Aller au contenu

DPG

Modérateur
  • Compteur de contenus

    16 551
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    9

Tout ce qui a été posté par DPG

  1. DPG

    Alien - Ridley Scott 1979

    Revu sur le BR pour la première fois depuis que j'avais pécho le coffret et la copie est absolument MA-GNI-FIQUE ! Vraiment un disque de démo, image incroyable, mais respectueuse du film, de l'époque, c'est sublime ! Le film tue toujours autant sinon, of course
  2. DPG

    Vos lectures du moment

    AH ben ça fait plusieurs fois que je me demande ce que ça vaut, tu m'as convaincu, je vais le pecho ! Moi de mon côté, je tape ds le classique, Intégrale Marvel Et dès que j'ai fini, j'enchaine sur
  3. Ruben et Lou, ensemble à la ville comme à la scène, sillonnent les Etats-Unis entre deux concerts. Un soir, Ruben est gêné par des acouphènes, et un médecin lui annonce qu'il sera bientôt sourd. Désemparé, et face à ses vieux démons, Ruben va devoir prendre une décision qui changera sa vie à jamais. Postulat intéressant pour un film assez atypique, qui propose une expérience ciné qui sort de l'ordinaire. Et c'est peu dire que l'immersion est réussie. Très justement salué de deux Oscars (montage et son), le film adopte complètement le point de vue de son perso principal, sa surdité progressive. Énorme travail sur le son, mais pas que. On vit avec Ruben la frustration, celle de voir une vie tournée vers la musique prendre fin, le deuil nécessaire, et la lutte face à ses démons (ancien toxico) qui rodent toujours ds le coin... Joli portrait d'un marginal, que le film ne cherche pas à rendre plus attachant que ça. La découverte d'un nouveau monde, les choix à faire, le retour en arrière rêvé qui sera impossible. Malgré d'évidentes qualités, j'ai trouvé le film un peu inégal. La première demi heure est bluffante, complètement immersive. Par la suite, certains passages m'ont moins accroché, il y a qques longueurs, on est sur un terrain plus convenu (on retrouve pas mal de passages obligés de films liés à la maladie, à une addiction...). Mais le final ouvre des pistes de réflexion intéressantes, crédibles. Bref, une belle réussite; à voir en salles absolument pour en apprécier pleinement toutes les qualités. Un Riz Ahmed incroyable. A voir !
  4. Anthony est retraité. Il vit seul dans son appartement de Londres et refuse toutes les aides-soignantes que sa fille, Anne, tente de lui imposer. Cette dernière y voit une nécessité d’autant plus grande qu’elle ne pourra plus passer le voir tous les jours : elle a en effet pris la décision de partir vivre à Paris pour s’installer avec l’homme qu’elle vient de rencontrer… Anthony Hopkins perd la boule ds l'adaptation par Florian Zeller de sa propre pièce de théâtre. A la clé, Oscar du meilleur acteur pour le vétéran anglais et du meilleur scénario pour Zeller. J'ai bien aimé, même si je dois dire que j'en attendais un peu plus. Le film a ses points forts, à comment par un casting au top où chacun est parfaitement à sa place. Hopkins est bien sur omniprésent, brillant en père déboussolé, tantôt charmeur, tantôt colérique, étant petit à petit submergé par son déclin. Olivia Colman lui offre un parfait contrepoids en fille aimante, ne sachant plus comment faire, tiraillée entre l'amour pour son père (qui le lui rend peu) et sa propre vie qui pâtit forcément de tout ça. Les autres personnages, secondaires mais essentiels s'en sortent tous très bien, le moindre petit rôle ayant un vrai truc à défendre auprès de ce "père" dur à gérer... Le film joue bp sur les points de vue. On adopte celui d'Hopkins et la confusion qui va avec (Alzheimer ou toute autre maladie du genre). On mélange les visages, les gens, les lieux, les époques. On ne sait plus où on est, on semble revivre une scène en boucle, on imagine certaines autres... C'est plutôt bien vu comme approche, et ça fonctionne très bien. Mais on prend aussi le point de vue de sa fille. Comment on peut être perdue dans une telle situation, se sentir terriblement impuissant, ne plus savoir quoi faire pr ménager le malade, mais sans en faire porter tout le poids à ses proches. En cela, le film est très juste, et quiconque ayant vécu ce type de situation y replongera immédiatement, avec tous les déchirements que cela entraine. Reste qu'à côté de ces vraies qualités, il manque un petit quelque chose au film, qui se repose un peu trop sur son postulat de départ, et reste un peu trop sur les rails prévisibles du genre. On aurait aimé une mise en scène un peu plus inventive, quelques scènes ne poussent pas le curseur assez loin à mon sens. Sans doute pour éviter un côté trop mélo, mais la retenue n'est pas toujours le meilleur choix. Mais bon, il reste un bon film, porté par des comédiens au sommet, touchant, humain, sincère. Une belle réussite.
  5. Découvert sur le tard sur le BR Artus. Assez mitigé. C'est clairement très bordélique, ce qui fait à la fois le charme du film et ses limites. Les ruptures de ton sonnent parfois justes, arrivent parfois n'importe comment. On passe d'une comédie à la con à un truc plus évanescent, il y a un côté "Les valseuses" au féminin pas désagréable, mais du tout abouti non plus... La chanson titre terrasse, le final est racoleur à souhait, les actrices sont sublimes, la plupart du cast joue comme un pied... Enfin bref, j'arrive pas à avoir un avis tranché, être vraiment emballé ou rejeter le film. Une curiosité, bien de son temps. J'en espérais un peu plus quand même... Le BR Artus est pas terrible. Au bout de quelques minutes, je me suis relevé pour voir si j'avais pas foutu le DVD au lieu du BR ds le lecteur... Par la suite, ça s'arrange, mais ça reste très inégal. Certaines scènes sont très propres, bien définies, et le plan d'après, on a l'impression de voir une VHS... Et c'est comme ça tout le long... Rien de rédhibitoire, mais clairement pas un disque référence.. Itv de 20mn en bonus, qui présente le film. Carré, sans génie, mais c'est correct.
  6. Adrien est coincé. Coincé à un dîner de famille où papa ressort la même anecdote que d’habitude, maman ressert le sempiternel gigot et Sophie, sa soeur, écoute son futur mari comme s’il était Einstein. Alors il attend. Il attend que Sonia réponde à son sms, et mette fin à la « pause » qu’elle lui fait subir depuis un mois. Mais elle ne répond pas. Et pour couronner le tout, voilà que Ludo, son futur beau-frère, lui demande de faire un discours au mariage… Oh putain, il ne l’avait pas vu venir, celle-là ! L’angoisse d’Adrien vire à la panique. Mais si ce discours était finalement la meilleure chose qui puisse lui arriver ? Adaptation du bouquin de Fabcaro au cinéma. Je n'ai pas lu le livre, mais j'ai lu pas mal de BD de l'auteur (et j'adore). On retrouve bien son univers, son gout pr croquer le quotidien, l'amour du non sens, des gags Wtf. Le film se tient bien. On ne s'éparpille pas, 1h30, emballé c'est pesé. Joli cast, Benjamin Lavernhe porte le film, mais tous les seconds rôles sont très bons. On sent un amour des comédiens, autant que du bon mot. Voilà, 1h30 sourire aux lèvres, quelques éclats de rire, un ou deux moments d'émotion, une séance qui remplit parfaitement le contrat !
  7. DPG

    Friends

    Oui, assez bizarre comme impression. En grand fan, à la fois content de les revoir, mais triste de voir leur "physique". Tout le monde est en plastique sauf Phoebe et Joey (qui a pris 100kg au passage) Au final, ils ont bien fait de pas refaire un épisode spécial, ce ne sont plus vraiment les persos qu'on a connu et aimé. Quelques moments sympas donc, ds les bétisiers, anecdotes, mais ça reste très convenu, show à l'américaine, bon.. Ca n'abime pas la série, mais ça ne sert à rien non plus...
  8. Trailer du nouveau film de Julia "Grave" Ducournau Intrigant... Très "Cronenberg" dans l'esprit à nouveau
  9. Chronique des 22 ans de carrière de la star du foot Roberto Baggio, de ses débuts difficiles sur le terrain aux profonds désaccords avec certains de ses entraîneurs. Un biopic Netfllix sur Baggio, un de mes joueurs préférés all time, Ballon d'or 1993 et un des plus grands joueurs italiens de tous les temps, j'étais un peu obligé de mater. Les premiers échos étaient pas fou-fou, et on le comprend, c'est une nouvelle belle croute made in Netflix. Le film évoque plus un téléfilm d'après midi M6 que le grand truc que ça aurait pu être. A ce compte, j'aurais largement préféré un vrai doc, comme celui (mortel) de Asif Kapadia sur Maradona. On survole donc à peu près tout, zappant les 9/10e de la carrière du joueur pour se concentrer sur le Mondial 94. Pourquoi pas après tout, un biopic ne visant pas forcément l'exhaustivité, mais même sur ce Mondial, le film ne convainc pas. Tout est ultra basique, scolaire, avec un psychologie de comptoir (la lourdeur de l'évocation des rapports au père, et au coach, Sacchi). On sent les passages obligés (le bouddhisme, le péno raté en finale) insérés à la truelle dans un script pachydermique. Au final, le seul moment à peu près réussi du film reste son final, et le lien unique que Baggio, à travers ses réussites et ses échecs, a su créer avec tous les italiens, étant en cela bien plus aimé que ses rivaux / équivalents / successeurs (Del Piero, Totti, ...). Ça fait maigre, mais c'est déjà ça de pris. Pour le reste, n'importe quel doc sur youtube fera mieux.
  10. Le dernier Crash sur Switch. Pas de révolution en vue, ça marche ds les pas de ses prédécesseurs (je m'étais refait la compil y a quelques mois donc j'ai bien les jeux en tête) mais ça fait très bien le taf. Les univers piochent un peu à gauche à droite (on pense à Indiana Jones, Pirates des Caraibes, Coco...), le jeu est toujours fun, la difficulté bien dosée (quelques passages où il faut s'accrocher mais on s'en sort toujours). Quelques news ds la prise en main, notamment le gros point fort, l'ajout d'une petite ombre sous le perso lors des sauts, qui permet de voir où on va atterrir (ça rendait parfois fou ds les précédents). Quelques nouveaux persos à jouer plutôt sympas lors de niveaux spécifiques, des idées plutôt funs même si stressantes (le costume qui fait apparaitre ou disparaitre telle ou telle plateforme). Bref, après 3-4h de jeu, je suis satisfait, un bon Crash, ds la lignée d'une saga que j'aime bp et que j'ai plaisir à retrouver !
  11. Bon, je m'auto réponds si ça intéresse qqu'un un jour... J'ai fini par pécho SINE MORA sur Switch donc Plutôt sympa mais assez dur. Le système est pas mal, on a un timer qui descend, et tuer des ennemis nous fait regagner des seconds au timer. Du coup, faut pas trainer et perdre tout son temps à éviter les ennemis, faut les avoir, et le plus vite possible. Le jeu est plutôt joli, jouable, classique mais efficace. Mais le challenge est bien relevé, je m'étais pas fait de shootem up depuis un moment , je galère bien
  12. Etant fan des "10 petits nègres" et curieux de toutes les adaptations existantes, j'ai découvert récemment l'existence de celle ci ... Avec notamment au cast Donald Pleasance, Herbert Lom et Frank Stallone ! Quelqu'un aurait déjà vu cette curiosité ???
  13. Pareil que tout le monde, des espoirs vu le passif de Snyder en zombies, et déception... Pas horrible ou honteux, mais juste teeeeeeeeeellement long et moche visuellement. Pr le reste, rien de spécialement notable, on suit ça d'un oeil distrait, deux trois bonnes idées égarées là par erreur, et le reste en pilotage automatique... Probablement oublié ds une semaine...
  14. DPG

    Achipé achopé

    Toujours à Marseille, je surkiffe ce son
  15. DPG

    187 Code meurtre - Kevin Reynolds - 1997

    Revu hier, et c'est toujours très bien. J'ai bien du le voir 4 ou 5 fois depuis sa sortie, et je découvre à chaque fois des petits détails, des petits trucs qui ajoutent de la profondeur à l'ensemble. Hier, j'ai bloqué sur le côté ultra procédurier des États Unis, avec la moitié des persos qui menacent quelqu'un d'un procès à un moment ou un autre, élève, prof, jusqu'au principal qui flippe d'avoir un nouveau procès sur les bras et accepte donc à peu près tout des petits cons qui lui servent d'élèves... Et j'ai été à nouveau bluffé par la performance de Samuel Jackson, juste parfait, tout en retenu, en rage contenue, avec une montée de tension progressive jusqu'à un final "explosif". Le film est vraiment sombre, il y a bien quelques lueurs d'espoir, mais ce n'est pas ce qui ressort en premier qd on le (re)voit. En gros, face à un contexte comme ça, tu n'as pas 50 solutions. Tu fais avec en buvant / en ayant rien à foutre, tu vas au conflit et tu seras toujours perdant et seul face au système, ou tu te casses. Pr rappel, le scenar a été écrit par un ancien prof. Bref, un vrai bon film, toujours aussi fort 25 ans après ! Un peu triste de voir rétrospectivement la carrière de Kevin Reynolds, qui n'est pas ce qu'elle aurait pu être...
  16. Je me suis posé la même question récemment après avoir vu "Mimic" et je me suis dit que pr une actrice oscarisée, elle avait complètement disparue des radars Apparemment, ça serait de la faute de Weinstein qui l'aurait fait blacklister après qu'elle ait refusé ses avances Peter Jackson aurait ainsi confirmé dans la foulée de son témoignage avoir été contraint par la société de production Miramax de l'écarter du casting de la trilogie du Seigneur des anneaux, au prétexte qu'elle avait un comportement difficile sur le plateau.
  17. Alice Hughes est une écrivaine à succès qui a notamment obtenu un prix Pulitzer. Elle travaille sur un nouveau manuscrit que son éditrice espère être la suite de son best-seller, You Always/You Never. Alice doit recevoir un prix littéraire au Royaume-Uni mais ne peut s'y rendre en avion en raison de problèmes de santé. Son agent Karen lui suggère alors de s'y rendre en croisière, sur le Queen Mary 2. Alice invite alors son neveu Tyler et ses amies qu'elle n'a plus vu depuis des années, Roberta et Susan. Karen s'invite également à bord, pour connaitre les détails du nouveau manuscrit. De son côté, Alice souhaite à tout prix prendre du bon temps et venir à bout de son passé. Ohlala le film de vieux que nous a pondu Steven là ! Le pitch vous ferait penser à un épisode de "La croisière s'amuse" ? C'est de ce niveau là ! Allez, je suis méchant, c'est joliment éclairé, ça sauve les meubles... Pour le reste, pas gd chose à se mettre sous la dent.. Tergiversation de mamies en fin de vie, avec un jeune naïf pour empiler les poncifs à côté d'elles... Péripéties prévisibles, réflexions de comptoir, on a du mal à voir ce qui a pu attirer Soderbergh et Meryl Streep là dedans... Ni fait ni à faire..
  18. Vu sur le tard, sur le DVD Neo que j'avais depuis des siècles... Pas mal, mais pas bouleversé non plus. Comme dit plus haut, c'est le perso de Macha Méril qui sort le film des rails prévisibles du genre. Pr le reste, ça fonctionne, c'est bien sadique et noir, mais on s'attendait à ça. C'est pas spécialement ma came, content de l'avoir vu, mais mon DVD me suffira quoi...
  19. Avocat célèbre, Luc Germon pense atteindre la consécration lorsque Gilles Fontaine, l'un des patrons les plus puissants de France, lui demande de prendre sa défense. L’homme d’affaires est soupçonné d'avoir acquis dans des conditions douteuses une magnifique propriété sur la Côte d'Azur, la Villa Caprice. Humilié et furieux de s'être laissé piéger, Fontaine compte sur l'habileté de Germon pour le tirer de ce mauvais pas. Mais une étrange relation de pouvoir s'installe bientôt entre les deux hommes, en principe alliés. Qui prendra l'avantage ? Sympathique face à face entre Bruel et Arestrup, tous deux excellents dans un jeu de chat et de la souris entre manipulation, pouvoir, secrets et double jeu. Le cadre scénaristique est assez convenu (magouilles politiciennes habituelles), mais la Villa Caprice en question est une merveille, les échappées maritimes solaires sont les bienvenues, et pas mal de zones d'ombre autour de ses persos (famille, conjoint, ...) permettent au film de fonctionner et de rester prenant d'un bout à l'autre. Ca m'a rappelé par moments "L'ainé des Ferchaux" de Melville / Simenon, aussi bien ds la relation Bruel / Arestrup que pr le perso joué par Paul Hamy. Irene Jacob est toujours aussi classe sinon. Bref, un film assez classique, mais efficace, beau duo / duel d'acteurs, rien de renversant, mais très fréquentable !
  20. J'ai fini la 4e saison, et c'est la débandade... Je criais déjà pas aux génies sur les précédentes, mais là, c'est de pire en pire... C'est super mal écrit d'un bout à l'autre, on ne croit à aucun des rebondissements, aucune des péripéties, tous les persos agissent en dépit du moindre bon sens, on n'a aucune empathie... Le seul point correct est le final, qui évite un happy end tombé du ciel, mais bon, s'il y a une 5, ça sera sans moi...
  21. Quatre amis décident de mettre en pratique la théorie d’un psychologue norvégien selon laquelle l’homme aurait dès la naissance un déficit d’alcool dans le sang. Avec une rigueur scientifique, chacun relève le défi en espérant tous que leur vie n’en sera que meilleure ! Si dans un premier temps les résultats sont encourageants, la situation devient rapidement hors de contrôle. Très bon ! Quatre quarantenaires, collègues de boulot ds un lycée, font leur crise de la quarantaine face au vide de leur vie. La solution ? Boire. Le film fonctionne bien, aborde le sujet façon montagne russe, allant de l'euphorie de la montée progressive de l'ivresse à la folie de la cuite ultime en passant par les lendemains qui déchantent des gueules de bois collector. Rien n'est esquivé, des aspects les plus jubilatoires aux plus bad trippants du sujet. Cette parenthèse leur permettra de repartir, chacun ds sa direction, du bon ou du mauvais pied. Un cast au top, porté par un Mads Mikkelsen toujours aussi étincelant, une approche intelligente, de belles idées de mise en scène, de beaux moments d'émotion, bref, une vraie réussite qui mérite les éloges et les prix glanés un peu partout !
  22. Mitigé aussi, mais n'étant pas un grand fan de Dupontel à la base, je vois qd même le verre à moitié plein. Idée sympa, des moments touchants, mais aussi des trucs un peu foireux, un scénar' un peu bancal... Ça a le mérite d'être efficace et de pas durer des plombes. Et soyons francs, c'est qd même largement au dessus du tout venant de la comédie française qui déferle à longueur d'années sur les écrans, que ça soit ds le sujet, les persos, le traitement, l'univers, donc on a qd même envie d'encourager ce type de cinéma. Mais clairement, on a vu bien mieux, y compris chez Dupontel.
  23. DPG

    Achipé achopé

    Du son marseillais, deux salles deux ambiances !
×
×
  • Créer...