Nice Panda

Vous êtes hardcore, les mecs. Fucking hardcore...

A part ça, pour reprendre un des comm ci-dessus, c'est même pas que ça le fait toujours pas mais surtout que c'est carrément de pire en pire... A tel point qu'on en viendrait presque à désormais l'attendre, par la faute d'une curiosité morbide en l'occurence bien légitime...

Est-ce que c'est ce film qui contient une scène dans laquelle on voit un vieux (?) monsieur (avec des lunettes et des cheveux blancs, me semble-t-il, mais mes souvenirs sont flous), visiblement dérangé, qui (sous le regard d'au moins une ou deux autres personnes) repeint sa chambre pour une raison dont je ne me souviens plus ? Si non, est-ce que cette description, ô combien décousée et incomplète, rappelle quelque chose à quelqu'un ?

Pareil.

Ca doit faire du bien de le revoir, celui-là, par ces temps de moiteur estivale...

Il arrive à agacer même sur l'affiche...

J'ai pas (encore) vu la chose mais c'est clair qu'au vu de la bande-annonce, il est dificile de ne pas penser à "Zoolander". Tant mieux s'ils l'assument ouvertement...

A noter qu'une petite partie du film (celle qui se passe près du Père-Lachasie) a été tournée juste à côté de chez moi. Si, si. Il fallait que ce fut dit.

C'est tellement vrai !

Il a un quelque chose, quand même. Dans "Résident Evil", il ressemble à un mix entre Hugh Jackman et Thomas Jane - ce qui est assez effrayant, quand on y pense...

Il est bien, le film de "Super Mario" (et je le pense, en plus)...

Me souviens d'une interview des Goats (groupe de rap de l'époque dont le discours socio-politique le situait un échelon au-dessus de la production moyenne d'alors) dans laquelle le leader disait qu'avec tel morceau, Ice-T faisait le jeu du "pouvoir blanc", en n'incarnant rien d'autre que la caricature du black de cité, hargneux et illétré, dont la seule revendication se limitait à buter du keuf. Lequel Ice, bien avant "Law & Order", avait reçu vertes critiques en endossant, déjà, le rôle d'un muthafukin' cop dans "New Jack City" (incohérence ?). Le gusse avait, quoiqu'il en soit, de toute façon bon goût en matière de choix de films, que ce soit en tant qu'acteur ou simple illustrateur de b.o. : Ca m'a donné envie de le revoir...

Pareil. Je vénère les polars de l'époque mais celui-ci, malgré sa flatteuse réputation, m'a toujours ennuyé. Reste un Sutherland égal à lui-même, ce qui est à la fois peu et quand même beaucoup. QUelle tête de dingue, quand même...

J'ai toujours trouvé John Irvin curieusement sous-estimé. C'est peut-être loin d'être le meilleur dans sa partie mais il a régulièrement emballé des produits nettement au-dessus du lot, qui ne pêtent pas plus haut que leur cul et se distinguent souvent par une "touch of class" faisant défaut à la moyenne des produits similaires. "Les chiens de guerre", "Ghost story", "Hamburger Hill"... Pas forcément le haut du panier mais ça se défend de manière plus qu'honnête dans le genre série B atypique. Même un truc comme "City of industry" parvenait, malgré l'inanité du scénar, à en partie accrocher grace à une curieuse ambiance, des décors en restituant bien la froideur et une utilisation parfaitement décalée de la musique (du trip-hop sur fond de poursuite et vengeance). Après, c'est clair que ça peut sembler un peu léger à côté de ce que pouvait sortir Schwarzie à l'époque. C'est fou comme ce mec, à défaut d'exceptionnels dons d'acteur, a toujours eu un flair phénoménal concernant le choix de ses metteurs en scène (enfin, dans la première moitié de sa carrière, s'entend)...

Ouais, mais "Die Hard 2", c'est pas du jeu, la plupart crèvent dans le crash de l'avion...

Vouloir donner un ton plus sérieux à ce genre de truc, non mais, quelle idée, aussi... Sinon, il me semble que c'était Albert Magnoli (réal de "Purple Rain" et "Sign O' the times") qui avait, du coup, terminé le tournage. Même qu'on s'était dit avec un pote, à l'époque (parce que je l'ai vu au ciné celui-là, eh ouais), qu'on pouvait, en deux ou trois endroits y reconnaitre sa patte. Notamment, de mémoire (c'est que ça fait longtemps que je ne l'ai revu), une scène durant laquelle se trémousse sur scène Teri Hatcher, qui utilisait (la scène, pas Teri) les mêmes codes visuels que les clips Princiers dans lequels on pouvait voir défiler son harem. Quelle magnifique période !...

Ca vaut quoi ? Mais putain, quelle meilleure réponse que la tienne ?

Zoe Saldana, je jouerais bien au bilboquet avec elle...

L'un des meilleurs films du monde (je parle bien sûr du remake)...

Et le méconnu mais ô combien excellent "Contre-enquête" ("Q & A" in v.o.), toujours sur fond de corruptions policère et politique. Qui plus est soutenu (comme souvent chez le réalisateur) par un casting en or massif hallucinant de justesse (notamment Armand Assante, Charles Dutton, Luis Guzman et sutout un Nick nolte moustachu absolument monstrueux). TO SEE !!!!

Ouais, comme disait Mel Gibson dans un épisode culte des "Simpson" : ça ne fait que jacter, jacter, jacter...

Pas vu. Mais me souviens qu'à l'époque de la sortie, les photos des seins de la Marceau avaient alors fort troublé l'ado que j'étais. Pas certain que le tout vaille ses 140 € (surtout à l'époque d'internet)...

C'est, certes, très sympa, bien mené, bourrin et tout et tout, mais je suis assez d'accord avec mes petits camarades qui y voient un objet avec le cul entre deux chaises (si tant est qu'un objet puisse avoir un cul). Ca m'a (un peu) fait penser aux "Indestructibles" ou "Hancock" qui commençaient eux aussi comme une parodie/analyse/recul critique du genre avant de s'y vautrer en fait complaisamment (ce qui n'est pas en soi une critique. Mais reste peu cohérent par rapport aux intentions annoncées). C'est dire à quel point on est loin des "Watchmen" (la bédé, je précise, pas le truc moche et inutile de Snyder) ou d'"Incassable"...