Aller au contenu

riton

Staff ZoneBis
  • Compteur de contenus

    3 123
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par riton

  1. Les caches sont en effets visibles, et un peu démesurés sur certains passages, couvrant des surfaces bien plus importantes que les organes génitaux. C'est sûrement ainsi que le film a été diffusé au Japon à l'époque de sa sortie. Le truc, c'est qu'en dessous des caches, il est probable que l'actrice soit affublée d'une sorte de cache-sexe, donc les ôter complêtement ne serait peut-être pas un mieux. En revanche, en tirant une nouvelle copie d'après les negas il doit être possible de ramener ces zones noires à leur portion congrue. Si les négas sont accessibles et exploitables...
  2. C'est un maquillage, mais dans la scène on remarque deux-trois gros plans qui ont été filmés lors d'une vraie séance de tatouage (sur qqun d'autre, donc).
  3. riton

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    Ce film a reçu le label
  4. Tout le monde ne peut pas être un gentil bisounours.
  5. Ce n'est pas de ce que je me nourris le plus, mais j'aime bien les jolis films avec de belles histoires quand ils sont beaux. Mais pour ça, faut pas qu'ils soient finis au rouleau compresseur. Ca me gâche pas mal le plaisir.
  6. Pas la plus grande réalisation d'Eastwood, mais pas sa mons bonne non plus, et globalement un film très sympa. Par contre c'est du 2,35 à l'origine, et je parie 3 contre 1 que France 3 va le diffuser en 1,77 merdique. J'ai pas vu le film depuis quelques années, mais en général Eastwood sait se servir du scope. Y'a de grandes chances que ce soit une diffusion massacre
  7. C'est quoi un film pour moi ?
  8. Vu, et bon, j'avais envie de l'aimer. Mais c'est pas possible. Alors oui, c'est très pro, mais c'est tellement lourd et appuyé que ça aplatit tout sur son passage. Un peu comme un tour de magie qui se voudrait trop démonstratif, et dont on finirait par voir clairement les ficelles. Pour certains films ourtanciers ça peut se révéler savoureux, mais dans ce cas c'est rédhibitoire. Le score de Hisaishi est loin d'être ce qu'il a fait de mieux à mon avis, les bons passages ont de forts airs de recyclage, et le reste baigne dans un sirop épais. Et pour moi, c'est très très inférieur à Save the Green Planet.
  9. Chopable sur le baudet. Version uncut avec une très belle image. Un bonheur. En revoyant le film, j'ai noté une citation du Jigoku de Nakagawa. Amusant.
  10. En VF : les monstres attaquent la ville Dans un bled du Nouveau-Mexique, une voiture de police trouve une fillette hagarde dans un lieu désertique. Elle semble venir d'une caravane voisine qui a été détruite, et à coté de laquelle on retrouve une étrange empreinte. Un peu plus loin, c'est un magasin que nos amis en uniforme découvrent éventré, son tenancier gisant mort dans la cave. Quelle est la cause de ces dégats ? Eh bien en fait, on ne tarde pas à le savoir, et d'ailleurs c'est sur l'affiche du film : les responsables sont des FOURMIS GEANTES ! A ma bonne surprise, tandis que je m'attendais à moult louvoiements avant la révélation de l'existence des FOURMIS GEANTES, les monstres apparaîssent assez vite et le rythme du premier tiers du metrage est bien soutenu. C'est après que ça ralentit un peu avant la bataille finale. Tout ça se regarde avec grand plaisir, les fourmis sont bien grosses merci, on a une paire de héros et la jolie fille du professeur es-fourmis, bref pas de baîllement en vue. A noter que les mutation de nos petites bêtes sont en fait dues aux essais nucléaires réalisés en 45 au Nouveau-Mexique. Et aussi que ce film date de 1954, la même année que l'apparition sur les écrans nippons d'un lézard géant.
  11. Coffy aussi, mais en plus Black Caesar, et Across the 110th street.
  12. Australie, fin du XIXème. Le capitaine Stanley vient de capturer deux des frères Burns, Charlie et le jeune Mike. Mais à ses yeux le vrai responsable des faits pour lesquels ils sont recherchés, à savoir meutre et viol est en fait un troisième membre de la famille : Arthur Burns. Il propose donc à Charlie un marché : il le charge de lui ramener Arthur, et en échange il épargnera la vie de Mike. C'est un western violent et cruel, une histoire d'hommes qui se battent avec leurs démons, au milieu d'une nature immense qui les submerge. Bon. Le film est plein d'éléments passionnants : des personnages fouillés et tragiques, des décors naturels magnifiques bien sûr, une réalisation solide, un ton qui sent le refus du compromis... Mais j'ai eu l'impression par moments que The Proposition souffrait d'excès de mise en avant de certaines de ses points forts. Par exemple, oui, la BO est excellente, mais elle prend parfois le pas sur le film lui-même. Même remarque pour certains passages tendant vers l'emphase, et qui ont tendance à alourdir la poésie de l'oeuvre. A voir si ces réserves résisteront au temps ? Quoiqu'il en soit, ce western qui évoque Peter Weir et Giulio Questi est à découvrir.
  13. Un critique de film (William Macy) tue accidentellement sa maîtresse. Et comme on s'y attend, il laisse le cadavre sur place avec la ferme intention de cacher son implication dans l'évenement. Ca marche plutôt bien, mais c'était sans compter sur la présence d'un témoin cupide et collant (James Cromwell). Une comédie policière hautement sympatique, ni crétine ni lourdingue. C'est rythmé, plein de clins d'oeil, pas prétentieux et bien ludique. J'ai même rigolé par-ci par-là. IMDB indique qu'il s'agit d'un téléfilm, et même si la réalisation ne brille pas d'une virtuosité extravagante (et n'en a d'ailleurs pas besoin), je ne vois pas ce qui empêcheraît cette oeuvrette de connaître les bienfaits d'une sortie en salles. Pour l'anecdote c'est tiré d'un livre de Westlake, preuve du bon goût des initiateurs du projet. Vraiment conseillé pour se rincer l'esprit, mais sans vouloir se liquéfier le cerveau.
  14. C'est méchant. Mais à mon avis, il va échouer.
  15. Hum, même dans le bouquin qui vient de sortir à la Martinière, y'en a qui n'ont pas 15 ans. Moi je pencherais plutôt pour la douzaine. Mais bon, il doit avoir toutes les autorisations requises (celle des parents entre autres ), c'est pas porno, et même le caractère sexuel est discutable (de mauvaise foi bien sûr, mais quand même), donc c'est peinard pour lui. Ceci dit, je ne pense pas que ce bouquin va battre des records de ventes. Mais La Martinière s'en fout, avec leurs déclinaisons d'Arthus Bertrand, ils sont blindés niveau porte-monnaie.
  16. riton

    [Asian Star]

    Tu parles, t'as surtout limité les captures que tu repiques à des scènes de fesses, sale obsédé. Sinon ça fait quand même pas de sorties de films HK avec des "problèmes" ces derniers temps je trouve.
  17. riton

    [Asian Star]

    Oui, mais pas de beaucoup, et le mien est plus long.
  18. riton

    [Asian Star]

    A propos du coffret Tsui Hark, une review édifiante de [b]muldoon[/b] sur asiandvdguide : http://adg.invisionzone.com/index.php?showtopic=1450 on y trouve - à propos de wicked city : [quote] I haven't watched the entire DVD yet but a quick scan shows that the DVD contains an alternate version of the film that eliminates the nudity in the film. The scene showing the butt of Michelle Reis' body double is missing and the scene immediately after it is from an alternate angle: Laserdisc on the left, DVD on the right [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_01a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_01b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_02a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_02b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_03a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_03b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_04a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_04b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_05a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/missing_dvd.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_06a.jpg[/img][img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/missing_dvd.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/missing_ld.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_07b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_08a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/wicked_city_comp_08b.jpg[/img] [/quote] - à propos de Spy Games : [quote]The transfer is a big improvement over Mei Ah's old laserdisc. Unfortunately, the colors are off in a few spots. The opening of the film looks awful because Asian Star tried to remove the blue tint. Originally, the film switched to a blue tint with the close up of the sheet music for the "Spy Games" song: Laserdisc on the left, DVD on the right [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_01a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_01b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_02a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_02b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_03a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_03b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_04a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_04b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_05a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_05b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_06a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_06b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_07a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_07b.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_08a.jpg[/img] [img]http://www.asiandvdguide.com/80s/tsui/spy_games_comp_08b.jpg[/img] [/quote]
  19. riton

    My Lucky Stars - Sammo Hung (1985)

    SO IS JOHN SHAM !!!!!!!!! POM POM !
  20. Le titre n'est pas mensonger, du moins en ce qui concerne le score : bouillant !
  21. En fait Wife to be sacrificed est le premier Roman Porno Nikkatsu que j'ai vu, et à l'époque je lui avais trouvé des qualités semblables à celles que tu trouves à Yoshino. Certes, le film est plus sexuellement explicite, mais sa puissance vient aussi d'une vision extrême de la passion, d'un romantisme décadent. Ensuite je ne pense pas qu'il y ait un ghetto roman porno, du moins pas artistique, et du moins pas dans les 70's. Il suffit de voir la qualité des films pour s'en rendre compte. Les niveaux de production sont élevés grâce à des équipes techniques rodées et compétentes et les réalisateurs profitaient d'une grande liberté aussi longtemps qu'il collaient quelque scène érotique ici ou là. D'ailleurs plusieurs genres l'on traversé, et les premières productions n'étaient pas SM. Bon, tout ça pour dire que si tu as l'occasion d'explorer ce cinéma (et c'est le genre d'occasion qui nous manque à tous), tu vas trouver bien d'autres chefs-d'oeuvre. Pour finir, j'ai un peu l'impression que sur Yoshino, Konuma a été tenté de faire un film avec un léger esprit à la Kumashiro, mais que les meilleures parties du film restent celles qui lui appartiennent vraiment, à savoir les plus folles, passionnées et les plus violemment désepérées. Sans vouloir sous-estimer les immenses qualités de l'oeuvre, s'entend.
  22. C'est surtout beaucoup plus cheap et un peu fait par dessus l'épaule en vue d'un DTV. Tom Weisser dans The Sex Films raconte que la Nikkatsu espérait pouvoir sortir la chose directement en video et sans avoir censurer les accouplements. Pour ce dernier point ça a visiblement foiré. Le père Weisser n'est pas toujours bien fiable, mais sur cette histoire c'est plutôt crédible parce que le film est truffé de caches noirs ignobles du début à la fin. Quant au final de Yoshino est loin d'être en reste avec son mirroir brisé. De toutes façon, Konuma aime bien les fins choc. Celle de Wife to be scrificed fait bien grincer des dents aussi.
  23. Woman in a Box, c'est Konuma. Mais c'est quand même très très nettement inférieur à Madame Yoshino.
  24. J'en ai vu deux au moins. C'est une version plus acceptable d'une base d'histoire ultra-utilisée dans le cinéma érotique japonais C'est à dire qu'au lieu de se la jouer pygmalion à la dure avec séances SM forcées et humiliation sexuelles en tous genres, le protagoniste masculin est plus "romantique". Mais dans le fond ça reste assez peu féministe. C'est d'ailleurs marrant parce que Naoto Takenaka tenait déjà un rôle assez similaire dans le Red Dizziness de Takashi Ishii en 1988.
×
×
  • Créer...