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chatterie royale

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Tout ce qui a été posté par chatterie royale

  1. quand je dis "groupe qui déboite" ce n'est pas metallica qui me vient en premier à l'esprit mais effectivement fais-toi les 2 tropa de elite, tu verras que, si le robocop risque de perdre en humour, niveau critique acerbe et violente de la société, le père padilha est un choix plus que judicieux (et pour la réalisation et le casting, il n'est pas en reste). après il faudra voir quelle sera sa liberté de manoeuvre.
  2. rends-toi bien compte que les petits jeunots de 12 ans qui découvriront robocop par ce remake se disent exactement la même chose des effets spéciaux de l'original. je pense même que si tu leurs montre la scène de l'ED 209 en stop motion dans l'escalier hors contexte ils poufferont de rire et tweeteront de joie "franhcmen tro xptdr lè nanar roobokopes nan comme mem" sinon j'ai généralement beaucoup d'appréhensions avec les remakes des films que j'ai bien aimé, mais là on parle quand même de jose padilha : c'est un peu comme quand un groupe qui déboite reprend une chanson qui tue. pour la première fois je ressens le frisson de l'enthousiasme. brrr.
  3. un des meilleurs films du monde.
  4. pareil, c'était même mon texte de bac. j'ai eu 7... attendez là. manu chao en épreuve de baccalauréat en espagnol ???
  5. comme beaucoup de monde ici j'ai trouvé ça divertissant, déprimant mais pas transcendant non plus. le relatif manque d'originalité ne m'a pas dérangé. en revanche j'ai eu plus de mal avec les loups qui font un peu n'importe quoi, sont parfois bien moches et deviennent souvent illisibles dans leurs attaques. et puis surtout les dialogues pseudo-philosophiques sont casse-pieds au bout d'un moment. je crois que j'ai préféré Frozen dans un style très proche : plus simple, plus humble, plus efficace.
  6. peut-être parce que la scène de la tronçonneuse de scarface est moins violente que l'introduction d'un chien andalou ?
  7. hier soir toutes les chaines se sont dit "on peut balancer n'importe quelle merde, tout le monde regarde la coupe d'europe sur m6". j'ai donc choisi le combo sexy dance 1&2 parmi celles-ci. sexy dance c'est de la teen comédie-romantique ambiance "dépassement de soi" comme on en a déjà vu 1000 fois. son ancrage viscéral dans son époque lui promet une belle patine ringarde dans une vingtaine d'années. on retiendra à ce titre qu'en 2006 les blancs sortent avec les blancs, les noirs avec les noirs et que la réussite et les honneurs, c'est pour les blancs. sexy dance 2 fait passer son ailleul pour un modèle de rigueur et de sobriété. on note un réel effort sur le clinquant des chorégraphies. il faut préciser à ce propos que celles du précédent opus étaient relativement pauvres en comparaison, son grand final n'arrivant pas à la guetre d'échauffement de l'introduction de celui-ci. ceci dit, je suis complètement hermétique au 6e art et, face à une intrigue d'une mièvrerie sans nom, j'ai capitulé en milieu de course.
  8. je n'ai vu que celui-là et je l'avais tout bonnement détesté je lui reconnais néanmoins son statut d'oeuvre charnière entre l'entertainment du XXe et du XXIe s. et j'ai compris à quel siècle j'appartenais j'ai aussi découvert à sa sortie l'argumentaire à toute épreuve des fans du film : - j'ai pas aimé. - c'est que t'as pas compris. - si, mais j'ai pas aimé. - si tu avais compris, tu aurais aimé.
  9. je n'ai rien vu de très folichon en milieu scolaire, je me souviens toutefois d'une sortie ciné pour voir la Belle et la Bête de Disney : j'étais en CM1 ou CM2, j'écoutais du hard rock et du grunge, je me louais des films d'horreur et j'étais choqué qu'on nous emmène voir un tel truc de pisseuses et morveux. ah l'âge béni de la pré-adolescence...
  10. en toute honnêteté, je ne m'en souviens plus trop, c'était pour sortir un film de gangsters brésilien que tout le monde a vu
  11. 2 lapins, donc. Un jeune branleur de milieu aisé échaffaude un plan (très) alambiqué autour d'un butin de 12 millions de dollars, impliquant de gros caïds, de petites frappes, ses proches, des politiciens véreux, des femmes adultères et j'en passe. ce film est loué par certains comme une révolution au brésil puisqu'il sort des sentiers battus du cinéma local pour jouer dans la cour d'actuels blockbusters internationaux à l'esthétique tapageuse. effectivement, même si le sujet traité est très ancré dans la réalité de sao paulo, on trouve dans ce mélange d'action, romance et comédie une volonté farouche de "faire cool" qui transparait dans chaque plan et nous renvoie au pire de la "patte" Boyle/Ritchie (qui, rappelons-le, aurait des fans ) : sur-découpage, flashbacks et parenthèses narratives régulières, style comic, références geek bien en évidence, imbrications de mini-intrigues, dialogues et postures calculés pour sonner "culte" et puis des musiques tonitruantes et bien rythmées tant qu'à faire. je suis généralement peu client de cette poudre aux yeux et en l'occurence d'autant moins que le budget (env. 1,5M€) n'est pas à la hauteur. d'où une qualité d'image discutable et des cgi moisis par moments. l'affiche me semble assez représentative à ce sujet. en bref, si vous ne fonctionnez pas comme moi et que vous vous demandez comment danny boyle remakerait la Cité de Dieu dans une fin de mois difficile, foncez!
  12. Oui, c'est quand même l'aspect le plus exagéré du film. Je connais plein d'anciens nazis qui sont tout sauf sadiques et tueurs en série. Moi, j'ai envie de dire: il faut réhabiliter les anciens nazis. il me semble que c'est déjà fait pour rabe, schindler, hosenfeld, plagge,... mais bon j'imagine qu'ils devaient quand même avoir aménagé une petite pièce secrète dans leur cave pour se détendre avec des cobayes humains le week-end.
  13. c'est un peu mon sentiment aussi le film est bien à l'image de son clip d'introduction : rien à redire sur la plastique, le rythme de défilement des images arrive à scotcher l'attention du spectateur jusqu'au bout, mais une fois que c'est terminé on se demande bien quel était l'intérêt... je n'ai pas lu les livres mais j'ai trouvé l'accumulation de clichés assez fatigante, entre la causette-gogoth-007 érigée en sex-symbol malgré sa vilaine tête de punk à chien, la famille de riches excentriques se gelant le cul sur leur rocher à se tirer mutuellement la gueule entre voisins et dont on peine à comprendre qui est qui. Sans parler des inévitables anciens nazis qui sont naturellement sadiques, dégénérés et tueurs en série. un autre détail désagréable en vo c'est que les personnages ne font que de marmoner dans leur barbe. éviter d'articuler, ça doit aussi faire partie des clichés d'ambiances "glauques"
  14. chatterie royale

    Vos concerts bis

    bah oui, comme les musiciens gagnent de moins en moins avec les albums (ils aiment bien nous le rappeler, en essuyant leurs larmes avec un carré de soie chanel), ils scient la branche des concerts, c'est logique. ...attendez, non c'est pas logique.
  15. ah ok c'est dommage parce que ma seconde question allait être : "on peut le choper où?"
  16. j'ai rien compris yatta : t'as vu le film ou la bande-annonce ?
  17. je crois que je commence à saturer des "teaser posters" qui consistent à écrire un mot en arial sur fond uni ou dégradé.
  18. celui-ci ne m'a pas laissé grand souvenir, un peu comme alien 3 ceci dit. tout le scénario se résumait à "oh dis donc, encore des naliens! allons vite vers la sortie de secours située à l'autre bout de la base/prison/colonie/labo/vaisseau spatial". on a déjà vu des charles band plus étoffés en la matière. soit jeunet n'a pas pu faire ce qu'il voulait, soit il s'en foutait un peu, mais, comme disait je ne sais plus qui, la mayonnaise ne prend pas.
  19. ah mais il fallait le dire tout de suite que c'était un jeu taïwanais piraté trouvé dans un tripot clandestin tenu par la mafia, ça change tout
  20. sen jin ? sinon tu peux toujours tenter ta chance ici, leur base de données a l'air bien fournie http://www.shmup.com/index.php?page=moteur
  21. j'ai oublié de mentionner l'inévitable bêtisier final à la base, c'est un truc que je n'ai jamais trop compris les bêtisiers : un acteur bafouille ou hésite légèrement en récitant son texte, ça le fait sourire, hop bêtisier! mais là craig moss pousse le concept encore plus loin: un acteur récite son texte de façon à peu près identique à celle du film, hop bêtisier! en gros il a tourné toutes les scènes 5 fois et là il nous montre les rushes équivalents mais non retenus au montage. je crois qu'on touche à la recherche fondamentale au niveau de l'humour, il aura sûrement la médaille fields pour ça.
  22. mais que penserait un spectateur qui n'a vu ni lu aucun épisode de Twilight et ne se serait jamais penché sur le cas de Friedzer/Seltberg? eh bien je peux vous le dire : c'est épouvantable, apocalyptique, d'une nullité si sidérante qu'on n'envisage même pas de faire une pause ou de zapper. j'ai passé toute la comédie sans esquisser une ombre de sourire et totalement pétrifié, bref comme ça : je ne saurai dire si l'histoire vaut quelque chose par rapport à sa source d'inspiration mais elle est très simple : une menace plane sur bella, elle est tellement menaçante que les vampires Cullen s'unissent à leurs ennemis ancestraux les loups (qui ne se transforment jamais en loup soit dit en passant) pour la protéger. face à tant d'attention le coeur de bella balance entre edward et son rival les gags ne sont pas bas du front, ils creusent le fond du trou! pas une ligne de dialogue ne dérive de la scatologie. tous les personnages semblent atteints du syndrome de de la Tourette. dès qu'ils ouvrent le bec, ce n'est que pour parler de baiser ou de chier. Mais le plus souvent les mots sont de trop, ils se contentent de péter (et on nous explique alors lourdement que ça pue, c'est o-bli-ga-toire), montrer leur queue, frapper un autre, se frotter contre lui ou jouir en solitaire, sans raison apparente. il n'y a que très peu de "blagues" pour ainsi dire, le simple fait de montrer un godemichet, de dire "grosse chatte" ou de faire apparaitre un nain dans le cadre étant considéré comme suffisamment drôle en soi. enfin un dernier point qui neutralise les tentatives d'humour (surgras) est l'utilisation permanente d'une musique mélancolique/inquiétante en fond sonore que j'imagine inspirée de twilight : chaque flatulence parait encore plus triste que la précédente! je ne peux pas voir la vidéo d'alfie mais le seule exception à la règle dont je me souvienne (je l'ai vu hier soir...) c'est le gag sur les captchas, une petite bouffée d'air frais au milieu de cet atmosphère viciée. en conclusion de ce carnage ado-primitif qui condense le pire des blagues à toto, on nous explique que l'idée derrière tout ça est que les fans de twilight sont des gros cons et qu'il est question de "salir" leur passion/raison de vivre le plus possible. en soit le concept est louable, mais malheureusement craig moss s'y prend très mal et/ou ne va pas jusqu'au bout. constamment vulgaire, le film n'arrive pourtant jamais à gêner. à force d'être con, il oublie d'être méchant.
  23. gunbird? il y a bien un type sur un nuage, mais c'est plutôt milieu 90
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