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Den Brysomme Mannen - Jens Lien (2006)


Cyril

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Syno:

Andréas se retrouve dans une ville étrange. Il ignore comment il est arrivé là. On lui remet un emploi, un appartement, et même une femme. Très vite, il s’aperçoit pourtant qu’il y a quelque chose qui cloche. Tentant de s’enfuir, il découvre que la ville est sans issues…

 

Qu'est ce que c'était bien

Ce film est la somme de tellement de chose réussis qu'il méritais amplement son grand prix Gerardmois.

 

On assiste à l'horreur la plus effroyable qu'il puisse exister ... LE MONDE DU TRAVAIL !!!

 

Donc c'est quand même un scope majestueux qui sert de cadre a cet histoire tarabiscoté et exceptionnellement drôle.

 

Donc en plus d'être beau, intelligent et efficace c'est drôle !!! Diantre et le film est carrément un morceau de bravoure sur ce coup, la salle était hilare (sauf notre amis Draven qui nous as dit "j'ai po compris") et à juste titre.

 

 

Ca part carrément dans des délires fantastique assez poussé, un des films les plus originaux que j'ai vu à Gérardmer en tout cas.

 

Superbe musique aussi et casting mortel (y a qu'a voir la photos d'une des filles que je mets en fin de critique), d'ailleurs l'acteur principale est exceptionnel dans son rôle.

 

Bref du bonheur.

 

 

 

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  • 4 weeks later...
  • 2 months later...

Tiens, je l'ai vu lundi celui-la (mieux vaut tard que jamais !).

 

Et je rejoins la cohorte des afficionados de cette jolie petite perle nordique.

Belle fable donc, au message certes un petit peu ecule mais exprime avec une telle poesie (et un humour pince sans rire) que l'on est vite absorbe par le rythme lancinant (train train quotidien oblige !) du film.

 

L'acteur principal est parfait dans son role inspire de Sam Lowry dans "Brazil" (que le film evoque evidemment) et le film se revele d'une precision sans faille dans son propos, ce qui demontre la maitrise du realisateur sur son sujet.

 

N'ayant pas vu les autres films presentes a Gerardmer, je me garde bien de dire si le prix est (enfin !) merite cette annee, mais il est sur que ce film est d'une qualite et d'une intelligence rare de nos jours. Une petite merveille.

 

 

 

(et oui, l'actrice qui joue le role de la femme du heros est )

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  • 2 months later...

 

CTV se chargera de la sortie DVD de ce film le 4 Octobre prochain. Le film sera présenté dans un transfert 16/9 compatible 4/3 au format 1.85 respecté, accompagné de pistes Dolby Digital 5.1 et 2.0 en norvégien, accompagné de sous-titres français.

 

 

Les bonus seront au nombre de deux : l'éditeur a tout d'abord réalisé un entretien inédit avec le réalisateur (26mn), réalisé à l'occasion de sa venue à Paris pour l'avant-première du film au printemps dernier. Le second, et non des moindres, sera le court-métrage "Natural Glasses" : d'une durée de seulement une minute, il fut sélectionné au Festival de Cannes en 2001. Le réalisateur y raconte une histoire simple et étrange, qui pourrait ressembler à un sketch si elle n'était pas aussi intelligente. Un homme marche dans la rue d'une grande ville bruyante et s'arrête devant une vitrine qui propose des "lunettes naturelles". Intrigué, il rentre dans la boutique, s'en achète une paire, les enfile et découvre un autre monde. Porté par cette illusion, son destin sera changé à jamais (ceux qui connaissent le court comprendront l'ironie !). Un court métrage ultra inventif, dont le thème est en totale corrélation avec ceux du film, à savoir une dénonciation fine et amusante de la société de consommation.

 

Source: Dvdrama

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  • 1 year later...
  • 2 years later...

En avant propos, et pour alimenter le débat le plus hot du moment, je tenais à dire qu'en tapant le titre VF de ce Brysomme Mannen, on n'atterrit pas sur ce thread; seulement en tapant le titre VO (que j'ai dû aller chercher sur IMDB, LE BOULOT DE OUF)

 

Et sinon, j'ai été un peu déçu. C'est certes de fort belle facture, des plans bien travaillés, beaucoup de symbolique (la façon d'isoler le héros dans le cadre), une réalisation posée et élégante (la sortie du tunnel ). Mais c'est quand même pas très original, quiconque aura lu le synopsis aura de grandes chances de deviner la quasi totalité du film. C'est même parfois à la limite du cliché de la représentation du "bonheur insoutenable": les décors lisses, les couleurs froides, l'architecture carrée et austère, les habitants éteints qui marchent comme des robots, et surtout l'obsession pour le mobilier comme un écho un peu trop appuyé à notre monde.

Du coup, j'ai regardé ça sans ennui, mais sans vraiment rentrer dedans, faute d'un moment où le film me surprendrait.

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