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Jeremie

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Tout ce qui a été posté par Jeremie

  1. Putain il se passe toujours pas grand chose, même si c'est toujours passionnant à regarder (c'est ultra paradoxal ce que je viens de dire, je sais ). Mais les derniers plans redonnent du poil de la bête
  2. Jeremie

    Philibert - Sylvain Fusée - 2011

    C'est vrai qu'il y a pire...disons que pour le coup, ça se laisse regarder...et puis C'EST BEAU ! Tout comme les OSS 17, sur lequel le film est plus ou moins calqué dans la démarche, les couleurs pètent et ça fait "joli toc". Avec en prime, un générique de fin en tapisserie Par contre ben...malgré un ou deux gags, c'est quand même pas franchement drôle C'est même limite un exploit dans la non drôlerie... Dommage, y'avait le potentiel quand même.
  3. J'avais très bien cerné l'univers de Bukowski mais je ne l'avais jamais lu C'est chose faite, j'ai dévoré ça en deux petits jours. Les trois premières histoires m'ont totalement soufflé, le reste m'ayant paru parfois confus (tout le côté autobiographique) ou moins intéressant par instant. Mais bon un bon claquage de beignet quand même...
  4. Vu la note et les captures sur blu-ray.com, il a l'air niquel ! http://www.blu-ray.com/movies/Manhattan-Blu-ray/34413/
  5. A l'annonce du dernier Allen, je me suis quand même rendu compte de ma lacune totale face à la filmographie du bonhomme. Donc hop, ni une ni deux, j'ai jeté d'abord mon dévolu sur ce Manhattan fort réputé... Et en effet, au delà des bavardages incessants (mais passionnants), Manhattan est un vrai poème visuel, avec un NY sublimé dans un noir et blanc de folie. Pour ce qui est du reste, c'est une très jolie comédie de moeurs, mention spécial au personnage de Mariel Hemingway, particulièrement touchant (dur dur cette scène où Isaac doit lui briser le coeur ). Vraiment conquis en ce qui me concerne... J'ai été aussi agréablement surpris par la manière dont le couple lesbien de Meryl Streep est imbriqué naturellement dans le récit : curieux qu'un tel détail est échappé au très bon documentaire The Celluloid Closet !
  6. Jeremie

    Rec 3 Genesis - Paco Plaza (2012)

    Le film se fait démonter de partout (la comparaison avec Mattei revient souvent ), et je sens que je vais être grave seul sur le coup
  7. J'ai du voir deux/trois la B.A au cinéma et ça me donne un sacré urticaire : un casting que je peux pas blairer, des enjeux bateaux à souhait, des gags pas drôles...c'est même pas Z pour me donner envie de mourir, ça m’énerve juste...
  8. Jeremie

    Rec 3 Genesis - Paco Plaza (2012)

    Ben perso j'ai trouvé ça bien meilleur que le 2, qui faisait assez maladroitement dans le porte-nawak. Non seulement c'est fun et bien rythmé, mais y'a un vrai soin du cadre, du gore qui tâche, des perso sympa et un couple de tourtereaux vraiment touchant. Un très bon divertissement horrifique.
  9. Jeremie

    Cannes 2012

    Bon ben c'était une blague C'est con, car à part pour le Malick, ça semblait tout à fait plausible...
  10. Jeremie

    Bref sur Canal +

    Il a eu une belle côté de popularité en effet Par contre, il fout un peu plus le cafard d'épisodes en épisodes
  11. Eh ben dis dont, ça s'annonce pas joyeux
  12. Premier épisode trop court, j'avais envie de me jeter à l'apparition du générique de fin Et puis même si on est content de retrouver tout le monde (malgré l'absence de Renly), il ne s'y passe rien en fait avec le recul Intéressant nouveau personnage incarné par Carice Van Houten, qui sort un peu de nulle part certes, mais qui rappelle beaucoup son personnage dans Black Death. LA SUITE !
  13. Jeremie

    Cannes 2012

    http://blogdufestivaldecannes.com/2012/04/02/cannes-film-festival/cannes-2012-exclu-liste-des-films-en-competition-blog-du-festival-de-cannes/
  14. Jeremie

    Cannes 2012

    La compet est tombée * Après la bataille, Yousry Nasrhallah * Laurence Anyways, Xavier Dolan * Big House, Matteo Garonne * The Burial, Terence Malick * Mishima, Koji Wakamatsu * No, Pablo Larrain * A liart's autobiography : The true story of Monty Python's Graham Chapman, Bill Jones * Piazza Fontana, Marco Tullio Giordana * Moonrise Kingdom, Wes Anderson * In another country, Hong Sangsoo * Stoker, Parc Chan Wook * The land of hope, Sono Sion * Le grand soir, Gustave Kevern et Benoit Délépine * Gebo et l'ombre, Manuel del Olivieira * De rouille et d'os, Jacques Audiard * Cosmopolis, David Cronenberg * Il est difficile d'être Dieu, Alexei Guerman * Elefante Bianco, Pablo Trapero * Provizoriu, Cristian Mungiu * Main dans la main, Valérie Donzelli * The place beyond the pines, Derek Cianfrance * No, Pablo Larrain * A pigeon sat on a branch reflecting on existence, Roy Anderson * Rhino Season, Bahman Ghobadi * The master, Paul Thomas Anderson
  15. 2 Days in Paris était très bon, celui-ci est...très bon aussi ! Le film ne fait pas trop dans la redite malgré un choc des cultures assez similaire, c'est vraiment très drôle (putain le père de Delpy ) avec la petite pointe de mélancolie qui fait bien. J'ai pas de fascination pour Delpy actrice, mais Delpy réalisatrice, ça le fait grave !
  16. Je l'avais vu assez jeune et j'avais pas du tout aimé. A la revoyure, rien n'a changé C'est simple, je trouve la mise en scène de Ferrara complétement anémique à part la scène où Keitel interpelle les deux filles pour faire son porc, je n'y ai pas vu grand chose. De plus je ne sais pas si ça vient du dvd Wild Side mais je suis pas fondu de la patine du film, limite dtv. Alors bien sûr y'a le geste final (inattendu), l'utilisation de la chanson de Johnny Ace et la scène du viol de la religieuse, que Karim Hussain semble avoir vu en boucle vu qu'on y retrouve l'esthétique de son Subconscious Cruelty J'avais aussi complétement oublié Zoe Lund, qui est le portrait craché de Farmer dans California du même Ferrara
  17. Le lapin de pâques doublé par Jackman
  18. Très bonne ambiance oui, avec son soleil qui crame, ses enfants morts, Barbara Bouchet qui fait sa pute, Florinda Bolkan défoncée à coups de chaîne dans une scène Un grand Fulci qu'il me tarde de revoir dans une bonne copie...
  19. Jeremie

    Bellflower - Evan Glodell (2011)

    Je croyais que c'était un post-nuke, je me suis un peu fourvoyé au final...on a surtout un drame sentimental un peu destroy. Du coup je me pose la question vis à vis de sa place dans un festival comme le PIFF (ou alors j'ai loupé un truc ). Assez convaincu pour ma part malgré la déconvenue (donc je me fiche en fait) : je me doutais pas du virage aussi agressif du film, et d'un regard aussi amer et brûlant (au sens propre) sur l'amour. Love = Apocalypse. Oui, c'est bien résumé Et les tripatouillages visuels de Glodell, bien que très "tendances" (on revient vers une forme d'art brut, lorgnant vers le rétro) donne une vraie identité à l'ensemble. Et si la fin semble ne mener nulle part au premier abord, elle touche au bon endroit avec son optimisme balayé de mélancolie.
  20. Jeremie

    The Awakening - Nick Murphy (2011)

    Après son passage à Gerardmer, le film sortira finalement en DTV chez nous sous le titre de La maison des ombres. Et ça fait bien chier... Bien content de l'avoir vu sur grand écran d'ailleurs, et je le préfère nettement plus à La dame en noir, car délesté par l'objectif de la terreur à tout prix. Perso, avant que le film ne vire au mélo, je trouve qu'il y a quelques passages assez flippants... Et au delà du soin apportée à la mise en scène, j'ai trouvé les personnages (et le casting avec) bien plus intéressant que ce l'on a l'habitude de proposer d'habitude. Surtout que le cadre d'après-guerre a le mérite d’ausculter une Angleterre gangrenée par les événements de 14-18. Un ptit coup de coeur pour ma part.
  21. Je fais un très gros blocage sur ce titre d'Italo Disco 1jWYcWxi-hc
  22. Sophie est engagée par une famille bourgeoise recomposée en tant que bonne. Elle remplit ses tâches efficacement, mais préfère jouer la carte de la discrétion, ce qui ne va pas sans étonner ses employeurs. Elle se lie d'amitié avec une postière délurée. La situation va alors lentement dégénérée... Très bon Chabrol (je me demande si ce n'est pas l'un des rares que j'ai vu en fait ) revu à l'occasion. Je suis stupéfait à quel point les deux heures passent comme un rien : un casting parfait pour une ambiance un poil austère au premier abord, et puis le climat s'envenime doucement jusqu'au point de non retour, évoquant un Funny Games avant l'heure . On pense aussi aux Bonnes de Genet, à l'affaire des Soeurs Papin, délestés de ces atours les plus racoleurs. Fascinant en tout cas.
  23. Le film sort début Avril dans l'Hexagone pour information. Et contrairement à la projo de Gerardmer, l'avant-première à Paris comprenait des scènes en 3D !! Perso ça m'avait pas mal laissé perplexe, tentative maladroite de Twin Peaks baroque avec une esthétique qui brasse le sublime et le moche en un tour de main. De la part du réalisateur de Bram Stoker's Dracula ou d'Apocalypse Now, ça fait un peu mal aux yeux parfois, plus proche parfois du rendu d'un Point & Click Sierra que d'un Tetro. Tout ce qui semble un tant soit peu envoutant tombe souvent à plat, à force de rupture de tons et d'humour...Coppola se veut sincère dans son approche, jusque dans la révélation finale et son propos enfonçant les portes ouvertes . Un objet assez bizarre, limite embarrassant...
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