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Kalidor - Richard Fleisher - 1985


Basculo Cui Cui

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Un film que j'aime beaucoup, cultivant sous son aspect enfantin une certaine noirceur, une violence peut être aseptisée mais présente. J'aime beaucoup son aspect historique suggéré, avec ces machines oubliées là par une civilisation antérieure, ces vastes décors où se disséminent des squelettes d'animaux monstrueux...

 

Le gosse est pénible, c'est dommage.

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Le score d'Ennio est magnifique... certains paysages font illusion.

Ca n'empêche pas le film d'être une cata intégrale, baclée de bout en bout, gorgé d'humour facile très résistible... mais à la limite il est plus rigolo à regarder que le second "Conan", ne serait-ce pour le côté grand huit entre la volonté de départ de livrer un spectacle "noble" et les effets Z dans lequel le film se ramasse lamentablement et régulièrement. Aaaaaaaah cette mega araignée qui tourne sur elle-même à côté de la très méchante méchante!

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  • 1 year later...
  • 11 months later...

 

Casaro

 

Bon ben on est quand même dans le même esprit puéril que Conan le destructeur (le gosse ) mais je lui ai toujours préféré ce Kalidor. Plus violent, plus beau, plus massacré aussi

Brigitte est transparente malgré sa belle tenue, par contre Sandhal "Valerie" Bergman s'en tire plutôt bien en uber connasse

Le film a de la gueule malgré ses défauts, Ennio est plus motivé que pour le second Conan, y'a une araignée en plastique et un monstre marin qui fait GRAOUUU et pis voilà, MERDE.

 

On perd Sven Ole Thersen, par contre on gagne Ronald Lacey, écrasé par une roue, et qui finissait déjà empalé la même année dans Flesh and Blood et desintégré dans Les aventuriers de l'Arche perdue. C'est ça de jouer les sbires moches, les nazis sadiques et les prêtres defroqués

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  • 3 years later...

Revu ce soir sur le BR français. Bon, le film reste à peu près comme dans mes souvenirs. Globalement raté, mais avec des fulgurances, quelques éclats, le score de Morricone en effet, quelques décors ou matte paintings soignés, une idée ou deux sympas de ci de là... Mais faut aussi se fader le gosse, les trous d'air dans le scenar' (Kalidor qui apparait, disparait un peu n'importe comment), les décors en carton pâte, les "monstres" limite gênants... Du vrai bis italien en somme, qui souffre un peu de ne pas avoir "totalement" assumé son statut... Mais ça reste un sympathique divertissement, malgré ses défauts, qui m'a rappelé les jours fériés et fêtes de Noël de mon enfance, c'est déjà pas si mal !

 

Le BR est plutôt cool, l'image est vraiment chouette. Par contre, j'ai jeté un oeil au bonus intitulé "Kalidor / Red Sonja : Origine d'un malentendu" (signé Jerome), et je suis assez déçu. Pas spécialement que l'interview du gars soit inintéressante, il est plutôt sympa, parle de tout ça avec une certaine nostalgie.. Mais juste, ça n'éclaire en RIEN, le "malentendu" sur le titre... Tout juste évoque-t-on en 30sec le fait que Schwarzy était prévu pour 10 jours, mais est finalement resté plus longtemps... Mais on sent qu'en fait, l'intervenant n'a juste aucune idée du pourquoi du comment de tout ça... Tout juste fait il une ou deux suppositions, mais pas plus... Qui plus est, sur un bonus de 12mn, on parle à peine de ça, alors que le reste de l'itv est plus habituelle, revenant sur différents aspects du tournage... Donc bonus pas mauvais en soi, mais je trouve l'intitulé un peu "à côté" de ce qu'on a réellement...

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  • 5 weeks later...
  • 3 years later...

Le blu-ray est en effet vraiment très beau. Bien plus que celui du premier Conan. C'est con la vie parfois

 

J'aime toujours. Surtout toute la première partie, avant que l'aventure commence vraiment : tout le passage dans le temple est presque aussi sadique et violent que le film de Milus ! Les gardiennes qu'on fracasse dans le puit pour ensuite les emmurer...on est déjà loin de Conan le destructeur

Après ça se gâte un peu : les péripéties ne sont pas franchement fabuleuses, et le gamin est atroce. Il n'empêche que les décors sont magnifiques, certains plans sont d'une classe folle (le pont squelette ) et j'aime beaucoup Sandhal Bergman en méchante (sans doute lesbienne vu la favorite qu'elle trimballe, parce que bon, ça doit être lesbienne une méchante ). On sent bien le côté nanar de luxe à la Laurentis qui planait aussi sur Flash Gordon et c'est pas déplaisant avec le temps.

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