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Haze - Shinya Tsukamoto (2005)


Blame

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Normalement d'une durée de 25 mn, elle s'est allongée de 24 mn de plus. Tourné en dv et j'espère une sortie en dvd avec des sta.

 

A man wakes up to find himself locked in a tiny, cramped concrete room, in which he can barely move. Why is he there and where did he come from? All we know is that he has a terrible stomach injury and is slowly bleeding to death. He begins to explore the narrow confines of his prison and crawls around the maze-like room, only to see a horrible vision of hell waiting for him at each end of the room.
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ET DONC

Pour les lyonnais le film est Samedi soir au CNP Odéon... J'en bave d'avance, d'autant que le film est accompagné de Tamamushi du même Tsukamoto et qui lui dure 22 minutes

 

Projo samedi soir sur Lyon avec un autre de ces récents court Tamamushi.

 

Je dirais qu'il y a des chances de le voir à Lyon...j'ai bon là !!! [/code]

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  • 2 months later...
J'éspère que c'est moins chiant que "Snake of june"

 

C'est bien le dernier adjectif qui me serait venu à l'esprit pour Snake of June !

C'est un film très beau, très soignée, mais vraiment trop froid.

 

Bon, en même temps, c'était surement le but de Tsukamoto.

 

Mais bon, je préfère quand des lycéens se font courser par des grosses araignées !

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  • 3 weeks later...
  • 2 weeks later...

Même sur grand écran et présenté par Tsukamoto lui-même c'est long.

 

Tsukamoto fait le pitre et ne répond pas aux questions, en résumé il n'a pas l'air de croire à ce qu'il fait. Puis vient la projection et on prie pour qu'il arrête de souffler comme une midinette qui nous fait une hyperventilation. Pas de chance, c'est l'essentiel de son texte.

 

Pour le côté urbain ne nous emballons pas, surtout cauchemardesque dans l'intention dirons-nous.

 

Deiuxième déception après Marebito, le temps de Tetsuo est bien loin.

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Marebito n'est pas un film de Tsukamoto.

 

Quant à :

Tsukamoto fait le pitre et ne répond pas aux questions, en résumé il n'a pas l'air de croire à ce qu'il fait.

Un certain jeu veut que les artistes seraient à même, voire devraient parler de leur production, parfois jusqu'à l'explication. Sur des questions d'ordre techniques pourquoi pas s'ils en ont envie, mais faut entendre les questions débiles qu'on leur pose parfois : genre le rapport avec leur vécu, la signification pour leur moi profond, quand on leur demande pas un commentaire composé.

Les artistes ne sont ni forcément des gens sympas, ni obligatoirement enclins à s'expliquer devant leur public. Celà ne rajoute ni n'enlève rien à leur oeuvre.

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Je te remercie de ces aimables précisions pédagogiques. Nous nous éloignons un tant soit peu du sujet: le film. Si je cite l'attitude de Tsukamoto et son manque de motivation, c'est que la séance m'a paru être le prolongement de sa prestation publique: plutôt nonchalente. presque irritante.

 

Pour ce qui est des films cités, ils ont juste pour point commun de mettre Tsukamoto en personnage central et de rappeler que même un réalisateur au passé très respectable peut avoir son moment de faiblesse.

 

Bonne journée

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  • 10 months later...

Vu la bête il y a 2 jours, et j'ai été soufflé par sa forme: c'est d'une efficacité redoutable. J'en ai eu le souffle coupé - mon côté claustro a certainement bénéficié au film, j'ai frissonné, j'ai eu les yeux écarquillés de bout en bout avec la machoire décrochée. Pour ma part, il s'agit d'un grand Tsukamoto, même si le fond témoignant d'un profond pessimisme me parle moins.

 

Quant à l'attitude nonchalante du réalisateur décrite par Guillaume Tell, il s'agit de son attitude naturelle. Tsukamoto est un mollusque au quotidien, une sorte de machin mou apparemment dénué de toute émotivité. Ces japonais sont surprenant.On trouve deux catégories: les polis et les mous. Les premiers disent merci toutes les deux phrases avec un sourire xagéré, les autres sont comme Tsukamoto... ou Merzbow... ou Masonna - pour en citer deux que tu as croisés

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J'en ai eu le souffle coupé - mon côté claustro a certainement bénéficié au film,

 

Très probablement

 

On trouve deux catégories: les polis et les mous. Les premiers disent merci toutes les deux phrases avec un sourire xagéré

 

Ce qui simplifie radicalement la psychologie des personnages

 

Pour le film, vu à Locarno en été 2005, les souvenirs sont assez nets, pas convaincu du tout, voir un poil irrité

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