Aller au contenu

Nice Panda

Members
  • Compteur de contenus

    2 925
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Nice Panda

  1. C'est rigolo, j'ai, hier, justement commencé à mater la série Rubicon et le premier truc auquel on pense forcément (vu le point de départ fortement similaire) est ce film-ci. Lequel se regarde sans être effectivement inoubliable...
  2. L'une de mes plus grosses déceptions de spectateur. Je n'arrivais pas à croire, sortant de la salle, que c'était le réalisateur des "Dawn..." et "Day of the dead" qui avait pondu ça. Revu depuis en dvd et, si l'ensemble reste somme toute fort regardable, je trouve qu'il ne s'élève également guère plus haut que L'armée des morts de Snyder. Soit loin, très loin de la trilogie originelle... Et encore ne savait-pas, à l'époque, que le pire restait à venir...
  3. Sorti cette semaine (et, sauf erreur, seulement en 2D) dans la confidentialité la plus totale. Quelqu'un a vu ?
  4. Vu que DPG avait, peu ou prou, écrit la même chose de "L'Apollonide", je vais soigneusement m'abstenir pour celui-ci...
  5. Ah, ah, c'est exactement ce que je pensais. Vous aimez pas, o.k., je crois que tout le monde a compris. Je ne vois pas non plus trop l'intérêt de sans cesser venir poster, juste pour continuer à défoncer le film. Ou alors montez carrément un site anti-Zombie, histoire de fédérer les sympathisants.
  6. Je l'aime bien aussi mais disons qu'il vise une montée en Ligue 1 là où le premier "Hyper Tension" a déjà remporté le championnat - et que sa suite atteint carrément les poules finales de la Champions League...
  7. Nice Panda

    Barb Wire - David Hogan (1996)

    C'est, je crois, Adam Rifkin qui devait réaliser (voire avait même commencé le tournage) avant de se faire lourder et on peut imaginer qu'il aurait apporté quelque chose en plus. Mais même en l'état, c'est vrai que ça se regarde sympathiquement...
  8. Je ne trouve pas forcément utile de publier des avis tout juste destinés à démonter. Mais, en l'occurence, si ça pouvait aider qui que ce soit à éviter le désastre... Je voulais aller voir "Restless", ma tendre et chère ce film-ci : ce que femme veut - d'autant que je lui avais quasiment imposé "Warriror" lors de notre précédente séance commune. Et puis javais, malgré quelques défauts, bien aimé "De la guerre" (le précédent long de Bonello. enfin, je crois, j'ai la flemme de chercher) donc, pourquoi pas... Mais là, c'est, pour faire court, tout juste le pire truc vu depuis des lustres et sans doute l'un des pires tout court subis au cours de mon existence de cinéphage. Insupportable de la première à la dernière image (enfin, presque, le générique du début est pas mal), lent, mou, chiant, long (l'impression que le tout dure huit heures), creux, d'un vide abyssal, poseur à un point qu'il n'est pas permis, prétentieux, uniformément mal joué et dôté d'un final au mieux maladroit, au pire carémment douteux. Au moins une demi-douzaine de départ durant la projo et à chaque fois l'envie de les suivre (même que j'aurais du : la vie est trop courte pour s'infliger ce genre de souffrance). Les mauvais films peuvent ennuyer : celui-là parvient à carrément énerver. Heureusement que le "Judge Dredd" (revu, en rentrant de la séance, sur NRJ 12) m'a en partie lavé de cette infâmie (même si on peut dire que c'est soigner le mal par un autre genre de mal).
  9. Antal a quand même un chouette sens visuel. Et parvient à rendre son film regardable grace à sa seule mise en scène (et au fait que le tout excède à peine une heure vingt). Ce qui reste une surprise quand on a vu "Predators"... Ca me donne, du coup, presque envie de tenter "Motel", tiens...
  10. Ouais, bon, je suis encore bien loin de tout ça puisque je viens de finir la saison 2 mais qu'il n'est pas sûr que je continue tellement ce fut lloooonnnggg vers la fin. On ressent clairement la filiation avec "The Shield" tant la présente série commence à présenter les mêmes tares : persos unidimensionnels, jeu figé de chaque acteur (une expression arborée de bout en bout), testostérone à outrance (même les filles ont des couilles. Les autres sont putes et/ou soumises), accumulation de péripéties sans le moindre souci de crédibilité jusqu'au n'importe quoi le plus total - ça passerait quand même mieux avec un minimum de cohérence et de logique. Fatigué j'étais... Et j'ai cru comprendre que ça s'agravait encore dans la suite...
  11. Tss, tss, tss... La provocation a ses limites...
  12. Bof, on a vu bien pire dans le genre, non ?! Le plus gros défaut du film, c'est surtout de venir après l'insurpassable chef-d'oeuvre que constitue le deuxième volet - même la paire Neveldine-Taylor aurait eu du mal à faire mieux...
  13. Le meilleur Lee, pour moi : peu connu mais vraie bonne surprise. Sa filmo, sinon, alterne les vrais moments inspirés avec d'autres plus embarassants. Son virage mainstream abordé depuis quelques années ("24 heures avant la nuit", "Inside Man") est, je trouve, loin d'être déplaisant...
  14. Nice Panda

    Giallo - Dario Argento (2008)

    Une pensée émue pour Vincent Gallo qui devait jouer le rôle principal (récupéré par Brody) avant de tout laisser choir afin de filer sur le plateau du "Tetro" du Coppola. Ce qu'on appelle de la lucidité (ou de l'opportunisme, c'est selon)...
  15. Mais non, faut pas dire ce genre de choses. Profitons-en plutôt pour tenter de répertorier les films incluant Alice dans leur titre : - "Alice's restaurant" (A. Penn) - "Alice au pays des merveilles" (Disney, T. Burton, etc...) - "Alice doesn't live anymore" (M. Scorsese) - "Alice ou la dernière fugue" (C. Chabrol) - "Qu'est-il arrivé à tante Alice ?" (Lee H. Katzin) - "Alice" (W. Allen) ... et j'en oublie certainemenbt plein. Etonnant, non ?
  16. Nice Panda

    Kikoo lol

    C'est exactement ce que je venais écrire. Mais rien que pour l'association Muppets-Maynard (dont nul n'oubliera jamais son apparition dans "Crank 2"), respect et bottine.
  17. O'Connor parvient, par sa seule mise en scène (notamment une chouette utilisation de la musique), à une réelle émotion dans sa scène finale - ce qui fait quitter la salle sur une bonne note et donne presque envie d'oublier ce qui précède. Parce qu'avant ça, merci bien ! On dirait qu'il a fait le pari d'inclure tous, mais alors absolument TOUS, les clichés du film de baston. En prenant soin de bien appuyer sur le pathos et sans même faire gaffe à respecter la plus élémentaire crédibilité (que ce soit au niveau des combats ou des fighters : le tournoi central étant, par exemple, censé ne regrouper que des poids moyens alors que le Koba dépasse allégrement son quintal). Soit ce qu'on pouvait déjà reprocher à son "Pride and Glory" - sans compter que c'est, en plus, globalement assez mal joué, à part Joel Edgerton à qui de belles choses sont promises s'il ne fait pas n'importe quoi en terme de choix de films... Après, on ne sent pas trop passer les 2h20, mais faut être prévenu de ce qu'on vient voir...
  18. Un article dans un Mad de l'époque listait (de manière plus ou moins exhaustive) les fort nombreux projets de remake (dont certains signés James Cameron ou Oliver Stone) dont certains semblaient vraiment barrés et, en tous cas, bien plus alléchants que cet insipide objet ni fait ni à faire et qui ne ressemble effectivement à rien. Comme dit bien souvent, le début de la fin pour Burton...
  19. Nice Panda

    Snake Eyes- Brian De Palma-1998

    Et puis même que le fameux plan-séquence du début est en fait un faux, dans la mesure où il recèle plusieurs coupures habilement camouflées (et plusieurs fois révélées par DePalma himself).
  20. Nice Panda

    Dick Tracy - Warren Beatty - 1990

    Ouais, un peu facile. Et surtout, en l'état, bien injustifié. Car si je suis loin d'être un fan de ce "Dick Tracy" (qui s'inspire notamment bien trop du "Coup de coeur" de Coppola, lui piquant même Vittorio Storaro en tant que chef-op, sans parvenir à en restituer ne serait-ce qu'un quart de son étrange beauté plastique), attaquer Beatty sur son intégrité artistique confine au non-sens. Que ce soit en tant qu'acteur (on l'a vu jouer, et bien, chez Kazan, Altman ou Penn), producteur (il a notamment été l'instigateur de "Bonnie and Clyde" et a ainsi ouvert la voie à ce que l'on nomme le "Nouvel Hollywood") ou réalisateur ("Reds", "Dick Tracy" qui, même raté, reste une expérience particulière ou le mordant "Bullworth"), le bonhomme ne s'est pas contenté de son image de playboy et a souvent pris part à des oeuvres atypiques qui, sans être d'inoubliables masterpieces, avaient le mérite d'au moins proposer quelque chose d'original (y compris dans le contexte du ciné américain des seventies). Mais bon. Pas certain, si on devait regrouper les citations pertinentes de Rourke, qu'on parviendrait à remplir le recto d'un carré de P.Q. - d'autant qu'en films de merde, pour rester dans le sujet, il en connait un rayon (on ne lui fera même pas l'insulte de comparer sa filmo à celle de Beatty). Sacré Mickey...
  21. Comme dit plus haut, c'est marrant et on ne s'ennuie pas, ce qui est quand même ce qu"on demande à une comédie. Après, y a rien de révolutionnaire non plus, ça suit le parcours plus ou moins balisé de la comédie romantique labda et si la forme affiche quelques gags trashs rigolos, le fond ne diffère finalement pas beaucoup d'un produit du même type moins provoc. Une pure prod Appatow, en somme...
  22. Eh, les gars, ce serait sympa d'utiliser les balises spoilers quand vous abordez le sort de certans persos...
×
×
  • Créer...