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Giorgino - Laurent Boutonnat (1994)


Nicolas

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Non, elle est bien plus claire en vrai. Elle est meme tres sympa. Et puis, pour la derniere fois, je vous ai trouve un chouilla lourd en fait, et comme je me faisais chier au boulot...

 

 

Donc elle se la pête juste sur les forums. Ok. Si ça se trouve, elle met 3h à poster ses messages, le dico des synonymes sur les genoux.

 

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  • 2 weeks later...

Grace à la magie du DVD et notre ami Haribo, j'ai enfin vu ce soir ce "Giorgino" dont la découverte s'est tant fait attendre !

 

Et l'attente en valait la chandelle !

 

Que dire pour parler de "Giorgino" ? Et bien déjà, que c'est magnifique. Je m'en doutais un peu, mais vraiment, ça l'est encore plus que ce que j'attendais. Tout est soigné dans les moindres détails, de la lumière aux costumes, en passant par les cadres, les maquillages, le moindre petit bout d'etoffe, la moindre chandelle, tout est pensé, soigné, minutieusement présenté et le film est d'une beauté à tomber du début à la fin !

 

Ensuite, pour ce qui est de la mise en scène, on peut clairement dire que ceux qui connaissent Boutonnat à travers ses clips pour Farmer (c'est mon cas) ne seront pas dépaysés tant "Giorgino" navigue dans les mêmes eaux. Pas mal de plans, de séquences, de situations se font échos et peuvent rappeler, ici ou là, des trucs déjà esquissé dans les clips.

 

Décrire le film serait assez complexe, je dirai qu'on a là une sorte de conte pour adultes. Un conte parfois très beau, parfois très noir. Relativement long, mais sans pour autant qu'on y voit des trucs à enlever. Le film prend son temps, c'est tout. Il y a de l'amour, de la haine, des souffrances, des incompréhensions, de la cruauté. Des gens qui s'aiment et qui se déchirent, qui se perdent et se trouvent. Un film assez unique quoiqu'il en soit, qui ne cherche jamais à aller marcher sur des terres connues ou balisées, qui a une vraie personnalité, du caractère, du style. Qui mérite sans problème une, voire plusieurs visions. Tout n'est pas parfait dedans, on peut surement ne pas aimer, accrocher sur tel ou tel point, mais l'entreprise ne peut que susciter le respect. Pour moi ça sera même de l'admiration ! On peut dire que j'ai aimé, oui.

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au fait, qu'est devenu Jeff Dalhgren?

sa carrière semble avoir été stoppée après Giorgino...

 

 

peut etre qu'il a compris de suite qu'il jouait extremement mal et qu'il avait un nom d'hardeur gay

 

 

sinon, je suis en train de le voir et je ne sais pas si j'aime bien ou pas : c'est chiant mais c'est pas chiant, c'est beau mais c'est moche etc...

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Grace à la magie du DVD et notre ami Haribo, j'ai enfin vu ce soir ce "Giorgino" dont la découverte s'est tant fait attendre !

 

Et l'attente en valait la chandelle !

 

Que dire pour parler de "Giorgino" ? Et bien déjà, que c'est magnifique. Je m'en doutais un peu, mais vraiment, ça l'est encore plus que ce que j'attendais. Tout est soigné dans les moindres détails, de la lumière aux costumes, en passant par les cadres, les maquillages, le moindre petit bout d'etoffe, la moindre chandelle, tout est pensé, soigné, minutieusement présenté et le film est d'une beauté à tomber du début à la fin !

 

Ensuite, pour ce qui est de la mise en scène, on peut clairement dire que ceux qui connaissent Boutonnat à travers ses clips pour Farmer (c'est mon cas) ne seront pas dépaysés tant "Giorgino" navigue dans les mêmes eaux. Pas mal de plans, de séquences, de situations se font échos et peuvent rappeler, ici ou là, des trucs déjà esquissé dans les clips.

 

Décrire le film serait assez complexe, je dirai qu'on a là une sorte de conte pour adultes. Un conte parfois très beau, parfois très noir. Relativement long, mais sans pour autant qu'on y voit des trucs à enlever. Le film prend son temps, c'est tout. Il y a de l'amour, de la haine, des souffrances, des incompréhensions, de la cruauté. Des gens qui s'aiment et qui se déchirent, qui se perdent et se trouvent. Un film assez unique quoiqu'il en soit, qui ne cherche jamais à aller marcher sur des terres connues ou balisées, qui a une vraie personnalité, du caractère, du style. Qui mérite sans problème une, voire plusieurs visions. Tout n'est pas parfait dedans, on peut surement ne pas aimer, accrocher sur tel ou tel point, mais l'entreprise ne peut que susciter le respect. Pour moi ça sera même de l'admiration ! On peut dire que j'ai aimé, oui.

 

 

apres coup, j'en pense presque pareil que le poto du dessus

 

 

mais le hardeur gay joue aussi mal que richard anconina !

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Pareil que Pipo et Mario.

 

Sauf pour Jeff Dalhgren. Son jeu m'a laissé perplexe au début mais sur la longueur je trouve qu'il est finalement assez adapté à son personnage.

A part ça oui, le film est très beau, assez exigeant mais les trois heures passent bien.

Et puis quand même, quelle terrible scène dans l'asile !

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