fin appelle tout à fait à une suite ?
  6. Ah non, le post générique montre bien dans quelle ambiance a été fait le film. Bon sinon, mon avis, c'est que Lana s'est trop pris la tête sur ce qu'est the matrix pour les gens, et a voulu trop caser de références aux anciens films pour avoir le temps de développer son histoire. En témoigne un passage horrible narrativement où on t'explique un plan au lieu de le voir s'exécuter. Résultat, ça a l'air compliqué, mais ça se fait tout seul, sans aucune tension. Globalement, je n'ai ressenti aucune tension dramatique, alors même que Néo est beaucoup moins fort, ce qui est une bonne chose. Sur le fond, je n'ai pas de problème de fond avec l'histoire racontée. C'est plutôt cohérent. Mais l'aspect méta du début est à la fois bien et pas bien. Beaucoup de gens vont dire que le film redéfinit ce que peut être une suite ou un reboot dans l'âge moderne. Je ne sais pas si c'est une idée si intéressante que de dire au spectateur : si je n'avais pas fait le film, quelqu'un l'aurait fait à ma place. Enfin, on voit que Yuen woo ping n'est plus là : les bastons sont assez nulles. Globalement, il y avait moyen de faire des scènes d'action de malades, notamment avec la réutilisation du concept des portes de derrière du programme tiré de reloaded, qui permet de passer d'un lieu à l'autre en un instant. Mais c'est totalement sous-exploité, au profit de discours mal écrits sur la vie, la mort, et les mêmes sur twitter. J'aime beaucoup la première trilogie malgré ses défauts. Là j'ai l'impression qu'elle a pris tout ce que les gens n'aimaient pas pour le mettre en avant, et ça masque des trucs qui auraient vraiment pu être bien, comme la mise en avant de Trinity, tardive mais chouette. Déception donc de mon côté. Dernières questions
  7. C'est peut-être un signe que tu es gay quand tu aimes faire couler du jus de fruit sur le torse.
  8. kevo42

    Aline - Valérie Lemercier - 2021

    Je crois que c'est parce que Céline Dion ne veut pas voir le film, ni le valider.
  9. Avec Sardoche dans son meilleur rôle Les éternels sont des héros galactiques au service de dieux cosmiques. Ils sont arrivés sur terre 5 000 ans avant Jésus-Christ, pour protéger l'humanité contre les Déviants (des créatures monstrueuses, à l'origine des mythes sur les dragons et autres créatures fantastiques), et l'aider à avancer technologiquement mais pas trop vite. 500 ans après avoir battu les déviants, les éternels se sont séparés et se sont fondus parmi les humains. Le retour de déviants est le début d'une grande aventure qui va remettre en question le sens même de leur mission et de leur existence. Drôle de film que les Eternels. On pouvait être curieux de voir ce que Chloé Zhao, oscar du meilleur film pour Nomadland et plus proche de Sundance que de Hollywood, allait faire d'un film de super-héros. Ce serait oublier que Marvel s'est fait la spécialité de récupérer de jeunes réalisateurs indés pour leur faire faire tout et n'importe quoi : Shang-Chi par le réalisateur de States of grace, ou les Spider-man par le réalisateur de Cop Car. Néanmoins, Choé Zhao essaie de faire rentrer plusieurs types de films : - le film Marvel bien sûr, ultra calibré, avec pour mission de présenter douze milles nouveaux personnages joués par de grandes stars (Salma Hayek, Angelina Jolie, Richard Madden et Kit Harrington de game of thrones, etc.), qui devront s'intercaler avec d'autres futurs personnages (via l'inévitable scène post-générique qui annonce encore plus de Marvel Cosmique) - Qui dit film Marvel dit film avec des grosses bastons et des gros superpouvoirs avec des trucages pas toujours à la hauteur de ce que l'on espèrerait, et un réalisateur de seconde équipe aussi important que le nom sur l'affiche (ici Don DeLeeuw apparemment, responsable des effets spéciaux sur tous les marvels récents). Même si, je trouve que Chloé Zhao a essayé d'apporter quelque chose d'intéressant avec une caméra très fluide pendant les scènes d'action, qui peut autant rappeler les animés type Demon Slayer que le cinéma de Terrence Malick. - Un film sur des personnages "humains" qui se marient, font l'amour (une mini-scène de sexe dans un marvel !), se disputent, se demandent ce qu'ils font là comme un peu nous tous - D'ailleurs ces personnages sont l'occasion pour Marvel de continuer à jouer à fond la carte de l'inclusivité puisque les éternels sont de tous les continents (pas illogiques, ils sont censés avoir inspirés pas mal de grands mythes de l'humanité), qu'il y a une sourde-muette, et un noir gay marié avec un arabe. C'est donc beaucoup plus woke que Batman vs Superman par exemple. - Un film cosmique sur la création de l'humanité, à mi-chemin entre Tree of life et la série "documentaire" Alien theory (puisque l'on comprend que ce sont effectivement des extraterrestres qui ont aidé l'humanité à se développer technologiquement). Ca marche plus ou moins bien, avec de grosses ruptures de rythmes, quelques plans ridicules (les plans de couples se tenant la main dans le désert, sortis des pires Malick et un plan de résolution de l'intrigue assez wtf), mais aussi plus d'épaisseur que d'habitude, avec des héros qui se demandent quel est leur rôle, jusqu'à quel point ils ont le droit d'intervenir sur l'humanité, et tout et tout. Ce n'est clairement pas le Marvel que j'ai préféré, pour des raisons de rythme, et aussi parce que c'est une origin story (toujours un peu chiant), et parce qu'en vrai on s'en fout de ces personnages aux pouvoirs hyper clichés (l'un d'eux se fait littéralement appeler superman par un enfant, ce qui implique que DC comics existe dans l'univers marvel), et que après Shang-chi et Black widow, ça fait trois films de suite sur des persos pas super essentiels. Mais pour autant, j'ai du mal à comprendre les retours catastrophiques du film, puisqu'au moins la réalisatrice a le mérite de partir d'un matériau pas super intéressant (je ne doute pas que les BD le soient, mais passées à la moulinette du MCU...) pour proposer quelque chose qui sort un peu de l'ordinaire.
  10. La vie l'oeuvre et l'amour de Céline Dion. Valérie Lemercier n'ayant pas les droits, je m'attendais à un film qui soit une sorte de biopic sur Céline Dion, sans l'être vraiment, comme Palais royal s'inspirait de la vie de différentes princesses sans être le biopic de l'une d'elle en particulier. Mais non, c'est 100% la vie de Céline Dion, avec les chansons et tout. Un film mi-figue mi-raisin. Le positif : l'humour de Valérie Lemercier fonctionne bien sur moi, donc les scènes de comédie m'ont fait rire. Elle a travaillé sur le sujet, et le film ne se moque pas de Céline Dion (ça n'aurait pas été un bon angle vu le public visé), mais a beaucoup de tendresse sur sa famille, son parcours. L'histoire d'amour, centrale dans sa vie et globalement assez glauque (les américains passent leur temps à parler de grooming sur les réseaux sociaux. On peut difficilement faire plus grooming que repérer une gamine de 12 ans, être la seule personne qu'elle fréquente dans sa vie, et se marier avec elle quand elle a 20 ans), est traitée avec beaucoup de tendresse. Le négatif : c'est un biopic sur une vie, donc tout passe très vite. On ne s'attarde sur pas grand chose, et on a vraiment l'impression qu'il n'y a que Guy-Claude (=René) et sa famille dans la vie, puis son maquilleur dans la deuxième partie du film, alors que je pense qu'elle a une relation assez proche avec les personnes qui lui écrivent les chansons, aussi. Par exemple, on ne voit pas une seule fois Jean-Jacques Goldman. Même en limitant le nombre de personnages, il est difficile de sentir vraiment quelque chose. Le film se termine par une belle scène d'Aline perdue à Vegas, une ville qu'elle n'a connu que par les allers retours maison / concert. On aurait aimé que le film prenne plus son temps pour avoir ce genre de scènes, centrées sur l'humain. Je trouve que Bohemian Rhapsody s'en sortait mieux de ce côté. Je pense néanmoins que le film mérite le coup d'oeil, ne serait-ce que pour les scènes d'Aline enfant, où le visage de Valérie Lemercier a été photoshoppé sur le corps d'une petite fille, pour un résultat digne de l'école du fan mélangé au clip de come to daddy. Au final j'en retiens un film divertissant mais superficiel.
  11. Depuis quelques semaines, je propose des sélections de l'actualité musicale en me basant sur une dizaine de sites internets divers et variés. J'essaie de publier cela tous les mercredi, avec un petit temps de décalage par rapport aux sorties, parce qu'il faut bien écouter un minimum. https://nostroblogs.wordpress.com/2021/10/06/la-nostro-selection-musicale-du-24-septembre/ https://nostroblogs.wordpress.com/2021/10/13/la-nostro-selection-du-1er-octobre/ https://nostroblogs.wordpress.com/2021/10/20/la-nostro-selection-musicale-du-8-octobre/ https://nostroblogs.wordpress.com/2021/10/27/la-nostro-selection-musicale-du-15-octobre/ https://nostroblogs.wordpress.com/2021/11/10/la-nostro-selection-musicale-du-22-octobre/ https://nostroblogs.wordpress.com/2021/11/12/nostro-selection-musicale-du-29-octobre/ Il y a une playlist d'environ 9 heures par semaines pour spotify (bientôt sur d'autres plateformes) et une version plus light sur youtube (mais quand même 55 clips cette semaine).
  12. Bo Burnham est un comédien de stand up dont je n'avais jamais entendu parler avant Inside, mais qui est semble-t-il connu depuis 2006 (il avait 16 ans) et une vidéo devenue virale sur internet. il a fait plusieurs spectacles avant d'arrêter pour causes de crises d'angoisse. Autant dire, que quand le confinement est arrivé, l'occasion était belle de faire un spectacle à la maison, tranquillement. Mais tout cela prend plus de temps que prévu, et le comédien retombe peu à peu dans le doute et la dépression. J'ai l'impression de ne regarder Netflix que pour les trucs bizarre : Thom Yorke qui danse pour Paul Thomas Anderson, I'm thinking of ending things, le van damme avec Michel Crémadès ou ce inside. Le spectacle est dans une économie de moyen totale (c'est juste un gars dans une pièce) et en même temps la mise en scène est super travaillée. Dès le premier morceau avec la lampe frontale qui part sur la boule à facette, on sait que l'on va passer un bon moment. C'est un peu l'humour de quelqu'un qui traîne sur instagram : un peu woke, y a des blagues sur instagram, sur twitch, mais surtout, il y a ce truc assez fascinant du work in progress, du comique qui essaie de faire rire alors que lui même ne va pas. Il y a un sketch où il chante une chanson, puis fait une vidéo react sur la chanson, puis un react sur son react, puis un react sur son react du react, et c'est vraiment significatif de l'artiste qui est à la fois dans le contrôle (c'est très écrit et drôle) et en même temps se livre. J'ai beaucoup aimé.
  13. J'avoue que je ne comprends pas totalement ce projet. C'est bien ?
  14. J'ouvre le sujet car Nintendo a annoncé que Mario sera joué en anglais par .... Chris Pratt. On aura aussi Anya Talyor Joy en Peach, Jack Black en Bowser et Seth Rogen en Donkey Kong. Voilà. Ce sera un film Imagination, donc ce ne sera ni nul ni incroyable, mais au moins ça devrait être assez fidèle, contrairement à la grosse merde en préparation autour des chevaliers du zodiaque avec Marc Dacascos.
  15. Un film qui semble passionner tout le monde. Bon bah c'était bien moche. Le début du film, porté par les chorés de Brad Allan, est vraiment chouette (la scène du bus et la baston dans les échafaudages tapent bien même si copiée sur rush hour 2, non ?). A la moitié du film, on bascule dans le monde magique des petits poneys version chinoise et le design est juste dégueu à tous niveaux, façon premier film de Thor où rien n'avait l'air crédible. De manière générale, le film est moche, avec des trucages laids et des images un peu grises et floues, et des plans piqués à d'autres films à gauche à droite. Le héros est pas spécialement charismatique, il y a 2 persos comiques dont un assez affreux (un personnage qui fait son retour et franchement on s'en serait passé, même si on apprécie l'hommage à Ben Stiller dans tropic thunder) . Tony Leung chie la classe, mais je ne crois pas que Disney compte le faire revenir. Donc, bon, pas spécialement saucé. Que ce soit Mulan, Raya ou Shang Chi, je trouve pas que l'orientalisation de Disney se fasse bien. Après, c'est Marvel, donc s'ils font un 2, j'irai quand même, on ne se refait pas.
  16. Je suis en train de finir God of War pour ma part et c'est quand même beaucoup plus agréable en 60 fps sur PS5. C'est assez incroyable comme quelque chose qui ne me gênait pas sur PS4 devient choquant quand on y revient.
  17. kevo42

    Titane - Julia Ducournau - 2021

    Ça aurait tellement été une bonne fin
  18. kevo42

    Mes copines - Sylvie Ayme (2006)

    On sent le gars qui passe du temps à préparer ses films.
  19. kevo42

    Mes copines - Sylvie Ayme (2006)

    Toute la série de Jérôme Lachasse est extraordinaire. Mickaël Youn qui regrette le mauvais procès fait à Vive la France d'être une copie de Borat, ou le réalisateur des Gaous devenu sociologue, c'est magnifique.
  20. Bravo de s'en souvenir. Je reverrai bien le premier Batman. Je sais pas depuis combien de temps je ne l'ai pas vu.
  21. J'ai réussi à choper une PS5 !!!! Totalement au hasard en allant chez Boulanger. Bonjour monsieur, comment fait-on pour réserver la console ? - Pas besoin de réserver je viens d'en rentrer une. Vous la voulez ? J'ai fait le train Strasbourg / Paris, puis rer Paris / Drancy avec la console maquillée dans de l'emballage noir, j'avais l'impression d'être dans un film d'espionnage.
  22. J'ai mis une bande annonce qui ne montre rien du film pour garder la surprise. Personne ne l'avait vraiment demandé après le premier film (746 millions de recette monde quand même) mais la suicide squad revient. Un film qui à l'image du t-shirt porté par Rick Flag (un lapin avec une cape de superman qui dit les obstacles sont des opportunités) est une somme de points faibles qui devient un point fort. James Gunn en galère après avoir été (temporairement) écarté des gardiens de la galaxie reprend une franchise dont le premier film aurait pu être bien mais qui souffrait d'un côté trop gentil (Will Smith en gentil papa), d'un montage refait en dépit de tout bon sens (l'histoire n'a aucun sens) et d'une réalisation nulle à chier (des scènes d'action avec des gens qui tirent arrêtés sur des zombies mous, incroyable), ce qui fait pas mal mine de rien. James Gunn fait le film que l'on attendait pour le premier, ce qui n'est pas énorme, mais on passe un excellent moment. 1ère chose : le film tient bien son nom, avec un très gros body count, dont une scène étonnamment gore au début ou 50% du cast se fait salement défoncer. C'est parfois un peu gratuit d'ailleurs, vu que ceux qui survivent échappent à des événements plus dangereux que ce qui arrive aux malheureux. 2ème chose : l'histoire tient la route. Il y a un début et une fin, on comprend à quoi sert l'équipe, et cela apporte même un niveau de "géopolitique" plus intéressant que, par exemple, Superman contre Boko Haram dans batman vs Superman. La suicide squad est en effet engagée dans une action de barbouzerie dans un état Sud-Américain imaginaire appelé le Corto Maltese (nudge nudge), pas pour renverser un régime sanguinaire (en tout cas ce n'est pas l'objectif principal), mais simplement pour masquer le fait que les Etats-Unis ont soutenu le régime précédent dans des expériences pas bien sympa sur ses habitants. La critique de la politique américaine n'est pas subtile mais bien vue dans le contexte. Les personnages ont chacun leur moment de gloire, que je ne détaillerai pas car cela vous dévoilerait qui est vraiment l'équipe du film. Juste dire que le running gag avec Polka dot man m'a bien fait rire et que Harley a une très bonne scène sans tirer toute la couverture à elle. Enfiin, le méchant est à la hauteur, avec un face à face final digne de super-héros. 3ème chose : le mélange d'action et de comédie vu dans les gardiens de la galaxie marche toujours aussi bien. James Gunn n'est pas un grand formaliste, c'est même souvent plutôt moche, mais il a un bon sens du rythme, notamment comique. J'ai vraiment ri de bon cœur sur de nombreux passages. La différence par rapport aux gardiens est que le film vise un public ado - adulte plutôt que tout public, ce qui s'exprime par des scènes gores parfois vraiment dégueus et drôle. Je n'ai pas regardé the boys (pour le côté super héros qui se fait défoncer), ni super (parmi les anciens films de James Gunn), donc je ne sais pas si c'est plus ou moins, mais disons que ça ne fait pas dans la dentelle. Il y a des choses qui m'ont surprises, et je pense que moins on a vu de bandes annonces, plus on peut vraiment apprécier la découverte du film. Dans l'ensemble, c'est un film qui ne réinvente rien du tout, mais qui fait exactement ce que l'on attendait du premier film, et je pense que j'aurai plaisir à le revoir dans le futur.
  23. C'est un très grand animateur. J'avais vu jin Roh, mais j'ai raté ce film, qui est est pourtant en DVD au boulot et devant lequel je suis passé des centaines de fois sans le prendre. Ton avis va me motiver.
  24. kevo42

    Annette - Leos Carax - 2021

    Personnellement je le trouve parfait dans le film (même s'il chante pas super bien) : il a un physique et une manière de se mouvoir qui va très bien avec son personnage
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