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alfie

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Tout ce qui a été posté par alfie

  1. alfie

    Fast Five - Justin Lin (2011)

    C'est mieux que le 4, les persos sont plus attachants, mais la première heure m'a paru duré une demi heure de plus, je pensais qu'on était proche de la fin... Le seul film où une bombasse obtient une empreinte digitale en se faisant tater le cul... C'est pour toi Isabelle.
  2. Non mais rien que la bande annonce et ses dialogues "hmm j'aime les putains", c'est un sketch des Inconnus. ça fait un choc avant Destination Finale 5
  3. Me souvenait que de la scène de quarantaine (interrrrrrrrrrrminable) et au final c'était bien sympa. Le nouveau doublage est très propre, contrairement à celui de Superman qui faisait "plaqué" et trop clean. Les scènes rajoutées n'apportent rien et les nouveaux sfx savent se faire discrets la plupart du temps. La photo de nuit est magnifique. Couillu parti pris de mise en scène de ne montrer presque tous les adultes que comme dans les dessins animés Warner, de dos, dans l'ombre, ou coupés en dessous de la tête.
  4. On a failli avoir droit non pas à deux, mais trois Guerres des boutons. Les films produits par Marc Du Pontavice et Thomas Langmann ont eu raison d’un troisième projet. Récit d’un film ajourné et d’une guerre de producteurs par le producteur Jean-Pierre Fougea. Tout le monde le sait : deux Guerres des boutons vont bientôt s’affronter sur les écrans français. Mercredi, la version de Yann Samuell produite par Marc du Pontavice déterre la hache de guerre. Puis La nouvelle guerre des boutons, signé Christophe Barratier et produite par Thomas Langmann débarque une semaine plus tard. Ce qu’on sait moins, c’est qu’une troisième adaptation du roman de Pergaud a bien failli voir le jour. Jean-Pierre Fougea, producteur (on lui doit le mythique Et la tendresse bordel ?), avait été approché pour produire . « L’idée remonte à 2008. En relisant le livre, j’ai tout de suite pensé qu’il fallait retourner au livre de Pergaud. Etre plus fidèle à la noirceur du roman que dans la version d’Yves Robert. L’action se serait située en 1913 et, à la fin, les deux villages se seraient réconciliés parce que les parents sont réquisitionnés pour « aller mettre la pâtée aux boches ». Nous voulions faire un film avec des enfants, mais pas forcément pour les enfants – accentuer notamment les passages durs du roman ». Deux ans plus tard, le projet est sur les rails. Fougea a un réalisateur (Alexandre Castagnetti, moitié du duo de La chanson du dimanche, et co-réalisateur de L’incruste) et un budget raisonnable (plus ou moins 5 millions d’euros). Tout va pour le mieux. La lettre écarlate C’était sans compter la lettre d’un scénariste débutant envoyé à la plupart des sociétés de productions parisiennes. Dans l’enveloppe, on trouve son propre script de La guerre des boutons, mais surtout un mot informant que le livre de Pergaud allait tomber dans le domaine public en octobre 2010. Autrement dit, qu’on pouvait produire un film sans débourser d’onéreux droits d’adaptation. Ce courrier va mettre le feu aux poudres. Il arrive sur le bureau de Thomas Langmann qui propose immédiatement au scénariste de lui racheter l’idée pour une dizaine de milliers d’euros et un crédit au générique. De son côté, et parallèlement au projet de Fougea, un autre producteur, Marc Du Pontavice, travaille sur son adaptation, mais de manière très discrète. Au Marché du film du festival de Cannes 2010, Du Pontavice révèle son projet afin de trouver des partenaires financiers. Jean-Pierre Fougea tombe des nues : « Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai appelé Marc, que je connais, pour lui dire que je renonçais à mon projet, parce que la concurrence aurait été ridicule. Poursuivre dans ces conditions c’était l’enfer assuré. D’autant plus qu’on serait plus ou moins tombé dans les mêmes dates de sortie. En termes de tournage, de distribution et de promotion, ça devenait invivable ». Thomas Langmann n’a pas la même analyse de la situation et il décide de déclarer la guerre des Guerres des boutons. Guerre ouverte Fougea regarde les deux camps s’organiser et les deux films s’échafaudent en parallèle, avec leurs lots de coups bas et de stratégie de déstabilisation. Yann Samuell affirme ainsi à L’Express que la production rivale l’a appelé pour lui proposer un pont d’or pour financer son film suivant, et donc renoncer à celui-ci, avant de tenter de débaucher des techniciens de son équipe ou appeler ses comédiens pour les convaincre d’abandonner. Langmann assure que ça n’a jamais été le cas. Si l’on ajoute à ces rumeurs, la pression sur les tournages, la valse des dates de sorties, des promos provinces, on peut imaginer l’ambiance de la compétition… Aux premières loges, Jean-Pierre Fougea qui remarque que « cette double sortie, c’est du jamais vu ». Pas faux. On a pourtant connu des précédents. Et pas plus tard qu’il y a deux ans avec Coco avant Chanel et Coco & Igor, deux films consacrés à Coco Chanel, mais qui racontaient finalement des histoires différentes et qui avaient eu le bon goût de sortir à quelques mois d’écart. Les deux Raspoutine qui viennent de se tourner ? Celui de Rose Bosch est destiné au cinéma, l’autre à la télévision. Résultat, jamais on avait vu se manifester à ce point, ce qui est avant tout une guerre des producteurs. « Personne ne peut prédire ce qui va se passer, continue Fougea, même si je me demande si le marketing d’un des deux films ne va pas profiter à l’autre. Il est évident que celui qui sortira le premier aura plus de facilités. Mais tout va se jouer sur les qualités respectives des deux films que pour l’instant je ne connais pas. La seule chose que je sais, c’est qu’avec une matière comme celle du livre et un bon réalisateur, il y a de quoi faire un film formidable ». Quelle que soit l’issue (Un triomphe et un bide ? Deux triomphes ? Deux bides ?), Fougea n’a pas renoncé à son idée. « Le scénario est toujours là, je sais qu’il est formidable. Je ferai peut-être ce film dans deux, trois ou quatre ans ». Même avec la possibilité de devenir un dégât collatéral ? Si les deux films se ramassent au box office, ou s’ils ne sont que des succès d’estime, il y a de quoi supposer que financer une Guerre des boutons supplémentaire tiendra de la mission impossible. Fougea sourit « Je vous le dirai après la sortie de ces deux-là… ». D’ici là, Langmann et Du Pontavice auront commencé à travailler sur les éditions DVD et Blu-Ray de leurs films respectifs. Il y a fort à parier que leurs making-of ne relateront pas ces coulisses, et aborderont encore moins la version de Fougea. Charles Lourson
  5. Sinon le générique m'a vachement fait penser à celui des Vendredi 13. Même typo blanche sur fond noir avec verre brisé.
  6. Bon ben au final c'était bien sympa, moins chiant que le précédent. Les deux persos principaux ont un arc narratif en dehors de l'intrigue principale, même s'il est ultra basique (un couple en semi crise) donc on a l'impression que le film sert à autre chose qu'empiler les morts. Après on sent que le scénariste a dû faire avec une formule ce qui pose un probleme recurrent de structure. Les meurtres de la première vision sont assez quelconques puisqu'on a pas eu le temps ni de s'attacher ni de detester les personnages. Et il faut attendre la deuxieme partie du deuxieme acte pour le héros soit enfin actif dans l'histoire. Il faudrait serieusement approfondir cette mythologie, histoire que les persos aient au moins quelque chose à foutre durant la premiere partie du film. La musique bien bourrine est sympa, encore mieux que celle du 4 qui cassait les oreilles au bout d'un moment. Et puis finir sur un bon vieux AC/DC des familles, ça rend le tout encore plus sympa Après les acteurs sont bien, faut voir ce qu'on leur donne à jouer(le pervers est bien sympa) même si les personnages réagissent un peu moins connement que dans les précédents, comme quand le héros travaille en cuisine et fait attention à tout ce qui l'entoure. Bon par contre, il finit par faire un diner romantique avec 200 bougies partout autour de lui.... Les actrices ont plus de charme que les boudins bonnasses du précédent Et puis putain le héros ultra expressif, sérieux il serait génial dans un Scary Movie à jouer un gogol mais franchement comment on peut s'identifier ou s'inquiéter pour un neuneu pareil :
  7. Le meilleur Mel Brooks. Et les effets spéciaux J'aime bien comment Mel Brooks explique qu'il voulait faire un film familial de telle sorte que les gosses qui ne comprennent pas les gags y voient juste un conte de fées.
  8. Pourquoi tu t'énerves tout seul ?
  9. Ben abonné pour les news, pas pour les critiques.
  10. Gerard Depardieu, parrain de la première édition ?
  11. http://www.movie-censorship.com/report.php?ID=1879
  12. Ben ils parlent pas, ils crient, donc oui c'est pénible.
  13. "Regardez ces personnages dans le plan et puis comment on enchaine sur le plan du personnage qui est seul dans la cadre." C'est le seul qui parle de cinéma et pas seulement de lui-même.
  14. alfie

    Philibert - Sylvain Fusée - 2011

    raté mais j'ai vu tellement pire... le probleme de philibert c'est qu'à cause des dialogues à l'ancienne, tu constates le fossé qui separe les grands acteurs de l'epoque à l'elocution impeccable de ceux d'aujourd'hui qui n'ont pas l'air de toujours comprendre ce qu'ils disent et qui pour certains anonnent péniblement. Ou alors ils en font des caisses. En tous les cas ça joue faux donc on ne croit pas le peu qu'on devrait croire. Et surtout la qualité de ces films là c'est le rythme alerte et le coté leger et bondissant qui est présent ici mais forcé et parodique. Donc ça manque de souffle et ça craint. Pis bon Sylvain Fusée n'en est pas une donc c'est filmé platement et les acteurs ont l'air de pas avoir été dirigés. Y a Jacky Blangier en cameo.
  15. Natacha Polony est pas mal mais l'émission n'a globalement plus d'intêret. SOS Racisme et le CRIF ont dû sabrer le champagne lors des interventions d'Audrey Pulvar. Plus politiquement correct que ça, c'est Edwy Plenel. Je me coucherais moins tard les samedis soirs désormais, ça sera pas un mal.
  16. Un petit film assez carré qui effectivement serait moins interessant sans Hopkins qui a un perso assez decalé et amusant. Je le trouve bien à la fin. Je vois pas le message comme quelque chose de littéral. L'aboutissement du personnage n'est pas tant de croire en Dieu que de croire en lui meme et d'etre en paix avec ses parents. ça me semblait assez clair.
  17. Ouais c'etait bien, les personnages auraient merités d'etre un peu plus developpés au debut, on sent que le but c'etait surtout d'etre genereux en action quasi non stop, et vu le budget c'est une reussite. La vision de l'enfer est originale mais ils auraient pu s'en passer vu le resultat, meme si l'intention est bonne, et du coup le twist du milieu est grillé dès l'intro. Le vrai mechant du film est assez fade mais l'idée du tibia est très iconique. Le reste du cast est top. Y a beaucoup d'humour, le "comptable" est excellent. Il a les qualités de ses defauts, c'est un peu trop leger et survolé pour qu'on y croit vraiment, dommage. Mais on passe un bon moment et surement une excellente demo pour la 3D.
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