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riton

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Tout ce qui a été posté par riton

  1. Avec un M en plus, c'est encore meilleur.
  2. Le chômeur n'est pas un vendu ! Il a des valeurs lui au moins ! Il est fidèle à son engagement tant que faire se peut ! S'il en était de même pour tout le monde, la France se porterait bien mieux, oui Monsieur !
  3. Le fonctionnaire n'est qu'un chômeur qui n'a pas l'honnêteté d'assumer son choix de vie jusqu'au bout.
  4. riton

    Lord of war - Andrew Niccol (2005)

    J'ai bien vu, mais no way ! Pour que j'aille là-bas, faudrait au moins une soirée Franco.
  5. riton

    Lord of war - Andrew Niccol (2005)

    Merci de ton avis, il m'avait l'air pas mal, et tu confirmes apparemment. Si j'arrive à le voir en VO...
  6. Ouais, si il pouvait rajouter quelques CGI de lutins, d'elfes et de singes ça serait pas mal, parce que tel quel c'est pas très vendeur.
  7. riton

    Marusa no onna - Juzo Itami (1987)

    Les coffret Jap sont épuisés, et de toutes façon, c'était un plan à qqch comme 300 euros le coffret 5 films. Dorénavant les options sont soit une version hum, hum... Hong Kong du coffret, soit un cousin éloigné de ton poney favori.
  8. Aka A taxing woman Aka L'inspectrice des impôts. Ryoko est d'une nature farfouilleuse : elle épeluche les comptes des entreprises, traquant les détournements fiscaux de toutes natures. Polie mais décidée et astucieuse, elle brave même les menaces des yakuzas braillards pour effectuer ses vérifications. Gondo est un "homme d'affaire", propriétaire de nombreux hotels, magouilleur aux connections mafieuses, et son dada à lui c'est l'évasion fiscale. Pour se faire tous les moyens sont bons, y compris se servir de sa légitime et sa maîtresse pour dissimuler et détruire les documents compromettants. Nul doute que ces deux-là devaient se rencontrer. Comédie parfois assez légère mais très agréable, Marusa no Onna doit avant tout beaucoup à ses interprètes. Nobuko Miyamoto, épouse et compagne de travail récurrente du réalisateur, campe parfaitement cette femme seule, indépendante et pleine de ressources, peu soucieuse des intimidations. Tsutomu Yamazaki est son challenger masculin, malin et malicieux mais légèrement avide d'argent. Les scènes qui les réunissent sont délectables, mais le reste du cast est excellent aussi. Le film est vraiment bien mené, stimulant mais sans esbrouffe, et ses 2h 10 passent comme de rien, sans la moindre silhouette de baîllement à l'horizon. Et mine de rien une scène du début qui ouvre sur une opération immobilière pour le moins douteuse, gangsters à l'appui et finit par une valise de pognon remonant vers la Diète n'est pas si innoffensive que ça dans un Japon des années 80 qui a un lourd passé de corruption économique et politique. Sans compter la première scène du film qui n'est pas dénuée d'intérêt.
  9. Je pense à cette subite propension à mettre dans la bouche du tueur nombre d'explications, dont certaines inutiles. Ca me semble trop loquace pour le personnage qu'on a vu pendant le reste du film, et en tous cas ce gros bloc de texte m'est apparu maladroit, comme une parenthèse en plein climax. Néanmoins, une bonne partie du propos sur l'homophobie passe par les siuations recontrée par le flic, et aussi par la façon qu'il a de traiter avec la visibilité de sa sexualité. D'ailleurs c'est lui qui rencontre des situations de dilemne tandis que le tueur poursuit son oeuvre. Je suis d'accord sur le fait qu'il est normal que son jeu ne puisse pas être aussi puissant du fait de son personnage, cependant je trouve que c'est le moins bon acteur du lot.
  10. Un film sympathique qui se laisse agréablement regarder, malgré les limitations de budget évoquées dans la critique citée au dessus. Avec de nombreuses scènes de nuit ou d'ombre, ultra majoritairement tourné en intérieur, Hard délivre une ambiance plutot claustro qui convient bien aux différents thèmes abordés. L'acteur qui joue le tueur (Malcom Moorman) assure comme une brute et d'ailleurs le personnage est la grande force du film, il est juste dommage que le final soit un peu trop bavard en ce qui le concerne. On peut aussi regretter que le jeu de Noel Palomaria présente quelques faiblesses, manquant de maintenir la tension à son niveau le plus élevé. Concernant les problèmes que le réal a eu avec différents labos, ils sont assez difficilement compréhensibles : le niveau de violence et de gore n'est pas si élevé (on a vu bien pire), et c'est probablement plus l'aspect homoérotique qui a provoqué les refus. Très étrange et inquiétant. En tous cas une série B ambitieuse dans ses thèmes, avec un petit goût des années 80.
  11. http://www.tintobrass.to/360/press17.htm
  12. Bon, je me suis fié à IMDB, vu que le film est donné tantot pour 73, 76 et 79, en plus ça faisait la moyenne. Mais c'est vrai qu'IMBD, c'est pas toujours exact non plus.
  13. Devrait sortir en DVD chez Image sous le titre Night of the skulls. Le détail annoncé sur mamanzone : # Format: Color, Dolby, Subtitled, Widescreen, Ntsc # Studio: Image Entertainment # DVD Release Date: January 10, 2006 Un avis éclairé sur le film ?
  14. riton

    10 000 Messages

    Les utilisateurs, c'est tous ceux qui s'inscrivent ou seulement ceux validés par le chef ? Edit : ah ben j'ai la réponse.
  15. C'est parce que tu t'y prends mal. La solution :
  16. [quote="tubbytoast"][img]http://www.popup1984.com/images/riton.jpg[/img] quelqu'un connait ? Riton ? [/quote] Y'a tromperie sur la marchandise : lui, c'est Draven il y a 20 ans !
  17. Ben c'est là où je ne suis pas vraiment d'accord. Effectivement le film a cette réputation, mais je la trouve injuste. La narration est séquentielle et le scénario utilise des schémas clasiques du polar/noir. Le truc, c'est que tout le monde a tellement dit que c'était compliqué qu'on a tendance à l'aborder un peu crispé en se disant "faut que je sois bien concentré sinon je vais pas suivre", alors qu'il n'y a qu'à se laisser aller. La présentation (où le petit docu, je ne sais plus) parle même de film abstrait, ce qui est à mon sens aberrant.
  18. Tu l'as vu en mangeant des corn-flakes ?
  19. Koroshi no rakuin de Seijun Suzuki - 1967 Hanada est le tueur n°3 dans l'Organisation. Pour rendre service à un collègue sur le déclin, il accepte de lui faire la paire dans une mission de garde du corps. Or le trajet n'est pas de tout repos et les embuscades succèdent au guet-apens. L'ayant découvert il y a assez longtemps en VOsta j'avais le souvenir d'un film assez tarabiscoté, presque difficile à suivre. Sont-ce les sous-titres français, mes neurones ont-ils copulé sans faiblir, ou bien étais-je dans le cirage à l'époque ? Quoiqu'il en soit, mon impression était fausse, et ce Suzuki somme toute fort ludique se laisse suivre sans difficulté. Comme à l'accoutumée dans les films de l'auteur, la forme est très travaillée : noir et blanc soutenu par d'irreprochables compostions graphiques, plans inventifs et inattendus suffiraient à eux seuls à justifier la vision des aventures de cet assassin. Mais comme il n'est pas chiche de son talent, Seijun nous offre aussi une oeuvre sensuelle, marquée par ces deux personnages feminins au caractères opposés : l'une extravertie, animale, soulignée par un jeu assez théatral, et l'autre mystérieuse, beauté vénéneuse mais réservée. Et au milieu d'elles, Jo Shishido, aux méthodes d'élimination assez fantaisites. D'ailleurs les scènes d'action en général font preuve d'une fraicheur et d'une volonté d'écarquiller les yeux du spectateur. Suzuki réussit encore une fois à faire la démonstration qu'un film peut être généreux pour le spectateur sans cèder à la facilité, ce qui lui coutera d'ailleurs une douzaine d'années de désert cinématographique. L'ironie voudra que très peu d'années après, la Nikkatsu passera à une politique beaucoup moins conservatrice, donnant de larges marges de manoeuvres à de jeunes auteurs pour peu qu'ils leurs livrent des films contenant leur quota minimal de scènes charnelles.
  20. Oui, j'ai le vague souvenir d'un film dans lequel faut investir beaucoup trop de baîllements pour récupérer un peu de gore.
  21. D'accord avec Mister Zob, c'est mieux que le premier, et d'accord avec Peter quand il écrit : [quote]rob est amoureux des 70'sploitation et il lui fait la plus belle declaration[/quote] Y'a un méga cast, et des persos bien campés, mais le tout est un peu éclaté, et manque un peu d'enjeu pour en faire un grand film, même d'exploitation. Le prochain sera peut-etre le bon ?
  22. riton

    Les Zones du Blu-Ray

    Trop cool la multiplication des supports ! Le mieux c'est quand la compatibilité est la plus faible, là ça devient vraiment lol !
  23. [quote="Allan Theo"]Il semblerait que le dvd sortis en Z3 serait cut (a comparé de la projection cannoise et son final plus sanglant) Ce n'est qu'une rumeur mais elle est tenace [/quote] Effectivement, il y [b]aurait[/b] de la coupe. mais ça se compterait en secondes (1 min au max) et de toutes façons, un peu plus de brutalité ne suffira pas à sortir Election d'une banalité édifiante, surtout pour un film de To.
  24. Vu cet Election, et bien déçu. Sur un scénario bateau, le film se traine assez mollement, ne décolle vraiment à aucun moment, et on se demande où est passé le sens aigu de la bonne scène du père To. Restent les acteurs bien sûr, Simon Yam, Tony Leung Ka Fai, Lam Suet, David Chiang, Tin-Lam Wong... ce qui ne met qu'un demi-baume au coeur, parce qu'on rêve à ce qu'aurait pu être un autre bon film avec un tel cast. Les rumeurs courrent au sujet d'une version de 3 heures, et une séquelle ne va pas tarder à montrer le bout de son nez. Mouais...
  25. Elle va bien et vous passe le bonjour. Si tu pouvais passer lui rendre son tire-bouchon à l'occasion elle apprécierait.
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