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Jeremie

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Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. Jeremie

    Immortals - Tarsem Singh - 2011

    Vu cet aprem (avec une 3D sympa) et ça encule 300 à sec. Voilà voilà...
  2. James fait parti d'une famille dont les hommes sont tous frappés par un don particulièrement...gênant. Le sien est sans doute le plus terrible : lorsqu'il est frappé ou contrarié, tout ce qui environne le petit James meurt. Terrifié par ses "massacres involontaires", il finit par vivre en ermite au fond des bois. Jusqu'au jour où une jolie cancéreuse vient à sa rencontre... Toujours en terre Irlandaise, Agnes Merlet compose un joli conte, sorte de croisée entre Twilight et Restless...si on veut. C'est evidemment moins fin que le Van Sant dans la symbolique poétique, mais toujours mieux que les tentations à deux balles de la Meyer. A la croisée d'un réalisme ténébreux voire douloureux (la scène dans les vestiaires de l'orphelinat est quand même ) et de la magie romantique, c'est joliment fait et assez bien joué pour emporter l'adhésion. Une belle curiosité.
  3. Jeremie

    The Wall - Alan Parker - 1982

    Ah moi j'adore Un gigantesque clip torturé sur les méandres d'une âme brisée, de l'enfance et sa vision de l'éducation à la Metropolis, jusqu'à la vie débauchée de l'artiste. Les scènes d'animation avec les dessins de Gerald Scralfe (voire ma signature ) sont et je trouve ça toujours aussi fou vision après vision. Vivement un blu-ray
  4. Oui Y'a un ptit côté John Carpenter meet New Wave qui fonctionne très bien SPWpuNzPGhA
  5. Jeremie

    Mirror Mirror- Tarsem Singh (2012)

    Alors déjà pour du Singh c'est pas très beau, mais en plus un one-woman show Julia Roberts, je suis plus que sceptique Bon, on verra bien mais là...
  6. Bon ben ça avait tout du et en fait j'ai pas du tout aimé Y'a une esthétique irréprochable et une histoire déviante à la clef, mais toutes deux ne sont jamais réellement transcendées : ça se regarde, de manière quasi antipathique, les émotions filent toutes. Agaçant. Le film intrigue plus dans ses sous-intrigues que dans le coeur même de son récit (la prostitution sous sédatif) sauf que le film enquille les scènes gratuites : quelle est cette relation qu'entretient Lucy avec ce junkie ? Elle passe la nuit avec son collège, et après ? Pourquoi un documentaire sur les rongeurs ? Pourquoi ces scènes dans le laboratoire (et on lui fait quoi au juste ?) ? A côté de ça, le film ne va pas bien loin dans la perversion, même si il y a bien une scène un brin gênante avec un vieux dégueulasse. C'est très abscons, jusque dans ses dernières minutes Il reste Emily Browning (qu'on voit SOUS TOUTES LES COUTURES, avis à la population donc), belle et talentueuse (c'est sûr que c'est pas Sucker Punch qui allait favoriser ses talents d'actrice). Bref, c'était pas bien.
  7. Je m'en souviens plus...mais c'était bien
  8. Le blu-ray est à un point près : la piste italienne n'est pas en DTS, donc il faudra se taper la version U.S avec une fille qui double le petit Sacchetti Sinon ben...j'ai pas trouvé ça très bon à la revoyure Je pensais déjà depuis longtemps que c'était le moins bon de la tétralogie, mais là je confirme et je signe. J'ai pas l'impression que Fulci soit totalement passionné par son sujet : l'histoire n'étant pas déjà son fort, ici on s'en bat littéralement les burnes, sans parle que techniquement, c'est clairement le moins audacieux du lot. MacColl craque trop vite, le gamin est une infamie, les yeux en plastoc de la cave brillent dans le noir, le zombie est craignos...c'est pas la joie. Les meurtres très gores (très joli geyser de sang au ralenti !) et la belle fin mélancolique sauvent un peu la mise, avec le score synthé aussi malsain que vieillot. Quand à la scène de la chauve-souris, elle m'a paru encore plus infâme qu'à l'époque Le début de la fin pour moi quand même...
  9. M'ENFIIIIIIIIIIIN viewtopic.php?f=36&t=17373&p=225630&hilit=michael#p225630
  10. Un vieux garçon cache une pièce blindée dans sa cave, où il séquestre un petit garçon depuis un temps incertain. Elève d'Haneke, Schleinzer suit la voie des Lantimos et autres Seidl, c'est à dire filmer une histoire de sordide de la manière la plus clinique, et la plus froide possible. Moins adepte de la violence frontale, mais tout aussi malsain, Michael aurait pu s’abstenir de durer plus d'une demie-heure : les plans fixes qui n'en finissent pas, les décors blancs...bref, on connaît déjà la recette. L'humour noir y fait quelques percées mais Schleinzer semble plus concerné par le moins intéressant (scène de bureau ou vacances au ski qui ne servent à rien dans le récit). Vain. P.S : ça alors, à peine je vois Berlin Undead/Rammbock que je retombe sur le même acteur moche, ici en pédophile cintré
  11. C'est vrai que l'acteur principal est vraiment moche m'enfin bon bref C'est bien oui. Pas très beau en effet, mais ça va à l'essentiel dès le début, et le point de vue de vue a le mérite d'être original (on frôle même le "film de fenêtre", ce qui est une nouveauté en soi). Et une belle fin romantique, ce qui, vu la nationalité du film, coule de source.
  12. Jeremie

    Fantasia 2000 - Hendel Butoy - 1999

    J'avais beaucoup aimé : très joli, très bien rythmé. Maintenant, j'avoue que mes souvenirs sont vraiment très flous...
  13. Après l'estomaquant Hunger, voilà que le second film de Steve McQueen se voit classé NC-17 au Etats-Unis. Il raconte les déboires d'un sex-addict, qui se retrouve épaulé par sa jeune soeur. XtaLsdv8ukc
  14. Vu les records d'audience aux States, la série sera reconduite pour une seconde saison Sympa l'épisode d'Halloween, avec Zachary "Silar" Quinto qui joue de son coming-out récent et comme d'hab, deux mille rebondissements toutes les dix minutes
  15. Le Twin Peaks Danois...si on veut. Un hôpital de Copenhague est victime de phénomènes étranges que seule une médium, Madame Drusse, semble percevoir. De jours en jours, les situations les plus incongrues se déchainent, entre rire et effroi... Une série inachevée (deux saisons composées de quatre épisodes chacune) et donc forcément frustrante, la conclusion étant pas loin du pétard mouillé. En l'état Lars Von trier signe un objet assez unique, encore habité par ses techniques dogmesques (teinte sépia, filmage à l'arraché) et des ruptures de tons qui ne cessent d'augmenter au fil des épisodes. La scène de comédie la plus débile qui soit succède à des fulgurances horrifiques très surprenantes. Petite mention pour la saison 2, plus drôle et plus flippante, plus émouvante même (les rapports entre une infirmière et son fils difforme). Bien entendu, l'afflu de grotesque lasse un peu (certains sous-intrigues, comme celle du médecin dépressif, sont clairement de trop) et les longueurs sont nombreuses : mais la galerie de personnage vaut le détour, de cette étudiante terrorisée par la moindre goutte de sang qui se repait de films d'horreur en passant par un odieux Suédois bougonnant dans son goitre et passant son temps à monologuer au dessus des chiottes. Et le double rôle d'Udo Kier , fallait y penser Comme d'hab chez Trier, une expérience aussi énervante que fascinante.
  16. Comme ça sort chez Arrow, il devrait y avoir plusieurs jaquettes de toutes façons. Enfin, j'espère pour eux
  17. Comme quoi, le cinéma français sait surprendre ces derniers temps... Téhéran, fin des années 50 : un violoniste virtuose, Nassan Ali, voit son épouse excédée lui briser son instrument fétiche. Ne retrouvant plus le plaisir de jouer, quelque soit la qualité du violon qu'il tient entre ses mains, il décide de se laisser mourir... Les dessinateurs/réalisateurs sont décidément en vogue, et force est de constater que les résultats détonnent pas mal : pourtant Poulet aux Prunes n'a pourtant rien de bien original à la base, sorte de mélo coulé dans un moule fantasmagorique à la manière des contes, comme Jeunet l'a déjà fait autrefois. Pourtant, le but est atteint : c'est vraiment très beau (trompe-l'oeil, carton-pâte, animation...), drôlement bien rythmé, le tout servi par un bon équilibre dans le tragi-comique. Quelques réserves sur le double-rôle de Djamel (en magicien puis en sage mystique : vous y croyez vous ?) : par contre Edouard Baer dans le rôle de l'ange de la mort, c'est quelque chose Très joli film donc, et assez désespéré si vous avez la larme à l'oeil : perso, ça m'a foutu un cafard absolu
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