Lord Ruthven

Django, c'est 1966, deux-trois ans seulement après Pour une Poignée de dollars, et quelque part , c'est déjà la fin. Tout y est crade, ordurier, excessif, il ne manque pas grand chose pour que ça tombe dans la parodie (Trinita justement est juste un pas supplémentaire de côté). Au détriment du "scénario" sans doute, bien que Franco Nero se démène plutôt bien pour faire exister son pistolero antifa.

C'est à dire que Benj a quand même abordé le genre avec du lourd. El chuncho et Django, c'est pas Trinita quoi...il y a assez de peu de chance qu'il ait une révélation christique sur d'autres classiques, fusse ceux de Leone.

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Ce moment où tu as pris un jour de congé pour toi. Le fiston est à l'école, madame au boulot, et après avoir bouffé gras, tu t'affales sur le canapé. Amazon Prime, qui connait bien tes goûts, te propose le juste choix entre le dernier Stallone -le samaritain, donc-, et un Arnold inconnu au bataillon (Kill Gunther, 2017 tout de même). Stallone a une barbe comme dans les Faucons de ma Nuit, un flash mou d'un avis positif sur zonebis fait le reste. Hop ! Une ville à la dérive, une mère courage, un gamin qui trouve du confort du mauvais côté de la loi, un Bad Guy qui harangue les laisser-pour-comptes à se révolter, en brandissant un marteau géant (la faucille ils ont pas osé). Un héros cabossé. On comprend ce qui a attiré Sly dans ce projet super-heroique iconoclaste, qui emprunte autant à Joker qu'à Incassable. Comme Stallone se refait pas, ça se termine à coups de poing dans la gueule. Le twist est visible de très loin, mais j'avoue que j'aurais été déçu que le fin mot soit pas ça... Bref, c'est bon, Samaritain.

Moi j'ai bien aimé. En tout cas j'y ai pris davantage de plaisir que devant le Shane Black. Juste le predator fait un peu pitié avec son casque en bois et sa propension à se faire latter par tout le monde. L'ours aurait pu finir le film.

Je me suis fais un peu violence pour le finir. Le premier était plutôt frais et inattendu (dans un contexte où il'y avait alors surdose), gérait bien ses ruptures de ton. Celui ci est plutôt lourdingue et mal foutu (voir le traitement de Luke Wilson et son accolyte). De base Zombieland était une série, c'est peut être pas plus mal que ça a été avortée... Pas grand chose à dire, Woody est toujours bien, j'ai aimé que l'univers ait continué à évoluer entre les deux films, même si le nouveau zombie surpuissant, au final tout le monde s'en branle bien... Bon, voilà...

J'aime bien baby cart et les westerns, du coup j'aime bien Mandalorian. C'est assez simple la vie parfois. John Favreau quoique on en dise, c'est toujours propre. J'aurai juste aimer qu'ils poussent le délire du casque jusqu'au bout, en passant hors champ les (trois) fois où il l'enlève.

j'ai commencé.... j'ai très peur d'un truc chiant et compliqué pour au final pas grand chose, c'est juste ? Bon après y'a 8 épisodes, c'est pas comme si j'avais à me taper 6 saisons.

Dans un manoir à l'histoire mystérieuse, huit ados en phase terminale se retrouvent tous les soirs à minuit pour raconter des histoires sinistres et rechercher des signes surnaturels venus d'outre-tombe. Des cancéreux et des fantômes : POUET, GROSSE AMBIANCE ! Sinon ce croisement entre Bly Manor et les Bracelets Rouges tient la route. Mais on sent que Flanagan a fait le tour de la question avec ses précédentes séries. L'ensemble reste assez attendu. Le premier épisode et son improbable lots de jump scare tient autant de l'exercice de style que du cahier des charges façon Hill House. La morosité ambiante renvoie à Bly Manor (donc), le côté mystique éventuellement aux Sermons de Minuit... A noter que la première saison sera la seule, en tout cas chez Netflix. Enterrant là d'une non-fin une histoire qui n'a somme toute jamais vraiment décollée.

Pas trouvé ça dingue non plus. La plupart des histoires ont le même schéma (ambiance bizarre+gros craignos Monster en dessert). Je retiens le Cosmatos qui tout en obéissant au schéma sus-cite, a un côté Ken Russel des plus savoureux.

Quelque part, si. Vu le projet, on attendait tout sauf "ça" (Ceci étant, Bavard de la Mort se revoie plutôt bien).

Sinon, avant que Natale nous présente un ami noir et que Benj avoue avoir abusé du BURN, le film est la suite d'un autre ? J'ai pas suivi.

Bon c'est sympa , il se passe pas forcément grand chose mais c'est attachant. Ce qui se passe autour de Sharon Tate, hormis la fin bien sûr, est pas très passionnant, c'est dommage (d'autant que c'est un peu la pierre angulaire du film, quoi).

Bof y'a bien des films Legos.

Préparez vous les darons, y'a un film Minecraft qui arrive aussi.

Mon fils est fan de super Mario, donc séance obligatoire.

Dans le punk, c'est le débat éternel.

C'est le drame de toute l'industrie musicale j'ai impression, voire de tout art confondu.

On peut pas nier qu'il y'a un gouffre entre Perdu d'avance et Civilisation. Un gouffre de quoi, c'est à l'appréciation de chacun... (Faut qu'il arrête de chanter, en fait )

En fait vous tapez "films 70" ou "film 80" (ou film "la décennie que vous voulez), y'a des trucs sympas qui remontent, souvent sous des titres passe partout. Prime aussi, mais leur interface est tellement atroce...

Saison 2 un peu en deçà, surtout centré autour de Civisilation. Dont il est clairement le making of si ce n'est la promo. A voir pour les épisodes de la "page blanche" où Orelsan a pas d'idées, puis tout plein d'idées de merde avant d'enfin accoucher du disque que l'on connaît. Ironiquement, les morceaux laissés de côté formeront Civilisation Perdue...

Mangold est moins bon que Spielberg, mais est moins deceptif. Le vieux héros qui revient pour un dernier ride, c'est une bonne thématique, et c'est dans l'air du temps (au hasard, Top Gun Maverick). Mais c'est aussi devenu une tarte à la crème. Je dois faire les courses mais j'ai pas encore pris mon café.

James Mangold, ce sera un minimum propre, d'autant que les films de vieux, il connaît (Copland, Logan...). A priori, Harrison Ford fait moins de peine que dans Expendables 3 (s'il a pas été lifté numériquement, comme dit Gourbenj). Chaque bon point à son a côté. Je suis curieux, finalement.

Pour moi qui suit pas de Paris et n'ai pas vu de près l’émergence du mouvement, c'est plaisamment exotique. Forcement, les battles du Trocadero et Carbone 14, bon voilà... Après, même en étant non initié, c'est très intéressant et prenant. Ça remet bien NTM dans un contexte en tout cas.

Y'a des plans de la bande annonce qui sont dingues. Irréversible avec un âne !