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Vos concerts bis


Kerozene

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:whinging:

 

T content tu m'as fait baver.

Et j'enfonce le couteau dans la plaie !!

Un petit message de Jimmy Bower "Power" sur le forum officiel:

LAST TIME WAS HOT AS FUCK, THIS TIME EVEN HOTTER.WHATS UP WITH THE AIR IN PARIS? YOU GUYS KICKED SO MUCH ASS,WAS GREAT.OPENED WITH PILLARS AND ENDED WITH THE (OUR CHICKS ARE HEAVIER THAN YOURS) JAM. JUST SEEMED TO BE ONE OF THOSE NIGHTS,IT CLICKED FROM THE GET GO.PICTURE THIS: FIVE HUGE GIANTS DRESSED IN ROBES SHOVELING RIFFS INTO THE CROWD AS IF IT WERE COAL FEEDING A HOT FIRE. YOU GET THE POINT?

Et la setlist, de tete:

 

Pillars Of Eternity

The Path

Lysergyk Funeral Procession

Lifer (dediee a Dimebag )

3 Suns And 1 Star

Hail The Leaf

Swan Song

Ghosts Along The Mississipi

Learn From This Mistake

On March The Saints

Impro (a grands coups de "wooooh ooooh ooooh oooooh ooh" ! )

Temptation's Wings

NOD

Beneath The Tides

The Seed

Losing All

Eyes Of The South

------------------

Doobinterlude/NOLA Is A Dying Whore

Stone The Crow

Jail

Bury Me In Smoke (avec les meufs du groupe qui prennent la releve sur la fin)

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CE VENDREDI!!!! A LA MAROQUINERIE!!!!!!

 

 

BLACK LIPS

 

http://www.myspace.com/theblacklips

 

Et puis faut se magner de les voir, avant que ça fasse des grosses salles. Ils ont été signé sur une major, ils tournent avec Jack White...bref, ils deviennent des stars, et quand je serai vieux, je pourrai dire que je les ai vu jouer dans un bar gay à Rouen.

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Bon, ben l'ambiance était différente des rades. Déjà, une baston dans le public avant même que ça commence et le photographe du groupe qui intervient...pour prendre une photo. Puis, les Black Lips arrivent, font leur balance et jouent directement, sans repasser par la loge pour se faire désirer. Et là, ça devient juste très violent. Eux, c'est comme d'habitude, très énergique avec son crade, un mélange Kinks/Sonics avec 15g. Et là le public, c'est l'hallu. J'étais devant, je touchai plus le sol, je me suis fait balader d'un bout à l'autre de la salle, un type s'est crashé devant moi sur le dos et le crâne, j'ai tenté de le relever et un autre gars lui est tombé dessus bien violemment. La sécurité tente de mettre des mecs sur les côtés, mais l'un des gratteux lui demande gentiment de laisser tomber...Y'a pas eu de rappels, un type ayant fait un vol plané, attérissant la tête la première sur la batterie lors du dernier morceau (Je me demande encore d'où le type est parti). Et j'ai raté les nénés d'une jolie brunette qui, d'après un pote, a sympathiquement laissé tomber son pull vers la fin.

La phrase du groupe entre deux morceaux: "You're wilder than the german". Merci.

 

Ils passent bientôt à Marseille. J'hésite.

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BORIS le 21 mai au Nouveau Casino.

Messieurs Lezob et Niko13?

 

Je serai plus à Paris. Sinon déjà vu Boris et c'était quand même un peu naze Au mois de juin ya ça aussi et là ça me chagrine de le rater,

http://www.cite-musique.fr/francais/spectacles/_database/S04553.htm

Mike Patton m'emmerde, John Zorn m'en tape, mais Fred Frith est un génie, Mick Harris un dieu (1er batteur de Napalm Death) et Painkiller ça défrise les neurones

 

Tain je suis deg pour hier soir quand meme ça avait l'air sympa!

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Ah mais moi si on m'invite, j'y vais !!

Ca serait probablement la tournee d'adieu de Paul Stanley en plus. Il restera plus que Gene Simmons du "vrai" Kiss (en tout cas, celui que j'ai ecoute et ecoute encore).

 

Tu m'étonnes ! Moi perso j'ai déjà dit sur ce thread que j'étais par principe contre les tournées de reformation à but lucratif (Simmons c'est jamais le dernier quand il s'agit de palper). Bon ça me tentait à fond quand même parce que c'est clair qu'ils commencent à vieillir et bon c'est KISS quoi ! Mais clairement j'aurais pas mis les 60 euros de ma poche. On me l'offre, tant mieux !

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CONCERT INLOUPABLE POUR LES PARISIENS LE 24 AVRIL AU POINT EPHEMERE

 

Trois musiciens (Yoshida Tatsuya / Tsuyama Atsushi / Kawabata Makoto) composent la base des sept groupes présentés ce soir sous forme a cappella, comique, progressive core, psychédelique ou encore cosmique... L'occasion d'expérimenter la quintessence des musiques les plus diverses et extrêmes des nouvelles musiques japonaises.

 

Ruins produit des morceaux compliqués et mystérieux chantés dans une langue de leur invention. Depuis le départ du dernier bassiste, Yoshida, toujours à la recherche d'un remplaçant, se produit seul avec pour seule aide des samples de basse.

Acid Mothers Temple est rapidement devenu le plus grand et le plus acclamé des groupes psychédeliques. Un nombre incroyable de disques est sorti sur une quantité de labels de par le monde et leurs prestations scéniques sont assez époustouflantes.

 

Y'en a qui ont pu y aller? Perso, j'ai pas pu..d'ailleurs, l'un des mecs était malade et apparemment, ils ont joués à 2

 

http://www.myspace.com/magaibutsu

 

http://www.myspace.com/acidmotherstemple

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L'affiche de reve etait pleine de promesses, elles furent toutes tenues, voire bien plus.

 

Un bon concert des quebecois de Grimskunk en ouverture, deja vus l'an passe en premiere partie de ST, pourtant arrives a la bourre a cause des embouteillages. Leur mix ska/punk/metal festif commence a bien chauffer la salle, et le groupe aura droit a de chaleureux applaudissements.

 

Enfin, a peine moins d'un quart d'heure d'attente et Fishbone investit la scene.

Intro en douceur, avec un petit speech d'Angelo "Dr. Mad Vibe" Moore (la tradition !), et un Unyielding Conditionning calme, suivit d'un Suffering tres peace. Le groupe se presente sans son trombonne John "McNutt" McKnight (hospitalise recemment), mais la puissance du groupe s'en trouve a peine amoindrie.

Des "Alcoholic", Fishbone lache les bretelles et fait exploser l'Elysee Montmartre. Le stagediving regulier de Moore, "Padre" et "Cool Ass Dre" foutent un vrai bordel dans la foule hysterique: Fishbone en live c'est de la folie furieuse !

Derriere (enfin, pour ceux qui restent sur scene), John Stewart remue la mayonnaise avec classe tandis qu'un Norwood Fisher hilare etale son talent sur des lignes de basses de dingue. Et Rocky "Dieu " Georges assure quelques bien beaux solos dont il a le secret dans une jovialite contagieuse.

Apres une heure de fusion endiablee, on en ressort deja use et lessive. Juste une heure, c'est un peu court pour un tel groupe, il a manque un paquet de classiques ("Just Allow", "Shakey Ground" ou "Everyday Sunshine" pour les plus evidentes, ou "Jack Ass Brigade" du dernier album) mais encore une fois Fishbone est venu, a vu et a vaincu. Ceux qui ne connaissaient pas le groupe ce soir la ont certainement pris une bonne claque dans la gueule. Une reputation non usurpee de "meilleur groupe de scene", ca s'entretient avec des performances de haute volee comme celle-ci. Dire que ce groupe a presque 30 ans d'existence, ca force le respect et l'admiration.

 

Set list Fishbone:

Unyielding Conditionning

The Suffering

Alcoholic

Sunless Saturday

Bonin' in the Boneyard

Date Rape

Let Dem Ho's Fight

Behind Closed Doors

Ma & Pa

Give it Up

 

Enfin, un an apres le (enieme) retour de ST dans cette meme salle, Infectious effectue aussi son "comeback", avec rien de moins que l'enregistrement d'un DVD.

Dans une ambiance de dingue, le groupe arrive tranquillou sur scene et balance le gros son funky que tout le monde attendait depuis si longtemps.

Les deux membres historiques du groupe assurent comme a leur habitude: Cyco Miko reste un sacre frontman, toujours aussi bavard, et Dean Pleasants, bien trop sous estime, regale le public de ses rythmiques funky.

Le jeunot Steve Brunner, deja impeccable avec ST, fait oublier sans trop forcer ses predecesseurs, en se la petant quand meme un tout petit peu (surtout quand il chambre le public en se vantant de jouer le riff de "Violent and Funky" avec 2 doigts, la ou Trujillo en utilise 3 ). Mais le gars a un talent fou, on lui pardonnera donc.

Les nouveaux membres du combo ne sont pas en reste. Tim Stewart se charge des parties de guitare saturees en envoyant quelques solos de derriere les fagots, et Eric Moore le nouveau batteur impressionne tout le monde. De par sa stature deja, et surtout par ses qualites de showman. Il balancera 2 petits solos assez monstrueux qui ont probablement fait leur effet sur les batteurs presents dans la salle (j'avoue, j'en ai presque pleure ! ).

Sans trop de surprise donc, Infectious Grooves emporte tout sur son passage, un challenge surtout apres la prestation de Fishbone. La cerise sur ce monumental gateau funky, c'est la reprise de "Subliminal" de ST en rappel, avec Rocky Georges au solo, et ce moment emotionnellement fort que fut l'embrassade entre Mike Muir et le soliste legendaire de ST. Ca faisait presque 15 ans qu'ils n'avaient pas partage une scene, j'en avais les larmes aux yeux !

 

Set list Infectious:

These Freaks are Here to Party

You lie...and your Breath Stank !

Turtle Wax

Stop Funk'n with my Head

Get United

Punk It Up

Boom Boom Boom

Rules Go out the Window

Monster Skank

Therapy

Good Times Are out to Get You

Violent and Funky

Subliminal

Infectious Grooves

 

Une prestation survoltee quoiqu'un peu carree comparee au chaos provoque par Fishbone, Infectious Grooves passe en revue ses classiques et leur donne le rendement scenique attendu, dans une salle sautillante en delire. Au final, 1h30 de melee plus tard, on en ressort epuise et completement rince, avec quelques bleus mais surtout l'impression legitime d'avoir vecu un enorme moment live.

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Eh beh... sacrée soirée... J'ignorais totalement que STet IG avaient remis el pied à l'étrier....

Quant à Fishbone, vu 3 fois sur scène, et deux fois ce fut monstrueux. La troisième ils étaient déchainés, mais la sono de la salle était tellement pourrie que je me sentais plus désolé pour le groupe que content de les voir.

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La cerise sur ce monumental gateau funky, c'est la reprise de "Subliminal" de ST en rappel, avec Rocky Georges au solo, et ce moment emotionnellement fort que fut l'embrassade entre Mike Muir et le soliste legendaire de ST. Ca faisait presque 15 ans qu'ils n'avaient pas partage une scene, j'en avais les larmes aux yeux !

 

J'adore cette chanson en plus ! Mortel !

 

Bon ben je materai le dvd hein.

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  • 2 weeks later...

Portishead hier soir, dans un Zenith archi comble...

 

(la photo n'est pas du Zenith, mais du concert de Wolverhampton le mois dernier)

 

La set list:

Silence

Hunter

Mysterons

The Rip

Glory Box

Numb

Magic Doors

Wandering Star

Machine Gun

Over

Sour Times

Nylon Smile

Cowboys

 

Threads

Roads

We Carry On

 

(on passera rapidement sur les liverpuliens de Kling Klang, la penible premiere partie dont le rock electro experimental a declenche moults baillements et railleries, sur album ca doit etre chouette mais sur scene c'etait affreux)

 

10 ans d'attente ! Et cette attente ne fut pas decue, loin de la.

 

Pour un groupe qu'on annonce froid et distant, la prestation sera etonnament tres chaleureuse, revelant un Portishead tres humain finalement.

Une formation assez "classique" (le trio epaule par un clavier, un bassiste et un batteur, tous trois multi instrumentistes).

Barrow en impose derriere ses percus (electros et acoustiques) et ses platines en train de tisser des sons que Utley vient completer de lignes de guitare retro. Les bases du son Portishead.

Le centre d'attention principal reste bien entendu Beth Gibbons qui se cache derriere son pied de micro. La miss est tres souriante, limite joviale par moments et plaisante avec les premiers rangs, allant jusqu'a descendre devant la barriere serrer quelques mains pendant le final de "We carry on". Elle oublie une ligne pendant "Cowboys", eclate de rire et se reprend aussitot comme si de rien n'etait.

Oui bon, pas de clope au bec cette fois-ci, mais elle carburait vraisemblablement pas qu'a l'eau...

Sa voix est parfaitement maitrisee et montre l'etendue de son registre, d'une voix fragile a un organe beaucoup plus puissant et impressionnant (la fin de Wandering Star est juste hallucinante et Roads est un enorme moment d'emotion pure).

 

Les nouveaux morceaux apportent une touche plus dure a un set base principalement sur Dummy. On pourra regretter l'absence de quelques pepites du second album (All Mine, Only You ou Elysium par exemple) mais la set list reste gargantuesque et 1h30 de Portishead c'est deja mieux que 10 ans de disette ! Roads est toujours la plus belle chanson de l'univers, et les morceaux de Third passent tres bien l'epreuve de la scene (ils semblent meme avoir ete composes dans cette optique).

En plus, dans une salle ou la bouillie sonore est le lot quotidien, le son de Portishead est a la fois puissant et clair. Une prouesse qui permet d'apprecier a sa juste valeur la performance des bristoliens.

 

Enorme emotion donc, que ce soit pendant "Glory Box", "Wandering Star", "Sour Times" ou un "Roads" delivre dans un silence de cathedrale (mis a part les deux connards qui discutaient derriere moi et que, protection auditive oblige, je n'ai pu m'empecher d'entendre ).

 

Forts d'un troisieme album qui se revele de plus en plus fascinant au fil des ecoutes, Portishead est plus vivant que jamais (oui, il y a un an peu y croyaient encore) et maitrise son art a la perfection, cette prestation est la pour le confirmer.

Vivement la prochaine fois, j'espere juste qu'on aura pas a poireauter 10 ans de plus...

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