Lord Ruthven

J'ai commencé à regarder et voici qu'à 8min49 déboule Michel Cremades. Du coup je sais pas quoi faire ?

Les Anges Gardiens ou comment tourner à la sauvage à Hong Kong. https://www.bfmtv.com/people/les-anges-gardiens-jean-marie-poire-raconte-le-tournage-fou-de-sa-comedie-survoltee_AN-202008110051.html

https://www.bfmtv.com/people/cinema/les-secrets-d-asterix-aux-jeux-olympiques-la-superproduction-la-plus-folle-du-cinema-francais_AN-202107260067.html Thomas Langmann est fou.

Je suis resté bloqué sur l'article sur Turf, le film maudit de Fabien "je savais pas que c'était si dur de tourner avec des chevaux" Otoniente.

A noter que le Cortomaltese (outre la ref) est le pays en guerre d'où revient Kim Basinger dans le premier Batman.

Le 2 envoie d'un bois, c'est Apocalypto avec des coups de genoux dans la gueule. Le 3 est plutôt mystique (chiant, quoi).

Léa Seydoux a l'air assez casse burne, quand même.

Ça durerait 20min de moins que ce serait ma nouvelle "série du midi qu'on regarde avec un plat de nouilles". Frank Castle et ses dialogues orduriers est un parfait connard.

Renseignements pris, la série littéraire Fear Street compte quelques 53 bouquins sans compter une dizaine de spin-off. Ça plus la scène "post" générique font qu'une suite ne serait absolument pas déconnante.

On remonte à l'origine du bazard. Film assez schizo. La partie 1666 est assez glauque et sale : enucleations, pendaison, vindicte villageoise, on échappe de peu à la tentative de viol, bite en érection à l'appui... Puis une fois l'affaire entendue, on retourne à la suite directe du premier volet, pas sans charme mais bien plus légère. Jusqu'à un dénouement peut être un peu convenu. Trilogie très sympathique au final, visuellement soigné, bien interprété et pas con. Je suis assez curieux de savoir dans quelle mesure les bouquins de RL Stine ont été piratés, parce qu'on reste assez loin de Chair de Poule.

Palme d'or à Cannes !

J'avoue que dans le genre brutal, la fin m'a quand même bien calmé.

C'est toujours la chienlit et on se rappelle du massacre au camp d'été pour essayer de comprendre pourquoi. On prend les mêmes et on recommence avec un skin Vendredi 13/Bowie à la place de Scream/Garbage. Ça marche très bien. Tueur à la hache et monos de collo porté sur le cul, on est en terrain connu, avec une louche de Blair Witch et un plan à la Evil Dead. On pousse le curseur de l'hémoglobine, à grand renfort de décapitation. Le mauvais goût s'immisce via un passage secret qui débouche dans un chiotte. Y'a même un bout de nibard. Je sais pas si c'est pour les ados, en tout cas à 15 ans j'aurais trouvé ça vachement cool.

Deux villes rivales, des meurtres et une sombre histoire de sorcière. Ce premier volet nous ramène 30 ans plus tôt, au bon vieux temps de Scream et ses rejetons. Est ce qu'on passe un mauvais moment ? Non, le film est bien fichu, le cast sympa, le fantastique joue un peu des coudes mais arrive à se faire une place. Est ce que le film est génial ? Non plus. Pas grand chose à lui reprocher cependant, à la limite un côté nostalgique un peu forcé, le film nous balançant à la figure -et aux oreilles- tout un bric à brac 90's. Et une certaine sagesse graphique, RL Stine n'étant pas non plus Stephen King ( d'autant plus dommage qu'il y a sur la fin matière à une scène gore du meilleur effet). A voir le deux, qui j'imagine la jouera Vendredi 13 durant les années 70.

Innatendu effectivement. Mais j'ai hâte de voir Michael Berrymann déguster un gérôme vosgien.

Heat avec des vieux. Pour l'occasion, un casting royal jusque dans les seconds rôles : Robert Redford, de tous les plans ou presque, Danny Glover, Tom Waits, Sissy Spacek, Casey Affleck, keith Carradine, Elisabeth Moss... Tout ceci combiné à l'intrigue improbable fait que l'on passe un gentil moment. De quoi faire oublier le rythme du film, qui semble avoir 78 ans lui aussi, et la légèreté de l'ensemble, tout ceci étant plié en 1h30 sans grande conséquences. Pour le plaisir de revoir Robert Redford, qui semble bien s'amuser.

Il se passe pas grand chose quand même. Autant dans The Terror, il se passe rien mais c'est bien, là, bon, voilà... Reste Alicia Sutherland qui pourrait ressembler à son père si son père était effectivement Donald ou Kieffer. Alors que non, aucun rapport.

Après même en se concentrant sur autre chose que le physique (après tout, nous aussi on a pris 20 piges), le show était vraiment pas top. Forcé, des guest star assez osef (le jumeau de main de Joey ) même si ça faisait plaisir de revoir Gunther et Tom Selleck, pas grand chose à se mettre sous la dent, pas mal de malaise même (le tour du monde des fans)...

HBO et hier tf1 ont diffusé les "retrouvailles". Que dire... - tout le monde vieilli pas pareil (Phoebe ) - le génie comique de la troupe est pas forcément celui qu'on croyait ( Matt le Blanc , qui au passage à l'air super cool ) - la chirurgie plastique c'est mal ( Courtney Cox ) - le visage de Ross ne bouge plus à part ses yeux, c'est super creepy - Chandler a eu l'air de vouloir pécho Janisse pour de vrai Sinon c'était quand même pas terrible. La seule info inédite étant sans doute le fait que Ross et Rachel se tournait autour pour de vrai. Pas de bol, ça a été largement éventé.

Bof bof pour ma part. L'histoire tient pas la route et est laborieuse pour pas grand chose. C'est assez lent. Le méchant ressemble vite fait à Yves Montand. Bon, parfois si des films sont pas très connus, c'est pour des bonnes raisons aussi... Le bal en question à un côté décadent façon Masque de la Mort Rouge pas déplaisant, mais c'est à peu près tout.

Superbe film, et une belle peinture du personnel de maison. Je crois pas qu'il y ai grand chose d'autre à dire là dessus. Hopkins est magistral mais tout le monde joue bien là dedans.

C'est à se demander si on aura un jour une vraie bonne adaptation d'Astérix.

Explication qui en vaut bien une autre...Mais cette zone sanitaire ne semble pas si critique puisque tout le monde peut se barrer (moyennant contrepartie) et que Batista peut monter au calme son projet de malbouffe. Le gars veut quand même faire un food truck, il fera quoi avec, le tour du quartier ?

En fait ce qui rend le film assez con à mon sens, c'est qu'on a l'impression que l'épidémie n'est concentrée qu'à Vegas. Du coup, je comprends pas trop pourquoi personne n'a fait péter la ville plus tôt ni pourquoi il y a un camp de réfugiés alors qu'il suffit a priori de changer d'état pour avoir la paix.

C'est vrai que c'est moche. On s'est moqué de Rodriguez, autre homme-orchestre s'étant frotté au numérique, mais ses films ne ressemblent pas à des productions SyFy. Visuellement, Army of Dead évoque littéralement à un (très) (long) épisode de Z Nation, dont il reprend d’ailleurs le système de castes. Sinon, bon, on peut prendre le film pour ce qu'il est. Snyder fait un peu son Zombieland, quiconque a déjà joué à Left 4 Dead y prendra un certain plaisir, Bautista se verrai bien en nouveau Vin Diesel (petite bière et discussion sur la famille à l'appui). ça passe bien le midi quand on mange son poireau-vinaigrette.