riton

De l'inconvénient de poster la même chose sur plusieurs forums à la fois.

Ca a l'air sympa :

Ca fait chantre de rien du tout. Je trouve la photo pourrie, je vais pas écrire qu'elle est belle quand même. Je la trouve VRAIMENT pas belle. Après que certains la trouvent jolie, je sais bien, je l'ai lu. Je veux pas éradiquer les gens qui sont en désaccord avec mon point de vue, mais je partage pas du tout leurs goûts en l'occasion. Mais si on considère que c'est une photo réussie, alors à mon avis y'en a pas beaucopup de ratées. Ceci dit, je cause pas des cadres mais juste de la photo.

Ceci dit, qui c'est qui faisait la moue sur Dumplings dans ce thread même ? Hmmm ? Alors, c'est pas si mal que ça en définitive hein.

C'est pas la première fois que je lis ça sur ce film, et franchement je me demande. Les scènes d'extérieur jour varient entre le très banal et le catastrophique, et les scènes de nuit ça va un peu mieux parce que par moments c'est bigaré, mais quand même c'est pas l'orgasme. Qques captures en provenance de DVDrama histoire d'avoir une idée. Evidemment, la netteté est médiocre, mais c'est assez représentatif des tonalités et donne une idée de l'aspect des images : extérieur jour (ils ont mis qu'une cap, mais ça donne assez bien le ton) : Si ça c'est de la belle photo, y'a un problème les amis nuit et/ou intérieur :

Le dvd HK est bien la version uncut, mais bon... si c'est ça le renouveau du polar HK, ça laisse peu d'espoir pour la suite. Comme dit plus haut, la réalisation est très faible, lorgnant vers les effets faciles et foireux et la photo est proprement hideuse. Le scénario est assez bidon mais se veut sérieux, et on pioche dans certaines recettes qui ont participé aux réussites du père To mais là encore c'est raté. En gros l'intérêt du film se résume à quelques scènes d'action. Et deux sont vraiment très très bonnes : une longue éxecution à la lame, et le duel entre Donnie Yen et Jacky Wu. Le combat final est très bien aussi, mais moins typique des exploits HK que le précédent. Tout ça sent plus le bois de cercueil que la jeune pousse vigoureuse.

En fait je comprends bien que pendant les négociations la discrétion soit de mise, mais une fois la galette pressée et commencée à vendre, je saisis moins bien le mystère. Un autre truc, c'est le brouillard que mettent la majorité des éditeurs concernant les films qu'ils vont éditer. Genre "on va sortir un super truc dans trois mois, lon a les droits mais chut, c'est ultra secret". Au contraire, j'aime bien savoir ce qui va sortir parce que ça m'évite d'acheter des éditions étrangères de films qui auront des éditions francaises peu après. Parce de toutes façons, je rachète pas les films en plusieurs éditions. Bon je vais pas polluer vot' beau thread plus longtemps, et comme la période le permet encore, meilleurs voeux à votre boite. J'attends les pornos de Metzger au format et fully uncut.

Ben puisque vous êtes dans la palce, je voudrais bien savoir pourquoi le prix des droits est secret justement. Des fois l'édition vidéo on croirait presque que c'est tenu par des ex du KGB. Maintenant que vous êtes dans le saint des saints, pouvez vous nous expliquer la raison des éditeurs à toujours rester trsè vagues sur les tarifs des droits, de fabrication des galettes, ainsi que les chiffres de ventes.

Suffit de verifier ici : http://www.bbfc.co.uk/ 5 victimes sur 8, c'est plutôt un bon score.

Ben merde alors. Il est pas sur journaux.fr. C'est sorti y'a longtemps ?

D'ailleurs, il ne devait pas sortir une édition en France ? Yana plus des Franco en kiosque ?

Ben c'est pas mal. Pas révolutionnaire du tout, mais un exercice appliqué dans le genre. J'ai pas vu passer le temps, donc le rythme est plutôt bien calculé, caractéristique absente des derniers survivals modernes que j'ai vus. Alors non, c'est pas ultra gore, mais contrairement à Murder Set Pieces par exemple, la violence porte ses coups de façon efficace. Sympa. Pour la HD, c'est vrai que ça se tient bien sur mon ecran de 55 cm, ceci dit la photo n'est pas incroyable non plus. Je pense que sur un grand écran, les limites doivent se voir. Et puis les quelques passages avec une source ponctuelle violente face caméra donnent lieu à un espèce de flare très désagréable - image du capteur qui se reflète sur les lentilles ?

Oui, ben c'est pas follichon quand même. Alors d'accord, le trerrible drame de départ conduit le protagoniste principal vers des positions douteuses, notemment d'un point de vue moral. Le réalisateur réussit bien à mettre en relief toute la souffrance humaine qui découle de si terribles situations, ainsi que les actes extrèmes qu'elle entraine. Mais quand même, tout ceci est-il bien sérieux ? D'abord il faut noter que le sujet concerne finalement assez peu de personnes : en effet, combien d'entre nous risquent de se retrouver dans une telle situation ? Pas beaucoup il me semble. Parce que bon, en dehors de toute considération en rapport aux tabous sociaux c'est quand même assez cher une femme en plastique, et tout le monde ne peut pas se la payer.

Vu la DC. Coté violence effectivement, y'a une bonne dose. Le soucis, c'est que c'est à peu près tout ce qu'il y a à voir. Tout le monde joue apparemment comme il peut c'est à dire plutôt mal, pas de parti pris esthétique intéressant, pas grand chose à foutre des personnages ni de l'histoire, en conséquence : bof. Probablement que la volonté du réal était d'aller loin dans les scènes choc, et de fait le film dans ce montage ne risque pas d'être distribué en salles. Mais au final le manque d'implication du spectateur réduit drastiquement l'impact de l'expérience.

Et je m'incline devant un tel charme protecteur.

J'ai le souvenir de m'être bien amusé à la vision de cette K7 à la jaquette fort aguicheuse (la francaise visible dans le post de steb). Cher M. Zène, Chesty Morgan a certainement fait avancer une partie non négligeable de l'humanité vers la béatitude, et ne mérite nullement la très vilaine manière dont vous la qualifiez. De plus, votre mufflerie en plus de vous faire injustement ressembler à un supporter de foot ultimement aviné, provoque le courroux du Panthéon du Téton, et il se pourrait bien qu'un ces quatre matins vous ayez à subir la vindicte d'une belle gironde. Ce sont des choses sérieuses qu'il vaut mieux éviter de prendre à la légère. Pour finir, afin qu'aucun goût amer ne reste dans quelque gorge, et pour vous marquer ma sympathie, je vous laisse en galante compagnie :

Ah oui, un bon souvenir celui-là. La deuxième moitié des années 80 fut quand même une période bénie pour l'action HK.

C'est bien le dernier adjectif qui me serait venu à l'esprit pour Snake of June !

http://www.indiewire.com/biz/biz_990401_briefs.html Ca tape bien quand même.

ep 9 : Fair Haired Child Une jeune étudiante se fait enlever en rentrant chez elle. Elle se réveille dans une demeure inconnue et se fait enfermer dans la cave après avoir tenté de s'enfuir. A son arrivée (brutale) dans le sous-sol, elle découvre un jeune homme en train de se débattre au dessus du sol dans un noeud coulant. Elle le secourt, et les voilà tous deux cloitrés au fondement. Fait partie des plus mauvais épisode jusqu'ici. L'histoire est convenue, ce qui n'est pas trop grave, mais certains passages sont franchement ridicules. Il y a un flash en noir et blanc assez terrible, de magnifiques scènes de battements de volets avec masturbation de caméra pour annoncer l'approche du danger et autres procédés de grande finesse, ça se traine et le twist final ne permet pas de sauver le navire. La scène d'ouverture voit le ravisseur dans la camionette écouter le 2nd mouvement de la 7ème de Beethov ce qui montre qu'il a du goût et que donc il aurait dû aller fréquenter d'autres plateaux. Peut-être pour les fans hardcore de Lori Petty ? Ep 10 : Sick Girl de Lucky McKee Ida est une jeune femme férue d'insectes et arachnides. Elle les étudie en blouse blanche et en a adopté un certain nombre en tant qu'animaux domestiques. Hélas cette charmante marotte lui pose des problèmes, et il lui semble difficile de faire cohabiter des petites amies avec ses compagnons à pattes, les premières n'appréciant pas beaucoup les derniers. Pourtant une jeune femme dans le hall d'entrée de son lieu de travail lui plait bien, et celà semble réciproque. En même temps, elle reçoit par la poste un nouveau spéciment particulièrement balaise et pas commode... Premier point positif : c'est visuellement assez soigné, et on a droit à quelques beaux plans. D'un point de vue du scénar, c'est une histoire style EC Comics calquée sur un contexte d'amours lesbiennes pas vraiment acceptées par une partie de l'entourage. Le final twist réussit d'ailleurs bien à fusionner les deux éléments de départ donnant à l'épisode une cohérence bienvenue. La très légère impression de molesse que j'ai pu parfois ressentir pendant le visionnement s'estompe à mesure que j'y repense, donc je le mettrais dans le top 3 de la série à coté du Carpenter et du Gordon.

C'est un post de SWS à propos d'un giallo qui m'a donné envie de voir ce qu'il y avait de dispo sur la toile à propos de cet éditeur de BD poche (des trads de fumetti italiens) orientées adultes. Y'a donc un Wiki : http://fr.wikipedia.org/wiki/Elvifrance Mais surtout surtout : http://poncetd.club.fr/Index.htm qui contient de magnifiques galleries de couv' reflétant les fantasmes de jeunesse de certains d'entre nous (enfin je suppose) : http://poncetd.club.fr/images/couvertures/Lescouvertures.htm Le rédactionnel comprend des parties apparemment fort intéressantes aussi, notamment sur la censure. Un bien beau site.

Godamit ! Flee Allan, it's a fucking trap !

Tout d'abord, je n'ai pas vu ce Franco. J'avais zappé dessus vite fait, mais le fait qu'il est tourné en vidéo me l'a fait remettre en fin de file. J'ai bien saisi que ce n'est pas de celà qu'il s'agit. C'est bien de ça que je parle : pourquoi une actrice de 50 ans ne pourrait-elle pas apparaître dans des scènes érotiques ? Les scènes érotiques d'aujourd'hui sont-elles mieux réalisées qu'auparavant (je ne fais pas ici allusion à l'aspect pourrave de l'entreprise) ? En fait : Aurais-tu écrit la même chose si les protagonistes avaient été des jeunes donzelles de 20 balais ? Ou plus simplement, est-ce ce qui te vient à l'esprit en visionnant des Franco des 70's avec Lina (à l'époque on aurait dit "film privé", je te l'accorde) ? A moins que tu ne veuille seulement signifier que Franco a réalisé son film avec les pieds, auquel cas le rapport que tu fais avec l'âge des protagonistes me paraît brumeux. Quoiqu'il en soit, ça me redonne envie le voir

Tss Tssss !!!

Pour des amateurs de bis, je trouve que certains d'entre vous ont une vue bien étroite de la représentation du corps à l'écran.