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Funny man - Simon Sprackling - 1994


Basculo Cui Cui

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copier coller de l'ami francois :

 

Un type gagne un chateau anglais au pocker. Il s'y rend avec sa famille et son frère accompagné de trois-quatres parsonnes le rejoignent. Dans le chateau, il y a une sorte de bouffon monstrueux, comme le jocker des jeux de carte, qui massacre tout le monde de façon jubilatoire, en faisant à chaque fois des commentaires débiles, s'adressant parfois au spectateur. J'ai adoré. Ca part completement en vrille, c'est du grand n'importe quoi, une surprise toute les 3 minutes, c'est hillarant, bourré d'idées, un scénario écrit sous acide, c'est fou. Le mélange gore/fantaisie ravira ceux qui ont aimé la seconde partie de "the house of 10000 corps", quand ça devient une sorte d'alice au pays des merveilles sanglant. On peut aussi détester, car c très particulier, ça ressemble à une hallucination sous champignon, moi je suis rentré dedans la tête la première, c'est pour ça que j'en parle.

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  • 2 months later...

Bonne nouvelle pour les amateurs du film

Une nouvelle édition DVD du film sort en Zone 1 chez Subversive entertainment

Le disque contient le film en version « uncut » et surtout le moyen métrage qui donna lieu au film.

Moyen métrage présentant le personnage comme beaucoup plus sombre et violent (le film ne serait pas du tout, mais du tout, second degrés).

 

Le film sentait effectivement le montage « brutal », 8 à 10 mn supplémentaires peuvent résoudre beaucoup de problèmes.

 

Bref détails qui donnent envie from amazon :

• Number of discs: 1

• Rating

• Studio: Arrow Entertainment

• DVD Release Date: September 25, 2001

• Run Time: 90 minutes

• Average Customer Review: based on 2 reviews. (Write a review.)

• DVD Features:

o Available for the first time in the complete, uncut version on US home video

o Commentary track with writer/director Simon Sprackling and co-star Tim James

o Making-of featurette Sorting Funny Man

o Interview with Christopher Lee

o Original short film version of Funny Man

o Theatrical trailer, short film trailer, pop

o 8-page booklet: Director's production diary

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bon sang je me suis tapé une dizaine de merde à 1€ des dvd auchan et dans le tas pouf funny man

 

je sais pas par où commencer, je viens juste de le finir et ca part vraiment en n'importe quoi au bout de 20 minutes, de pire en pire (comprendre de mieux en mieux donc) jusqu'à la fin.

 

l'avis du dessus est très bien, pas besoin de redite. y'a que les phrases et clins d'oeil adressées au spectateurs qui sont un poil lourdes à un moment mais pour le reste c'est fendard, c'est gore, c'est speed, c'est bourrés d'idées scénaristiques (de petites idées, attention, le scénar général est plutot bidon, on est d'accord), bourré d'idées de mise en scènes et tout ca en étant hyper carré et bien joué.

Notamment, le bouffon qui en fait des tonnes sans jamais (à 1 ou 2 exceptions près donc) etre chiant.

 

c'est un n'importe-quoi magique

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je comprends pas l'enthousiasme général pour ce Funny man pas fun du tout ! c'est rien d'autre qu'une grosse merde molle lourdingue, pénible, chiante, prétentieuse et pas drole une seule fois ! une purge !!

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  • 5 years later...

Découvert, comme convenu, lors d'une sempiternelle soirée binouzes entre potes, et franchement, la jovialité tranquille caractéristique aux nanars classiques (d'autant plus qu'il est dispo en...DOUBLE SUCCES !!) s'est vite transformée en un gros froncement de sourcils général tendance wadafuck, dude ?.

C'est bien simple.

Entre les numéros IN-TER-MI-NABLES de ce branquignol affolant de Funny Man, ses pitreries pachydermiques soulignant au gras le gag d'une scène, entre la galerie de persos foireux (une rock star ratée post-hippie, un pov'con de beauf, un sosie de Verra, j'en passe), entre tout un humour post-Freddy, il y a déjà de quoi faire, mais le must de must reste tout de même...

ces séquences trippesques artistiques comme il faut et inattendues ! (une pluie de feuilles de papiers, on ne sait pourquoi, une lettre de Mick Jagger, un clip-rock, les décors, wadafuck ??!)

 

Et ouais !

 

C'est ce qui fait toute la saveur d'un nanar, quand ce dernier oscille dangereusement vers le ridicule shooté à la marijuana...et ca en devient pas seulement naze sur les bords mais fascinant.

 

A conseiller avec plein de drogues, et bourré.

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