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Truands - Frédéric Schoendoerffer (2006)


Cyril

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pareil que Prodigy. vu la mauvaise réput' qu'il se tape je m'attendais à voir une merde et finalement j'ai trouvé ça sympa, enfin regardable quoi...

faut prendre Truands pour ce qu'il est : une grosse série B française, limite z par moment mais bien violente, vulgaire et rentre dedans... certe la violence y est gratuite, c'est maladroit mais on sent quand meme que Schoendoerffer essaye de nous en mettre plein la gueule meme si c'est un peu vain... la mise en scène est plutot correcte et Magimel, Marchal et Dalle s'en sortent plutot bien. pour le reste je suis d'accord avec vous, direction d'acteur affreuse excepté pour les trois que je viens de citer, certaines scènes et dialogues risibles ! mais bon ça n'a rien de honteux non plus !

 

et puis je suis sur que vous vous prosternez devant des vieux polars français et rital beaucoup plus z que Truands !

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  • 3 months later...

Je sais pas ce qu'il a pris avant d'écrire ce texte.

J'ai pas l'impression d'avoir vu le même film.

 

 

La performance de Caubère tétanise au point qu'Al Pacino dans Scarface pourrait presque passer pour un enfant de choeur.

Il faut le voir dans une scène d'ores et déjà culte, péter les plombs devant ses hommes de main, les menaçant de son calibre pour finir par exorciser sa rage en culbutant sauvagement une prostituée dans les chiottes du night club (prostituée jouée avec un naturel confondant par la star du X, Oksana).

 

 

En effet il faut le voir.

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" une pléiade de comédiens à leur zénith, sans oublier une science de la mise en scène proprement génialissime. Truands respire le cinéma par tous ses pores."

 

"D'un côté, Claude Corti, le boss, celui que tout le monde respecte et craint auquel Philippe Caubère, acteur aussi immense que rare sur nos écrans, apporte une présence inouïe - et un César du meilleur acteur, merci pour lui !"

 

"L'autre personnage phare de Truands est interprété par un Benoît Magimel glacial, digne héritier d'Alain Delon dans Le Samouraï."

 

"Ponctué de séquences chocs mémorables ? on n'est pas près d'oublier la fusillade du parking qui fait largement jeu égal avec celle de Heat "

 

"Truands fait instantanément partie des grands films du cinéma français. Et à la sortie de la projection, on se prend à rêver de revoir tout ce « beau » petit monde dans une préquelle. À bon entendeur? ou ici plus exactement bon lecteur !"

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http://www.avoir-alire.com/article.php3?id_article=9098

 

"Ce film ne serait résolument rien sans Philippe Caubère, borderline, tonitruant, détraqué, survolté, horriblement magnétique en parrain du crime. Carnassier, à la limite de la démence et du cabotinage"

 

"la morale du film (parce qu’il y en a une) : dans la vie, on est toujours tout seul, l’entraide est bannie et les larmes de crocodiles ne servent à rien."

 

"Truands est un film qui nous inocule de la haine de ce monde."

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  • 1 year later...

Enfin vu aujourd'hui, et je dois dire que c'est le genre de film qui change un homme.

 

Il y a vraiment un truc fascinant dans toute cette vulgarité, et tout ce déferlement pornographique d'armes à feu : la fusillade sur le parking, c'est du Heat, mais pour un deal merdique, quoi ! Faut pas s'énerver, non plus

 

Philippe Caubère est au-delà du surjeu bien sûr, mais toute son équipe est très bien. Même si personnellement, le rouquin m'a bien fait triper en fait.

 

Ce qui est fou dans ce film, c'est la non-lisibilité de l'histoire : pendant 1h on attend que ça démarre. On a l'impression d'avoir que des scènes d'exposition, et on se dit, ah là, il va y avoir une grosse intrigue, mais en fait, non jamais. Même le face à face final, on se dit, ah oui, là ça va être fort, mais en fait non.

 

Un autre truc intéressant est que quand on y pense, un prophète raconte quasiment la même histoire : un arabe rentre en prison, fait alliance avec les barbus, et nique le corse. Mais d'un côté on a quelqu'un qui raconte vraiment son histoire, place des enjeux (Audiard), d'un autre on a quelqu'un qui filme le bide d'Olivier Marschall, Magimel et ses poissons... Je ne sais même pas à quoi ils servent narrativement, ces tueurs à gage ! C'est quoi le conflit moral chez Magimel ?

 

 

Bon, maintenant tu vas tuer ton patron, et après on va te tuer parce qu'on te fait pas confiance. T'es ok.

- Ouais, j'suis ok.

 

 

Faut reconnaître que visuellement ça a parfois de la gueule (comme Agents Secrets d'ailleurs, qui était plus convaincant, parce qu'au moins on comprenait l'histoire), mais à part ça, c'est vraiment moche.

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Heat = Une banque

Truands = Le parking d'un LIDL

 

Bref

ON NE BEURRE PAS LA RAIE DE OKSANA !!!

 

Bah si, en fait !

 

Oksana, meilleure comédienne du film.

 

La vulgarité dans le film me dérange pas tellement en fait, parce que ça fait passer les parrains pour des blaireaux, et c'est crédible. C'est juste la narration qui est naze.

 

Je l'ai vu tout seul dans un appartement vide en baissant le son à chaque scène scabreuse parce que j'ai peur que les voisins entendent, ce qui diminue le plaisir, mais je pense qu'en soirée, ce film doit super bien passer.

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Bah, au risque de passer pour un con, beurrer la raie, ça veut pas dire ici attenter à la virilité de quelqu'un en lui enfonçant quelque chose dans un orifice que la nature n'a pas crée à cet escient ?

 

Parce que si c'est, ça lui arrive quand même assez régulièrement à Oksana (même si pas vraiment dans ce film).

 

En plus ça me rappelle cette magnifique réplique de Scarface : "On ne m'encule pas, moi, Tony".

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Je m'excuse pour le double post, mais je voulais faire partager une information assez importante il me semble à propos de ce film.

 

En voyant le générique, j'ai été attiré par le nom d'Anne Marivim, qui joue la femme d'Olivier Marschall et qui finit battue, violée et bafouée comme à peu près toutes les femmes du casting. Après une petite recherche, je me suis rendu compte que je la connaissais parce qu'elle jouait la copine de Dany Boon dans bienvenue chez les ch'tis.

 

Bon ok, c'est nul comme info mais enfin, fallait que ce soit dit, quand on sait ca on regarde pas les ch'tis pareil (en même temps c'est pire pour la gloire de mon père).

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