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tromatoxic

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Tout ce qui a été posté par tromatoxic

  1. Je n'attendais rien de ce film à part un énième DTV fadasse. Bien mal m'en a pris puisque c'est une excellente séquelle du niveau de l'opus 2, pas si commerciale que ça et plutôt adulte. Le film s'éloigne pas mal des cénébites que l'on voit très peu, à la différence du troisième volet qui avait contribué à en faire des icones pour ados. Au contraire, Hellraiser 5 se focalise sur un personnage assez intéressant de flic ripoux aimant la poudreuse et les bonnes putes style goth, mais qui en parralèle aime rentrer chez lui le soir pour embrasser sa femme et sa petite fille. Le final, sous un premier aspect moralisateur, est en fait assez glaçant. Ce qu'il y a de plus réussi dans le film, c'est l'aspect trip, très bien rendu. En fait c'est une heure trente de bad trip, avec des distorsions de temps, l'impression de piétiner, des hallus, des retours, des introspections et retour sur la vie passée, etc... Franchement pas mal.
  2. Découvert par hasard à la suite d'une jaquette alléchante. Langoureux mais bien prenant, il s'agit d'une sorte de carnival of souls kafkaïen qui fait aussi penser au locataire de Polanski. Allégorique, le film se vit comme un rêve éveillé, ideal pour une toute fin de soirée. Visiblement le genre de film qui ne sera jamais rédité en DVD ou diffusé et condamné à disparaître, ce qui est bien dommage. Pour l'anecdote, le film comporte des scènes de cul que l'on n'imaginait pas focément eu égard à la provenance géographique du film et sa date.
  3. Acheté le Blu Ray après l'avoir vu à l'époque en salles et je rejoins ce qui a été dit avant. L'expérience est beaucoup moins immersive chez soi. Elle paraît plus longue aussi... Surtout, ce qui est assez bloquant, même en Blu ray, c'est que l'aspect volontairement flouté de l'image qui passait très bien au cinéma, passe beaucoup moins sur un écran de télé... Je ne sais pas ce que donne le DVD, mais l'image du BR n'est pas nette du tout. Revu en version longue et j'attends un peu pour le remater en version courte.
  4. Film à sketch très intéressant et surprenant malgré un manque de moyen évident. On reste toutefois très surpris à la vision du making of du nombre de personnes présentes sur le tournage. Visiblement, tout ça a du coûter quand même du pognon et on se demande comment la chose pourra être rentabilisée un jour. S'agissant du film lui même, comme dans tout film à sketch, du bon et du moins bon. Les premiers et troisième segments sont les plus réussis. On reste surpris par le décalage important entre le jeu des actrices, toutes excellentes (dont l'actrice principale bien b...), et le jeu des acteurs, absolument catastrophique. Parfois un manque de musique, de direction artistique et de mise en scène, des problèmes d'écriture mais l'ensemble reste bien prenant. C'est le segment central qui va le plus diviser. On hésite entre lui donner sa place dans nanarland ou le voir comme un hommage aux films de MIIKE (surtout happiness of the katakuriss)... Mélange de comédie musicale, de gore, de comique troupier (la scène du rabbin de garenne est ), de références très très très appuyées, ce sketch est En tout cas , un DVD de qualité avec un réel effort sur les bonus et une belle image.
  5. Commandé directement sur le site du film et reçu en moins d'une semaine! A priori, c'était un peu ma crainte, vu le côté très amateur, de voir mon compte paypal débité sans rien recevoir, mais les vendeurs sont réglos, pas de problème, et le DVD a un prix très abordable. Bel objet, avec un boîtier design et un beau DVD tout rose au visuel en adéquation avec la jaquette. Je rejoins la plupart de vos observations : photo en HD superbe (on voit franchement peu de différence avec un Blu ray), musique électro vraiment chouette, excellente idée d'avoir mis des sous-titres optionnels en anglais (bien que le film se comprenne facilement sans), des effets spéciaux détonants et des bonasses de girls next door qui changent des blondes siliconées. Des baisses de rythme parfois mais moins que dans "Perverted" par exemple. Le film est un grand foutraque, qui sent un peu l'écriture automatique chère à Breton, avec des digressions bizaroïdes, parfois tendance homo, parfois expérimentales, souvent comique troupier... En tout cas, j'ai bien pris mon pied et ça m'a rappelé l'époque lointaine où je commandais des VHS NTSC du style "infamous bondage murders".
  6. Un tee shirt collector Poing de Force quand tu sortiras le DVD! Je ne pense pas qu'on puisse annuler, j'ai déjà payé par CB. Tans pis.
  7. ARGHH, commandé il y a quelques temps en précommande sur amazon avec d'autres films dont ouvert 24/7 et je lis sur le site du chat qu'ils sont désormais présentés en pack pour 24,99 €... Bon je sais c'est que 5 € de moins... Stéphane, tu peux faire quelque chose?
  8. J'ai foncé sur l'achat du BR car c'était l'un des seuls du réal que je n'avais pas. Effectivement sur la plan technique, la qualité du BR est franchement une déception. Une image qui manque de relief, plutôt pale, avec assez peu de finition de détail et qui fourmille pas mal. Si j'avais su j'aurai acheté SUSPIRIA.
  9. Ben oui, tout comme le générique de CALVAIRE était déjà pompé sur Noé. C'est tout le problème de DU WELZ, un réal qui se prend le melon comme pas deux alors qu'il ne fait que pilier le boulot des autres. Sa scène dans le gogobar au début c'est aussi de la copie de Noé (la scène d'irreversible dans la boîte à la recherche du Ténia), le talent et l'immersion en moins. Le reste pille aussi LA VALLEE de Schroeder, l'intelligence et la grâce en moins. C'est du sous Gaspard Noé avec de la métaphore pour les nuls. Très drôle aussi le making of en bonus sur le BR, consternant d'autosuffisance où l'équipe jubile d'avoir tourné un film transgressif parce qu'ils ont travaillé une nuit dans une rue de bars à gogo. L'équipe technique est au bord du coma car Béart a une otite et car leur barbe a poussé. Summum de la transgression, l'un des techniciens qui hurle un "ta gueule" à un pauvre touriste qui vient de lever une pute et boit une bière tranquille en terrasse... Acheté à 4 € en BR sur Ebay, ce making of à pisser de pire par son premier degré sidérant de connerie mérite à lui seul l'achat!!!
  10. Vu et archi revu il y a plus de vingt en VHS cassette collection on or, puis vu et revu en DVD bien plus tard, j'ai eu la chance de redécouvrir intégralement le film hier soir en salles au cinéma le MAJESTIK de Lille qui l'a diffusé en soirée spéciale devant une salle comble. Les projectionnistes sont venus présenter le film en exposant qu'ils avaient réservé une copie numérique HD éditée par Wild Side mais qu'à la dernière minute le distributeur leur a fait faux bon, la copie ayant été réservée par la cinémathèque de Lyon. En guise d'excuse le distributeur leur a remis la copie 35 mn neuve, directement tirée de l'internégatif, qu'avait commandé Argento lorsqu'il a supervisé la réédition HD sortie il y a deux ans, et qui a fait couler beaucoup d'encre compte tenu des modifications colorimétriques intervenues. En résumé, c'et une copie unique, qui n'a été vue que par Argento lui même, qui n'avait jamais été diffusée en salles et qui était sensée être la plus proche possible du négatif original. Ces longues explications pour indiquer au final, qu'après des centaines et des centaines de films vus en salles, la projection d'hier a été l'un des plus beaux moments de ma vie de cinéphile. C'est très simple, je crois que je n'ai jamais vu une copie de film aussi limpide, belle, au grain d'une finesse incroyable et permettant d'appréhender la moindre nuance colorimétrique. Une tuerie totale et je pense que tous les spectateurs présents s'en souviendont longtemps!! Le film était diffusé en double programme avec l'au delà de Fulci et mis côte à côte, il est vraiment amusant de voir le nombre de points communs entre les deux films: - un chien possédé par le démon qui étrangle son maître aveugle -deux films Italiens qui se déroulent à l'étranger et dans lequel l'élément d'extranéité est surligné par des scènes musicales locales (un concert de jazz dans l'Audela pour bien rappeler que le film se passe en Louisiane, des chants bavarois avec Lederhosen dans suspiria) - des meurtres dans des hôtels - des portes secrètes qui mènent vers des mondes parrallèles -etc...
  11. tromatoxic

    Le Chat qui Fume

    J'attends aussi avec beaucoup d'impatience ce Blackaria qui a l'air d'être tout ce que j'attendais d'AMER et que je n'ai pas trouvé.
  12. Vu en salles dans une 3 D particulièrement inefficace et inutile, puisqu'à part deux micro scènes, aucun relief, si ce n'est une légère profondeur de champ. Les points négatifs du film: - mise en scène pitoyable et surtout la scène du massacre du spring break censée être le clou du film qui est carrément illisible : une succession de gros plans hystériques sans plan d'ensemble, on dirait du M. Bay - scénario débilos de A à Z et invraisemblances en tout genre (les cadavres qui flottent eux ne sont pas dévorés dans la scène du spring break, les flics qui tirent au fusil sur les poissons,etc...) - moralisation bien crétine : sous le couvert de deux ou trois nichons siliconés les valeurs prônées par le film sont la famille et la fidélité - mélange de scènes potaches et de scènes à la tension dramatique systématiquement désamorcée par le mélange des genres - musique top 50 bien pourrie Les points positifs : - j'y ai autant pris mon pied que lorsque j'avais vu DESTINATION FINALE 2 en salles, dont le film emprunte d'ailleurs beaucoup, dont la dernière scène. Au final, un tout petit film qui confirme bien le talent et l'ambition très limités d'AJA, mais ça fait quand même du bien de pouvoir voir de la série Z sur grand écran.
  13. Vu ce jour et plutôt une bonne surprise! Je m'attendais à du très formaté et en fait il y a un aspect mongolo très sympa, à la goonies. Pas mal de second degré, comme les enfers situés à Hollywood ou surtout une scène démente (SPOILER à venir) où les gamins prennent du LSD à LAS VEGAS A voir en famille pour entendre la réaction "Dis papa pourquoi les enfants ont des visions déformées et se sentent joyeux après avoir mangé les petites fleurs?" "Euh..."
  14. LA voix off qui se reprend c'est effectivement un must!! Quant aux changements de format, c'est en effet assez intriguant. Dans les bonus, il est expliqué que les bandes noires ont du être rajoutées numériquement lors de l'encodage du dvd, mais ayant vu le film avant les bonus, j'ai constamment pensé que le film est un rafistolage de divers films, aux formats différents, remontés ensemble. Ces doutes sont confirmés par certaines scènes avec la chatte blonde d'OLINKA qui se retrouve dans d'autres plans avec un beau tablier de forgeron bien noir. L'acrice bien velue est alors affublée d'une perruque gris/blonde... Sachant qu'OLINKA a oeuvré dans le porno sans complexe, pourquoi s'est-elle fait doublée ici dans certaines scènes érotiques ??? Si la version X ressort un jour en dvd, cela pourrait être sympa d'avoir les commentaires audios de Pallardy.
  15. J'ai acheté sur amazon le DVD sorti chez le chat qui fume. Le film, réellement stupide de bout en bout, est un vrai régal de bisserie. Spoilers possibles. On y retrouve une OLINKA gonflée de bourelets et seins pendants doublée en voix off par une voix de travelo pleurnicher car son compagnon la prostitue, mais incapable de résister à ce proxénétisme forcé. La grassouillette croit trouver refuge à Cannes pendant le festival où après s'être fait sauter par divers prétendus producteurs, elle finira par se reprostituer pour payer sa chambre d'hôtel. No future, prostitution for ever. Le film est tellement décousu qu'il ressemble d'avantage à un film à sketch, mais le plus intéressant reste son tournage en plein festival où l'on essaye de séparer le vrai du faux, de croiser des cameos dont JP.BOUYXOU me semble-t-il en paparazzi lubrique et rechercher les affiches de films de l'époque. L'image est de bonne qualité vu le produit, mais le reproche principal du dvd est de n'avoir édité que la version soft du film, à la différence par exemple du DVD de FLOSSIE sorti chez BAch film que j'ai achetée en même temps. Cette version sof enlève une bonne partie de l'intérêt du film car certaines scènes sont illisibles et surtout les scènes érotiques le sont assez peu puisqu'une fois enlevées les scènes X il ne reste plus que des gros plans sur des visages... Dommage
  16. Vu les chiffres dans le film français aujourd'hui. A peine 10 000 entrées. Consternant, mais cela étant vu le nombre de copies pas vraiment étonnant. A noter toutefois que le film est l'un de ceux à avoir l'un des meilleurs ratio de remplissage de salles. A part les ventes à l'étranger, comment un film peut-il se rentabiliser avec aussi peu d'entrées?? Ce qui est très inquiétant, c'est que quand on voit les 3 copies France d'AMER et le nombre inexistant de copies pour enter the void ou le guerrier silencieux, on peut très vite comprendre que des films de ce type n'auront tout simplement plus aucun avenir de sortie en salles dans les mois et années à venir...
  17. Vu en salles ce jour. Je suis sorti de la salle bien désorienté. Alors que je m'attendais à un drugsploitation avec plein de dope, de la techno et du cul, au contraire l'impression générale laissée par le film n'a rien de festive ou d'excitante. Puisque la mode est de parler de films sensitifs, je dirai qu'effectivement Enter the void est très sensitif, mais ce qui prime c'est la mélancolie, la tristesse, le lugubre et le romantisme au sens littéraire du terme. Les scènes de drogue ne durent qu1/5ème du film et le reste traite, d'une manière plutôt émouvante d'ailleurs, d'amour et d'abandon. J'ai été assez surpris aussi par le ton plutôt réac du film. Aucune apologie de la défonce, c'est même plutôt le contraire les drogues étant quasiment toujours présentées sous un jour défavorable. Aussi réac dans une scène qui est la plus glauque du film (attention spoiler) et qui se passe chez un gynécologue. S'agissant des 5 dernières minutes du film, au contraire de ce que j'ai pu lire partout, je ne les trouve pas si niaises que cela. Elles sont en fait très cohérentes avec l'esprit du film. En bref, je n'ai peut-être pas été autant emballé que je ne pensais l'etre, peut-être car cela ne correspondait pas à ce que j'attendais (j'attendais un More ou un Trainspotting alors que s'il y a un film auquel Enter the void fait penser c'est Trois couleurs Bleu de Kieslowski). Cela étant, le film reste plus fréquentable que 99 % de ce qui sort en salles.
  18. Excellent film! Un souvenir terrible! J'avais pu le découvrir en cachette un soir où mes parents étaient partis, diffusés sur FR3 avec un carré blanc. Un de mes premiers traumatismes, confirmé quelques années plus tard par son remake de Michel Ricaud, un des films les plus trashs qui existe.
  19. A noter que seule l'affiche l'affiche française insiste sur les scènes de weed en insistant sur la "participation" de Michel Blanc et en choisissant des couleurs rappelant l'affiche d'époque de "marche à l'ombre". Sinon, j'ai un souvenir très lointain, mais plutôt bien sympatoche, du film. A revoir.
  20. Très déçu. C'est fade, presque téléfilmesque et cela ne dégage absolument rien. Rien ne remplacera la force visuelle de la vision de la comtesse dans les "contes immoraux".
  21. Vu hier soir en salles à Lille lors d'une projection unique et exceptionnelle en présence des deux forts sympathiques réalisateurs et suivi d'un débat passionnant avec ces deux derniers dans une salle pleine. Mon bilan est plutôt mitigé. D'un côté, AMER est exactement le genre de film qu'on a envie de défendre pour son audace et son originalité. De l'autre, 1H30 de gros plans sur des yeux et des bouches avec des bruits de piétinement de gravier en fonds sonore, cela devient très vite horripilant. Là où je suis totalement rentré dans le guerrier silencieux, qui est peut-être pourtant un film encore plus difficile qu'AMER, j'ai eu beaucoup plus de mal à pénétrer le film des deux réalisateurs. Ces deux films dits sensitifs se distinguent en réalité totalement, le guerrier silencieux magnifiant des cadres fixes qui laissent le temps d'être hypnotisés alors qu'au contraire le montage épileptique d' AMER rend très difficile cette immersion. De même, alors que la musique du guerrier silencieux transporte, celle d'AMER est réduite, malgré ce que j'avais pu lire avant, à seulement 4 ou 5 morceaux repris de giallo, le reste du film étant hélas silencieux ou bruyant. Enfin, les trois parties du film s'harmonisent plutôt mal. La première reprend l'esthétique de BAVA, tirée davantage des trois visages de la peur et d'une hâche pour la lune de miel, que de ses purs gialli. Elle s'avère interminable et accompagnée de scènes parlées qui nuisent à l'ensemble. La seconde lorgne plus du côté des films de Breillat ou de Kahn (grand bonheur) et s'avère très courte alors que c'était certainement la plus intéressante à développer. La troisième, la seule à utiliser à 100 % les codes du giallo pour les transposer au scenario, est la plus réussie mais entre temps le spectateur a déjà décroché. Brefs des réals à suivre c'est certain, même si pour moi j'ai râté le train.
  22. Vu en salles ce jour à Lille au cinéma le majestik lors d'une excellente soirée consacrée au cinéma trash japonais avec l'embryon en première partie et le bullet ballet de Tsukamoto en double feature. Un peu déçu tout de même, bien que ce soit un réel plaisir de découvrir ce genre de films en salles. Une photo léchée et quelques très belles scènes (des surimpressions magnifiques, des scènes dérangeantes relatives à la stérilité du personnage principal par exemple). Mais bon... c'est quand même un type qui tabasse sa bonne femme pendant 1H30 avec des enjeux plutot bancals et confus. La musique est assez agaçante et ne colle pas du tout avec le film. Je l'aurais peut-être plus apprécié si je n'avais au préalable pas déjà vu 36 films sur le même sujet (l'obsédé de Wyler, le miel du diable de fulci, la prisonnière, etc...) Cela étant en replaçant le film par rapport à sa date, il est vrai que pour l'époque la chose devait être impensable.
  23. Rappelons quand même que ce genre de merde est financée par le CNC via les places de cinéma que nous payons...
  24. Tout comme DPG! Vu en salles aujourd'hui dans une salle hélas quasi vide. En fait ce film est exactement ce que j'attendais et je ce que je n'ai pas trouvé dans Antichrist. Prenez la meilleur partie du film de Lars Von trier, à savoir pas celle qui s'étend sur le pathos doilonesque et hurlant des personnages, mais celle mystique, sataniste et animiste et vous aurez une petite idée du film. Ca m'a beaucoup fait penser aussi aux films de Dumont. Des dizaines d'interprétation possibles, un film d'une richesse énorme. On est captivé du début à la fin et on a vraiment pas envie que ça s'arrête. Tout le monde l'a dit aussi, mais la photo et la musique (putainnnnnn la musique!!!!!) sont des tueries!!!! A voir absolument en salles tant l'ambiance est immersive. Totu comme DPG je crois que j'aurai beaucoup de mal à le revoir chez moi en video par peur de ne pas retrouver les mêmes sensations.
  25. Vu aujourd'hui en 3D dans une salle archi comble. Mon avis rejoint celui de la plupart d'entre vous. Immersion totale, images magnifiques mais scénario hyper basique (pocahontas meets la forêt d'Emeraude). Le film fait beaucoup penser à TITANIC et en reprend le style musical et la construction narrative (en gros, romance pendant la première moitié et action movie spectaculaire dans la seconde). La 3D n'a pporte rien à part une profondeur de champs (je n'ai cligné les yeux qu'une fois lorsqu'un fumigène a rebondi dans la forêt pour jaillir dans la salle). Point assez agaçant toutefois s'il fallait être pointilleux, une bonne douzaine de gros zooms agressifs style caméra à l'épaule, façon jess franco ou les bronzés 3, en totale contradiction avec le style général léché du film.
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