riton

Bonne nouvelle, pas cher en plus.

En même temps il écrit "pour moi", ce qui signifie bien la limite de son propos. Et de plus, je suis d'accord avec lui, il n'est pas vraiment discutable que Pixar fournit le cinéma dans ce qu'il a de plus industriel ainsi que la machine à merchandising. Je ne connaissais pas non plus. il existe une compilation de travaux en DVD : http://www.asia-diffusion.com/new/dvd.php?id_dvd=1617

C'est pas impossible.

Après les avis dithyrambiques lus un peu partout, ce fut quand même une bonne déception. C'est sans doute sympa, mais rapidement chiant parce que super creux. Pour moi c'est pas vraiment drôle, pas triste, pas enragé, l'impression qu'on pourrait enlever des bouts ou en rajouter que ça changerait pas grand chose... bref ça bouge beaucoup mais sans effet notable. Moi pas client.

Ca c'est déjà sorti depuis un moment, c'est la trilogie Musashi d'Inagaki.

Ses, hum, "oeuvres d'art" et le tarif qu'il leur applique ne laissent aucun doute là-dessus.

C'est assez édifiant. Ceci dit, il y a de jolies affiches, mais celle de Big Guns est en sale état, surtout pour ce prix.

T'es certain que c'est Gallo derrière ce site ? C'est pas son neveu de 10 ans qui essaie de se faire du blé ? Parce que si c'est vraiment un adulte, soit il est foutrement ridicule, soit il se moque : http://www.vgmerchandise.com/store/home.php?cat=4 Mais si t'es pas riche, tu peux aussi acheter un exemplaire des Inrocks cacedédi par la vedette pour 100$ ici : http://www.vgmerchandise.com/store/home.php?cat=2 La classe américaine, oué !

If anything can go wrong, it will.

Ben oui, mais non. Parce que le réalisme, du moins en art, ce n'est pas la réalité mais la volonté de la représenter fidèlement, parfois en réaction à certains académismes ou conventions. Donc, comme tout film, un documentaire peut être plus ou moins réaliste. Après, on peut discuter de ce que serait un réalisme total, mais Black Cat Bones n'affirme même pas son existence.

Bon, je n'ai vu que Bowling for Colombine, mais en ce qui concerne le sujet, c'est pas hyper passionnant. C'est peut-être un film de propagande anti-flingues efficace, mais c'est un documentaire merdique, et même qui sent le pet dans sa dernière partie. Sur ce film, Moore est un bon lobbyiste, mais un documentariste médiocre. Après, tout dépend de ce qu'on veut voir.

Vu le director's cut, et pas ultra convaincu encore une fois. C'est soigné, quelques scènes sympa, des références à Argento, et puis voilà... au final ça sonne un peu creux selon moi. Encore une fin tarabiscotée si mes souvenirs sont bons... Ceci dit, c'est toujours mieux qu'un Rodriguez ou qu'un Harlin.

Pas une calamité, mais je suis d'accord avec la critique de Devildead pour dire que plus ça va vers la fin plus c'est catastrophique, au détriment d'un début plus fin et sensible. Vraiment pas une priorité à mon avis.

Des vrais films d'action avec des cascades qui tuent ! Pas de la merde yankee à la Die Hard de mes couilles.

Vu en salles à sa sortie, et j'avais bien aimé. je m'en rappelle pas bien, mais ça donnait un peu d'air frais à la vague de films gangsta-ghetto-muscu-yo.

Bon sérieusement, si tu veux je te l'échange contre un aspirateur à couilles :

Pourquoi la chirurgie esthétique ? Parce qu'en plus d'être petite, ta bite est laide ?

Arthur Fellig, alias Weegee était photographe de presse. Probablement le plus grand portraitiste de la vie urbaine américaine des années 40/50, il était à l'écoute des fréquences de police car il était important d'arriver en premier sur les lieux de crimes, d'accidents ou d'incendies. Il a ainsi fait des clichés des drames et joies de la vie New-Yorkaise, notemment des milieux modestes et criminiels. Armé de son gros Speedgraphic et la plupart du temps au flash ses déclenchements font mouche, guidés par un regard auquel l'humanité ne fait jamais défaut. Weegee a été et reste un modèle pour de nombreux photographes bien sûr, mais aussi pour le cinéma. Ainsi le film de Jules Dassin, Naked City emprunte son nom au livre choc de Weegee paru en 1945. Mais plus généralement les images fixes du scrutateur de la nuit ont eu un impact fort sur le cinéma urbain et noir. Et on ne peut pas se dire amateur de ce dernier et manquer l'occasion de se plonger dans l'univers que constitue ces photographies. C'est cette chance qu'ont les parisiens, pour nous autres provinciaux il reste le catalogue de l'expo chez Gallimard que je n'ai pas encore vu, mais qui à 35 euros est plus abordable que la majorité des monographies consacrées à Weegee. Du 20 juin au 14 octobre, le musée Maillol expose "Weegee dans la collection Berinson", 228 tirages d'époque de Weegee lui-même. (61, rue de Grenelle, 75007 Paris - M° Rue du Bac Tél. : 01.42.22.59.58 ) Le photographe et son matériel de prise de vues.

A la revoyure c'est très sympa, mais un peu longuet par moments. Avec de super SFX de de sapins explosés au révolver.

Imposteur. Ce n'est même pas à jour et en plus tes commentaires sont spammés jusqu'à la moëlle.

Clair que niveau com ils sont pas top. Ils n'ont même pas de site officiel. Pour un tel éditeur, ça fait un peu léger.

Il n'est pas sorti pour l'instant. J'ai demandé à Gibert il y a quelques jours, ils ne l'avaient pas leur BDD. Je n'ai vu de date de report nulle part.

Pas vu ce bonus, et je ne le verrai (peut-être) qu'après visionnement des films.

Il est en magasin. Je n'avais jamais qu'un film de Shinoda, en couleurs. Tous ceux du coffret sont en noir et blanc, du coup à peine acheté l'objet j'ai survolé les bonus de Assassinat et vu la bande annonce de Double Suicide... CA TUE !!! La photo est magnifique. Vraiment à tomber.

Si t'avais vu Une vrai blonde sorti après Ca tourne à ..., cela aurait très certainement calmé ton enthousiasme pour Tom Entre les deux y'a quand même Box of Moonlight, qui est quand même assez sympathique d'après mes souvenirs.