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Tout ce qui a été posté par Postscriptom

  1. Nouvel OP FRISSON dispo avec la critique de GRAVITY, et quelques autres... http://yannickdahan.kazeo.com/ope-frisson-saison-11/operation-frisson-saison-11-episode-2,a3863530.html#comments
  2. La critique sur CaptureMag http://www.capturemag.net/etat-critique/le-grand-jeu/
  3. Oui très beau film, Kasso qui était dans le jury a dit que le palmarès était quasiment fait quand ils l'ont vu vers la fin du festival, et pas mal de jurés avaient des enfants assez jeunes, ce qu'il fait qu'ils ont changé d'avis au dernier moment pour la palme d'or, ah, ah... Cela dit je préfère largement son premier sketch de JOURNAL INTIME, puisque c'est la plus belle adaptation de GTA jamais vue : un type dans une ville qui se balade sur son scooter, caméra derrière lui, au son de musiques pop, errant comme dans un sandbox là où ses pensées le mènent ("j'ai lu un article, on m'a parlé de..."), visitant les banlieues huppées ou la cité du coin, le tout enrobé de panoramiques superbes sur les façades de la ville, le cinéma américain violent est même cité (HENRY) sans oublier la star culte et has-been qui fait un caméo anthologique et hilarant, bref ENORME
  4. J'ai son CV aussi, il a bien bossé quand même, fait de super études et revient de loin (premier stage chez AB Productions ) http://www.auraetfilmtalents.com/files/CV%20Yannick%20DAHAN_v2.pdf
  5. Yannick Dahan est de retour dans OP FRISSON et il donne son avis sur PAIN & GAIN (comme prévu il est totalement d'accord avec moi) ainsi que sur RIDDICK (aïe) et FURIOUS 6, ainsi que sur... GTA 5, énorme http://yannickdahan.kazeo.com/ope-frisson-saison-11/ope-frisson-saison-11,r1908760.html Et un bonus pour les fans de Dahan qui veulent visiter sa baraque et voir sa collec' de vieux jeux
  6. Postscriptom

    The Killer - John Woo - 1989

    Mon dernier machinima GTA 4, un petit hommage perso à THE KILLER, avec une BO très années 80, mais je pense que ça fonctionne, ah, ah...
  7. C'est clair qu'ils ont oublié le scénar' au milieu, ou plutôt repompé celui de PITCH BLACK, dommage même si ça reste sympa, mais ça n'apporte strictement rien à la série, la mise en en scène est la même qu'il y a dix ans avec d'autant moins d'impact qu'on connaît déjà le perso par coeur et donc plus guère de surprise, que ce soit dans les punchlines ou les apparitions surprises (j'avais deviné celle assis au dessus du vaisseau ), mais bon quand on aime le bonhomme ça passe, et le réal', qui revient bien quand même après son nanar sur l'île dont j'ai oublié le nom (à voir après RIDDICK pour bien se fendre la gueule ) dont un des héros était un scénariste génial brisé par Hollywood, je me demande à qui il pensait ?...
  8. En voulant mettre en ligne mon dernier machinima, hommage au magnifique POINT LIMITE ZERO et aux films de caisses des seventies, j'apprends à l'instant la mort de Richard Sarafian, la poisse, RIP à ce grand monsieur http://cinema.nouvelobs.com/articles/27671-deces-de-richard-sarafian-le-realisateur-de-point-limite-zero
  9. je crois que c'est la musique qui était utilisée dans la série originale...
  10. Virginie et Atmen Kelif étaient dans TPMP à l'instant, autant lui a essayé de (sur)vendre le film, autant elle était complètement éteinte et n'en avait rien à foutre, j'ai cru qu'elle allait s'endormir à un moment...
  11. Beaucoup aimé aussi, pour les thèmes abordés et l'ambiance générale bien sûr, mais évidemment aussi et surtout pour la mise en scène excellente, c'est vraiment super bien rythmé (y compris la première demi-heure avant le début de l'action, aussi bien les dialogues que le jeu survolté de Simon Pegg), et ensuite les scènes de bagarre décoiffent, plein de gags pendant les bastons, on voit que les acteurs se sont bien préparés (petits plan-séquences discrets mais très bien faits), c'est vraiment excellent ce n'est pas parce que c'est une comédie douce-amère qu'on ne va pas soigner les chorés et le visuel (les "robots" hilarants), sans compter la fin qui élargit le propos (et le magnifique dernier plan, un manifeste à lui tout seul), bref excellent et pour moi le meilleur de la trilogie
  12. Mais il n'a pas déjà traité le sujet ?... http://www.youtube.com/watch?v=WadliikvEwA
  13. En cherchant un peu j'ai trouvé une nouvelle vidéo pour TYG 2, qualité moyenne mais on se rend mieux compte du niveau, putain il a encore perdu son éléphant mais ça va déchirer
  14. Pour Mouloud ben c'est le meilleur pote de Leterrier
  15. Ben FARGO en flashy c'est ARIZONA JUNIOR (même histoire vraie d'enlèvement par des bouseux idiots qui veulent vivre le rêve américain)...
  16. Oui sympa, une sorte de best-of du genre avec une mise en scène très convaincante, dommage que ça vire au grand-guignol sur la fin...
  17. Ouais trop drôle cette scène c'est une reprise intégrale de l'ouverture de MISTER DYNAMITE / ARMOR OF GOD de Jackie Chan quand il débarque chez les sauvages, pique un objet, se fait courser en s'enfuyant à bord de son engin volant avant d'être vénéré comme un dieu, ah, ah Sinon le film se laisse voir mais le scénar est un peu bizarre (rien compris à cette histoire de gens congelés...), le 1 est largement au-dessus...
  18. Ca y est il l'a fait, et ses éternels admirateurs vont en être tout tristes, car on peut l'affirmer sans risque, MB est maintenant un Auteur (notez la majuscule), car oui il l'a fait, avec PAIN & GAIN il prouve qu'il a des choses à dire (si) et qu'il peut filmer autre chose que de l'action ou des robots (un des moteurs du projet n'en doutons pas), mais sans se renier pour autant, car en injectant du fonds à un projet a priori débile (l'histoire vraie de trois culturistes kidnappeurs), il réalise un pur film sur la nature humaine, sur nous quoi, car au travers de la connerie monstrueuse de ses trois protagonistes, et pas seulement (tout le casting est débile à bouffer du foin, hormis Ed Harris bien sûr qui fait contrepoids) il nous montre que l'homme est gouverné par ses pulsions et ses rêves qui l'entraînent toujours vers le pire s'il n'y prend garde et renonce à quelques valeurs morales de base, et quelle meilleure époque que le Miami des années 90 pour cela, Bay faisant son coming-out au passage, car oui personne ne s'en doutait (comment si ? ) mais c'est un gros bourrin débile, ah, ah, qui, aidé par un scénario remarquablement écrit, va cependant prouver au monde entier qu'il a quand même une totale conscience de ce qu'il est (de ses erreurs ?) en allant toujours plus loin dans l'introspection et l'impensable (scène hallucinante où il rajoute un carton "ceci est toujours une histoire vraie" alors que The Rock fait griller des mains au barbecue en draguant une bimbo !), nous prouvant à sa façon son implication totale dans le film, grâce à sa mise en scène bien sûr, remarquable de rythme et de maîtrise, discrète et élégante (sans compter les acteurs superbement dirigés) et son besoin urgent d'enfin dire quelque chose d'essentiel et de définitif : nous sommes des êtres humains et on vous emmerde ! Bref si c'était les frères Coen qui avait commis PAIN & GAIN tout le monde crierait au génie mais là c'est Michael Bay, il faudra donc un peu de temps pour une vraie reconnaissance, mais tant pis c'est pas grave ça viendra tôt ou tard, et allez le voir au ciné, vous allez vous fendre la gueule comme jamais, moi j'y retourne fin août
  19. Vu, et comme je l'avais pressenti plus haut c'est DISTRICT 9 avec plus de moyens, une vraie star au générique (le héros de D9 revient quand même jouer le méchant, il est excellent ) et un scénar' qui est quasiment le même (sauf qu'à la fin il monte sur le "halo" ), attention cependant c'est aussi sa plus grosse qualité, c'est super rythmé, bien filmé (toujours ce style réaliste mais affiné), l'univers est cohérent, bref un gros panar à la vision mais on renvient toujours à cette impression de déjà vu, et en plus c'est moins émouvant (le plan final de D9 était insurpassable), donc à vous de voir, mais j'aime beaucoup quand même...
  20. Un film très étrange mais jouissif forcément, depuis que Verbinski, après s'être libéré des contraintes techniques d'un tournage en live, s'est (re)découvert lui-même sur son magnifique RANGO (dont LONE RANGER est une sorte de suite thématique-remake, voir l'ouverture similaire des deux films), et décide pour fêter ça de refaire le même coup en live avec le but assumé de rendre hommage au cinéma et donc de revenir à celui des origines (cf. les vitres du train assimilées à de la pellicule avec les bisons qui se reflètent dedans, LE plan révélateur de tout le projet) avec plus (ou peu) de numérique, une croyance absolue dans le plan comme vecteur de sens (très peu de déchet sur 2H30), dans le mouvement (d'un train comme par hasard, dont la dernière scène renvoie au meilleur du cinéma muet) et dans l'histoire qu'il raconte, évidemment ici celle de la fondation des Etats-Unis qui en prennent plein la gueule (véritable cause de son échec cuisant ?...), bref surtout pour nous spectateurs l'occasion rare de (re)découvrir un homme dont on pensait avoir fait le tour et qui croît désormais totalement en son art, conscient de ses droits d'amuseur mais aussi de ses devoirs de cinéaste, car on ne s'y trompe plus, quelque chose a changé depuis RANGO (perso je l'avais vu ) et ce LONE RANGER vient confirmer, malgré ses quelques défauts, que beaucoup d'autres surprises sont à venir...
  21. http://www.chronicart.com/#!Article/Entree/Categorie/cinema/Id/lone_ranger__naissance_d%E2%80%99un_heros-12615.sls
  22. A noter que le dernier Ronny Yu, SAVING GENERAL YANG, est une sorte de variation sur le même thême, et forcément un film sympathique vu qu'il ressemble également à un Chang Cheh de la grande époque (période David Chiang - Ti Lung), une suite quasi non-stop d'affrontements sanglants et baroques, réalistes ou stylisés, mettant en scène la fameuse famille Yang avec ce général et ses sept fils trahis par l'empereur et obligés de se battre à un contre cent pour survivre (une sorte de 300 asiat quoi), thème donc déjà illustré par Liu Chia-Liang dans EIGHT DIAGRAM POLE FIGHTER, sauf que la fameuse bataille chez Liu est dans le générique de début (avant de revenir à ses thèmes favoris) et que chez Yu elle est étendue sur tout le film et constitue son seul et unique enjeu, une suite d'affrontements épiques qui valent largement le visionnage car le père Ronny est toujours en forme niveau mise en scène (sans oublier la superbe photo), même s'il a le défaut récurrent des films de Hong-Kong de l'époque, un scénario un peu schématique et un film bien trop court pour développer tous les personnages, qui se ressemblent tous en plus, bref un film très "chinois" dans l'esprit, naïf et coloré, extrême dans sa dramaturgie et qui donc ne plaira pas à tout le monde, mais si vous aimez la Shaw c'est énorme, moi j'adore, en plus on peut le voir comme une sorte d'hommage à Liu Chia-Liang et au regretté Fu Sheng (décédé pendant le tournage de EIGHT DIAGRAM...)
  23. Pas glauque du tout mais plutôt sympa...
  24. Ca sert à quoi, quand on voit comment ils ont fait de Chris Evans un gringalet dans CAPTAIN AMERICA ils auraient pu lui rajouter quelques muscles...
  25. Douze minutes du film en HD pour ceux que ça intéresse... http://www.youtube.com/watch?v=UMTvAtoDD6o
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