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Jeremie

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Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. je vais aller le voir Ghost Rider s'envole sur un aspirateur ? Non non, il est sur sa moto...mais c'est tout comme
  2. Ben en fait ça m'importe peu si un plagiat ou pas, en fait je suis très client de ce genre de truc en général...sauf que là on dirait vraiment un dérivé du pauvre...à quelques semaines de la sortie dvd du film de Delpy d'ailleurs Donc en fait hasard ou pas, ça semble juste faire pâle figure, et c'est dommage
  3. J'hallucine totalement Quelques mois après Le Skylab, Lelouche nous sort EXACTEMENT le même film : même époque, même filtres, même décor (la Bretagne), même scénario pretexte (ou presque). Je Ce qui est drôle au vue de la bande-annonce, c'est que le film servira sans doute de contre-exemple au film de Delpy en se tapant tous les pièges qu'elle a évité - Nostalgie assénée à coups de truelle (genre pub Herta) - Casting miteux (d'où surgit...Vanessa Demouy ) - Des scènes cocasses qui font pas rire Je sais que juger à l'avenant c'est un peu naze mais bon, ça donne vraiment pas envie du tout quand même VeRZ9Axh_do
  4. Jamais vu le premier, pas envie du tout. Vu le boulot des deux foufous et certains images de la b.a (et que j'avais rien à branler), ben j'ai foncé A titre de comparaison, j'ai trouvé ça un poil mieux que Drive Angry : Neveldine & Taylor ont une ambition visuelle tout à fait autre, et les apparitions du Rider claquent bien. Après bon, on sent quand même que le studio les a bien calmé : le topo sur les émissaires du diable donne lieu à quelques pics assez jouissifs Il n'empêche que bon, y'a un sérieux coup de mou au milieu malgré un filmage à l’adrénaline flagrant, et Ciarán Hinds m'a gonflé avec sa tronche de compote moisie. Quant au côté gosse = famille recomposé/instinct paternel, merci ça va on a compris (même si la scène dans le snack appuye bien le fait que N&T s'en foutent complétement ). Y'a quelques trucs assez moches (les interventions du Putrificator ça va pas non ???), Totof est sous-exploité à mort et puis Cage fait du Cage : prévoir donc une scène de cabotinage sous coke face à un figurant avec un portable dans la bouche, suivi d'une scène à la Gisele Kerozene complétement Bref, j'aurais préféré ça plus fun, mais ça se laisse voir quand même. Pas vu en 3D, mais le film a l'air de s'éclater sur les effets et la profondeur de champ.
  5. Jeremie

    The Innkeepers - Ti West - 2011

    Ben perso j'ai bien accroché : c'est même un cran au dessus de House of the Devil, carremment mieux filmé, plus attachant aussi. Mais le trip n'est pas le même... Pour citer un film de maison hantée récent, ben je l'ai largement préféré à Insidious qui me décevait à piquer à tous les râteliers et à multiplier les jumpscares. West sait dérouler son ambiance, ses perso sont attachants, l'histoire est classique mais vraiment séduisante. Et puis bon putain, la scène dans le sous-sol
  6. Eh ! viewtopic.php?f=36&t=12065&p=126716&hilit=secte#p126716 Faisant parti de mon corpus de mémoire l'an passé, je me le suis quand même bien retapé après coup c'est toujours très riche visuellement et pleins d'idées folles, mais assez chiant en effet (surtout pour les visions suivantes en fait). Mais c'est beaucoup plus maîtrisé que The Church...et bien mieux que les pires Argento et même que tout ce qui ce faisait à l'époque Sinon là encore, un film qui mériterait un support digne de ce nom (VF atroce, copie sombre, tout le tatoin...).
  7. Alors qu'une tornade gronde au loin, un groupe d'amis est pris en otages par trois frères venant de foirer leur braquage. Vont se joindre à eux leur jeune soeur et leur mère, une matriarche sachant faire régner l'ordre et la discipline selon ses principes. Nuit d'horreur... Je l'avais loupé à Gerardmer, j'ai rattrapé ma séance, et j'ai bien fais j'avoue ! On obtient le même résultat que le remake de La dernière maison sur la gauche (voire que La colline a des yeux), à savoir un vrai remake qui ne tente plus de singer son prédécesseur mais d'offrir une véritable variante du spitch d'origine (une famille de dingo dirigée par une Bloody Mama) : d'ailleurs là où le premier était un survival trashouille, on est ici en plein invasion-home movie. Bousman signe et persiste dans la violence qui fait mal (sans que ce soit gratuit dans le cas présent), et le film ne souffre d'aucun temps mort du haut de ses presque deux heures !! Le comble, c'est aussi la résurrection d'une Rebecca de Mornay qu'on ne pensait pas aussi sèche et explosive. Franchement, le claquage de beignet est pas loin Dommage cependant (?) que . Mais bon, il faut reconnaître le virage assez malicieux voulu par Bousman (et la nouvelle conclusion, toute aussi nihiliste).
  8. Tiens, c'est moi qui l'ai fait circuler cette copie je crois En effet c'est vraiment bon, entre McDowell qui se croit encore dans Orange Mécanique et un récit qui était mené sans temps mort dans mes souvenirs. C'est vrai qu'une rédécouverte dans un meilleur format s'impose...
  9. Jeremie

    Inferno - Dario Argento - 1979

    Oui alors, je te suis pas du tout Argento c'est l'art de la mise à mort ! A la limite, c'est plutôt les meurtres d'Inferno qui sont un poil foireux (les chats, mon dieu ).
  10. Jeremie

    Inferno - Dario Argento - 1979

    Les dialogues et le jeu des acteurs sont quand même beaucoup moins médiocres dans Suspiria, n'exagérons rien... Non mais là en même temps, t'es en train de dire que si les films d'Argento n'étaient pas beaux, ils seraient ratés. Ben c'est ce qui arrive hein
  11. C'est giga-putassier mais pas con pour autant, c'est là le génie de Verho : cette vision des backstages est d'une noirceur et d'une méchanceté qui fait sans doute parti également de la volée de bois vert qu'il a reçu. Vegas est loin d'être vu sur son meilleur jour... Mon Verhoeven préféré après La chair et le sang, mais je l'ai pas vu tant que ça...sans doute parce qu'il faudrait que je choppes le blu-ray
  12. Jeremie

    Inferno - Dario Argento - 1979

    C'est une manière de boucler la boucle à mon sens (de la même manière que la partie à Rome permet d'introduire la puta madre). Parce que je suis pas sûr qu'Argento était prêt à se relancer pour un troisième film à l'époque (enfin, pas sûr)... Bon en même temps, c'est pas comme si le cinéma d'Argento était cohérent
  13. dnGcP-qw1jE Un peu emmerdé par contre par le cd de la b.o où il manque deux musiques, dont celle du teaser ci-dessus. Impossible de savoir ce que c'est Je jette une bouteille à la mer, mais on sait jamais...
  14. Jeremie

    Inferno - Dario Argento - 1979

    Oui oui, on le comprends bien dans Mother of Tears : tout le pouvoir que les mères détiennent sur les animaux et les humains... C'est pas illogique, mais fallait saisir à l'époque
  15. Jeremie

    Inferno - Dario Argento - 1979

    Oh ben si quand même. Rien que les couleurs Je l'ai revu une deuxième fois sur le splendide blu-ray de Blue Underground et je me suis surpris à avoir un putain de fou-rire lorsque le cuisto se tape un sprint pour défoncer la gueule du libraire la fatigue devait jouer, mais je crois que l'illogisme totale de la scène m'a éclaté en pleine gueule Sinon c'est toujours aussi bien quand même...
  16. Il me semble que c'est moi qui te l'ai refilé, chais plus Sinon oui, c'est très très bon : une espèce de récit à la Kafka/Polanski à la sauce Cartoon. Et le clodo est bien flippant comme il faut...
  17. Un marquis recueille les faux jumeaux d'une prostituée et maîtresse, promise à son garde du corps. Il garde le garçon à ses côtés et chasse la mère et sa fille. Quelques années plus tard, le marquis retrouve sa jeune fille, reprenant le flambeau de sa mère... C'est le seul film de la collection Nikkatsu de Mondo Macabro à être sorti en France, et c'est loin d'être le meilleur aussi... Je suis très surpris de sa bonne réputation, sans doute dû à un récit torturé et engagé (arrière fond politique brûlant, tragédie incestueuse...) mais putain, qu'est ce c'est barbant Le pire c'est que les scènes érotiques, auquel Sone s’intéresse assez peu il faut croire, sont systématiquement gâchées par des caches gigantesques... Au délà d'une scène super gore et un peu gratos, j'étais vraiment ailleurs de bout en bout...
  18. Découvert dans la collection Wild Side, dont les prix vont être sans doute de plus en plus sacrifiés vu l'arrêt de la série... Je l'ai vu après Devil in Miss Jones et c'est clair que c'est autre chose Atmosphère estivale, des pépées de partout, des mecs qui en veulent...le tout à la lisière de deux décennies, super décontracté et joli comme tout (le générique de début est écrit sur le corps d'une actrice : classe ). Après bon, y'a beau avoir une femme à la barre, le soin apporté à l'ensemble (une scène de triolisme sur un coucher de soleil) et une envie de diversifier (une très longue scène SM) n'empêche pas que c'est assez chiant et longuet, malgré une dernière partie où tout le monde roule des joints et délire sec. On a droit à un dressage de "lionnes" et une bite géante faisant office de fontaine de sperme. Plutôt sympa Le casting féminin est inégal (la rousse avec ses gros seins qui pendent, c'est pas trop ça), l'histoire est ultra-pretexte (forcément ) : on va dire que ça reste du bon boulot pour un porno de consommation régulière de l'époque. Maintenant bon, y'a mieux sans aucun doute...
  19. C'est ça La pochette du livre LE BON GOÛT DE LA FRANCE !
  20. Manu mène une vie minable dans sa cité. Nadine mène une vie minable dans son appart, prostituée de son état. L'une, après un viol, tue son compagnon. L'autre se débarrasse de sa colloc trop gonflante. Elles ne sont pas cherchées, mais se trouvent, partant toutes deux dans une cavale meurtrière. Le fameux donc. Vu juste après avoir lu le bouquin, petit bloc de provocation outrancière qui se lit comme un rien, assez déprimant en fait dans la description d'une France pourrie et gangrenée. Mais n'est pas Noé qui veut, dont le Seul contre Tous est projeté durant une scène du film. C'est tourné comme un porno : DV, hardeuses (et hardeurs), zik pourrie fournie. Difficile de dire si le livre, pas bien finaud, méritait mieux. Le résultat final, plutôt Z sans être drôle, finit par rendre un peu plus bête et méchant cette ballade sauvage. Le tout est très fidèle, des dialogues aux situations : sauf quand Despentes remplace le massacre d'une boulangerie (qui comprenait le headshot d'un gosse de cinq ans) par celui d'une boite à partouze. Plus prudent. Pas plus utile.
  21. Jeremie

    The Wolfman - Joe Johnston (2010)

    De toutes façons, le meilleur c'est La compagnie des loups (et je le pense sincèrement ).
  22. Jeremie

    Lana Del Rey

    Son live à l'album de la semaine est quand même bien plus concluant, ça rassure un peu Avec la sortie de l'album (qui sans surprises, est très bien) et le faux scandale comme quoi mademoiselle ne voulait plus faire de promo en France, ça s'arrange pas : c'est tout aussi tendance de l'adorer que de l'a détester, pas trop de juste milieu
  23. Jeremie

    Gérardmer 2012

    Hell a été tourné sur l'île ? Putain, je l'ai loupé Bon ben sinon, un festival en demi-teinte : on sent encore plus la crise budgétaire et la compet visait plus les effusions de larmes que de sang. Et Babycall en grand prix, putain la honte Twixt : Coppola fait son Twin Peaks. C'est pas très beau, mou comme le bide de Val Kilmer, et assez maladroit. On sait pas trop ce qui lui a pris quand même... Beast : Un Possession-like en plus soft, plus retenu, plus symbolique, plus abstrait...en fait, je crois pas avoir tout compris, même avec le recul The Day : Un spin-off sans le vouloir (?) de La route...en low budget. J'avoue que ce fut la première surprise du festival : c'est méchant, musclé, hyper tendu, pas commode. Et puis bon les dernières images sont hyper gonflées On est pas loin du claquage pour ma part... La maison des ombres : un très belle ghost-story, très classique, mais mené admirablement de bout en bout. Un petit bijou de beauté dépressive. Pastorela : On est pas très loin d'Iglesia en moins méchant. C'est assez bien mené et plutôt drôle, ce qui est déjà pas mal. The Incident : Mon claquage de beignet ! Et c'est français C'est bien filmé, c'est méchant, c'est flippant, carré, solide...je l'ai pas vu venir. Norwegian Ninja : On voit les intentions, sauf que c'est inssuportable de bout en bout. Mou du cul, incompréhensible, effarant de non drôlerie. Punition. Eva : Ben j'ai beaucoup aimé c'est encore du mélo (assez noir quand même) à l'ibérique, matiné de SF cette fois. C'est chargé, mais c'est beau, attachant, bien plombant comme il faut. J'adhère The Theatre Bizarre : Un petit claquage...mais pas de surprise dans un sens. Qualité égal, des images folles, malsaines, un budget serré mais bien servi. C'est du très très bon ! The cat : nul à chier, mièvre, long, chiant. Une torture. Et pourtant, j'aime les chats. C'est que des branleurs de toutes façons. The Moth Diaries : Carmilla à la sauce Twilight. Je vote pour Lily Cole, sinon on s'en fout. Chronicle : ça dégage bien. Promesses tenues, scènes dantesques. Le found footage qu'il le faut. Babycall : Dark Water à la Norvegienne, sans eaux. Ah si un peu. Bref, on s'en branle.
  24. Non non, ça correspond au premier tome
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