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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. TT#20 https://fr.ulule.com/trashtimes20/
  2. Kerozene

    TOP 2010/2019

    Mes 12 films de la décennie: Grave - Julia Ducournau, 2016 La forme de l'eau - Gigi del Toro, 2017 Detroit - Kathryn Bigelow, 2017 Ugly - Anurag Kashyap, 2013 The Act of Killing - Joshua Oppenheimer & Christine Cynn , 2012 La planète des singes: Les origines - Rupert wyatt, 2011 Drive - NWR, 2011 Climax - Gaspar Noe, 2018 Zoo - Antonio Tublen, 2018 Joker - Todd Philipps, 2019 Duke of Burgundy - Peter Strickland, 2014 Les garçons sauvages - Bertrand Mandico, 2017
  3. Kerozene

    Knives Out - Rian Johnson (2019)

    C'était sympathique, amusant, bien écrit, mais ça ne parvient jamais non plus à décoller complètement. Néanmoins, c'est bien plus recommandable que le dernier "Crime de l'Orient Express".
  4. C'était vraiment très très fun.... Je n'ai aucune idée de comment certaines scènes sont faites, c'est complètement WTF, et très impressionnant. Encore!
  5. C'était très sympa, une sorte de "Brazil 2010" afro-américain avec un côté WTF assez jouissif. Le discour social est (volontairement) carricatural, sans être à côté de la plaque pour autant. Il y a plein de chouettes idées de mise en scène, et le casting est attachant - en particulier l'acteur principal. On est tout de même loin du claquage de beignet pour ma part, mais c'est fortement recommandable.
  6. Kerozene

    Vos concerts bis

    PARACELZE Cet étonnant trio lausannois batterie/basse/violon + bidouillages électroniques produit une sorte de krautrock tantôt groovy, souvent crasseux, en détournant ses instruments de leurs usages de base. Ne sachant pas du tout à quoi m'attendre, je fus totalement surpris et séduit par le résultat qui ressemble à peu près à rien d'autre que du Paracelze.... ce qui, en 2019, relève purement et simplement de l'exploit. CHARNEL GROUND J'étais venu pour eux, car on pouvait lire: "Charnel Ground est un « supergroupe » combinant les talents de trois figures de la scène rock new-yorkaise: Chris Brokaw (Come, Codeine) à la guitare, Kid Millions (Oneida, Man Forever) à la batterie et James McNew alias Dump (Yo La Tengo) à la basse – ce dernier étant remplacé sur cette tournée par Doug McCombs, le bassiste de Tortoise!" Je n'ai jamais été fan de Tortoise, mais j'aime bien Oneida..... Résultat: si le batteur s'est hautement distingué lors de ce gig qui ressemblait d'avantage à une jam qu'un concert, c'est peut-être parce que je ne suis pas objectif. Brokaw a aligné les solos de guitares sans beaucoup d'inspiration, McCombs faisait du Tortoise (c'était chiant) et Millions a brillé. Sauf que bien sûr, les morceaux sont écrits et qu'ils sont bien flemmards, ce qui rend ce projet Charnel Ground finalement bien peu pertinent. Bref, Paracelze a sauvé la soirée.
  7. J'ai baucoup aimé de "Knives and Skin" - et pas du tout "Jessica Forever".... Cui Cui: choisis tom camp!
  8. Très belle surprise que ce "Doctor Sleep", j'ai été happé par le film du début à la fin et les 2h30 sont passées comme une lettre à la poste... Un vrai plaisir! La mise en scène de Flanagan est assez classieuse, élégante, tout en étant très solide. Côté casting, c'est un sans faute, et merci de ne pas . Il est vivement conseillé de revoir le film de Kubrick avant afin de profiter des nombreux clins d'oeil à ce dernier - rien d'indispensable, mais ça rajoute clairement au plaisir du visionnement. J'ai aussi été marqué par le soin apporté aux ambiances sonores - pas forcément en ce qui concerne la BO (par ailleurs excellente), mais plutôt au mixage sonore en général qui attise de manière particulièrement efficace la tension de certaines scènes. Au final, sans non plus prétendre au chef doeuvre, le film de Flanagan est l'une des belles réussites de l'année.
  9. Merci à la télé suisse d'avoir proposé cette séquelle dont j'ignorais l'existence. Je confirme. Absolument pas. Le recyclage a ses limites, et "Rings" les a largement dépassées. Après une ouverture WTF où Samara surgit des écrans d'un avion de ligne, le film tente de faire le malin mais se prend les pieds dans le tapis. Curieusement, Vincent D'Onofrio vient cachetonner et comme d'hab, il en impose. Mais c'est bien le seul.
  10. Vu ce week-end: c'est super! Le générique d'ouverture est un hallucinant festival de cascades en voitures absurdes signé Rémy Julienne, Miou-Miou et Bernard Menez vont bizarrement très bien ensemble, les douaniers suisses sont ridicules, il y a des "caméos" de Dewaere et Jugnot... Ca mérite une petite réhabilitation. [dmotion]x185kon[/dmotion]
  11. Kerozene

    Vos concerts bis

    Je suis sûr d'avoir vu The Oh Sees.... Mais m'en rappelle pu....
  12. Kerozene

    Vos concerts bis

    Acid Mothers Temple & the Melting Paraiso U.F.O. Ils tournent sans arrêt depuis 25 ans, et je ne les avais jamais vus- Voilà qui est chose faite avec un nouveau line-up qui comprend un chanteur tête-à-claque fringué en gourou de secte façon Osho mais sans la barbe - celle-ci étant réservée aux membres d'origine d'AMT - dont le guitariste Kawabata Makoto, hallucinant Jimi Hendrix nippon qui garantit un minimum de sons supersoniques. Après une ouverture tonitruante, le concert m'a lentement lassé, principalement à cause des chants aux consonnances celtiques du gourou... Makoto était un peu effacé, comme en retrait pour laissé la place aux jeunes.... Thurston Moore Moore est venu triturer de la 12 cordes pour offrir un live du premier morceau de son dernier album, "Spirit Counsel". Un album 100% instrumental sur lequel se trouvent 3 morceaux pour une durée totale de 2h38! Sur scène, c'était un seul morceau, 1h15 de live, plus un rappel de 15/20 minutes. La formation en quartet comprend deux guitares 12 cordes, une basse 6 cordes et batterie. Et pour qui aime les arrangements dissonnants de Moore, c'était superbe.... on passe par de nombreuses ambiances allant d'une planante tendresse au chaos sonore. C'était vraiment très très bien!
  13. Kerozene

    Vos concerts bis

    Connais pas Human Leather.... ça a l'air super!! Je vais me plonger dedans....
  14. L'intro est un peu tape à l'oeil, et la dernière partie est d'une monstrueuse flemmardise mais entre les deux, c'est du bonbon!
  15. Kerozene

    Vos concerts bis

    Vu le mois dernier..... c'était chiant
  16. Kerozene

    Terminator 17 - Tim Miller (2019)

    Pareil.... L'ouverture m'a un peu foutu les boules, les SFX de la première attaque du Rev-9 sont d'une laideur hallucinante, sans parler des T-800 aquatiques qui semblent sortir d'une prod Asylum... et au final, avec ses scènes d'action totalement WTF et ses dialogues complètement à la ramasse, je me suis retrouvé dans une parodie de Terminator et je me suis amusé comme un gosse. Considérer le film comme un "vrai Terminator" ne peut que déboucher sur des discours de haine.... Déjà que je ne peux pas encaisser T2 qui était un foutage de gueule par rapport au premier
  17. Running Man par Bachmann/King On ne sait pas trop comment Steven E. de Souza, scénariste de l'adaptation, en est arrivé là où il est arrivé, mais le bouquin n'a rien à voir avec le film. On garde l'idée d'un jeu télé dans une société facho-futuriste inégalitaire et le nom du héros (Ben Richards), et pis c'est tout. Ici, Richards est un chômeur marié à une fille qui fait le tapin pour pouvoir nourrir sa famille. Leur fille souffre d'une pneumonie et est à l'article de la mort. La situation pousse Richards à se lancer dans un jeu TV suicidaire qui le fera courrir à travers plusieurs états de la côte est. C'est du polar poisseux et ultra violent, à l'opposé de la gaudriole disco-lycra de Paul Michael Glaser. J'avoue que je ne m'attendais pas à autant de noirceur de la part de King - un zonebisseux m'avait pourtant bien dit que Bachmann, c'est du King en plus costaud... il avait raison. Bref, c'était très bien.
  18. Complètement aligné avec la prose de Lord Rutven... C'était visuellement affreux, les acteurs sont tous à la ramasse, et les personnages écrits avec le pied gauche, comme le reste d'ailleurs. Après 10 minutes d'introduction, il est possible de prédire les 90 minutes restantes en 2-3 lignes. Bien dommage. Sinon j'ai beaucoup ri au retour de Rambo sur le territoire de l'Arizona: en fait, traverser la frontière en lousedé, c'est vachement simple
  19. "Dirty Sexy Valley" d'Olivier Bruneau On a des étudiants sexuellement hyperactifs qui se réunissent dans un chalet pour une orgie de sexe et d'alcool, et une famille de dégénérés qui pue la charogne et charcute du randonneur dans la bonne humeur. Le cadre semble être celui d'un film d'exploitation moite et gentiment craspec, mais Bruneau l'explose complètement en allant très loin dans le cul (c'est donc un roman pornographique), le crade, et l'ultra-violence. Le cocktail des trois est assez jubilatoire, d'autant plus que la plume de l'auteur est très agréable à lire et que c'est bourré d'un humour souvent douteux qui fait du bien. On sent que le mec s'est fait plaisir en écrivant ce truc, comme si il avait mis à plat le film d'exploitation ultime dont il a toujours rêvé, et on se met alors à imaginer - non sans un petit plaisir pervers - une adaptation cinématographique de la chose.
  20. C'est pas ouf, mais dans le genre ça fait le job. De l'humour graveleux qui fonctionne plutôt bien, du gore gras qui tranche dans le lard, un rythme soutenu (77 minutes au compteur, ça suffit), des rednecks franchouillards et aucune prétention. Après, c'est sûr que si on n'est pas client de ce genre de truc, mieux vaut passer son chemin.
  21. Je l'ai revu il y a un mois et demi avec mes filles.... Ma réjouissance a vite fait plouf, car si je n'avais jamais trouvé l'ensemble brillant, je n'avais pas non plus réalisé à quel point c'était mal tourné - et surtout mal monté. Si on exclut les scènes de SFX, il ne reste malheureusement plus grand chose de valable. Je vais tout de même revoir le 2 qui avait autrement plus de tenue.
  22. Je vais me mettre burialoftherats à dos Franchement, je ne pense pas - j'ai vu "Tango & Cash" à sa sortie avec mon oncle qui avait 40 balais, il avait autant prit son pied que moi Edit: ah non, après réflexion, il n'en avait que 30.... mais est-ce que ça change vraiment? Ah ben si, complètement, car là où F&F8 devenait justement ce qu'il se faisait de mieux dans le genre (de l'actioner à la dégénérescence hénaurmissime dans lequel on garde une tonalité aussi sérieuse qu'un juge de paix), ce spin-off ne mise que sur un face à face qui se résume en un gros coup de coude dans les côtes du spectateur tout en lâchant des perlouzes odorantes. Jamais je n'aurais pensé dire ça, mais je pense que l'absence de Vin Diesel à la production nuit gravement au film. Ah là on est d'accord..... Et c'est pas le tour de biceps qui rattrape le truc. Résultat, c'était triste comme un tartine de beurre non salé: tu as tous les ingrédients pour que ce soit excitant, mais ça n'a aucune saveur. Et c'est aussi pour ça que "Tango & Cash" est plus réussi que ce truc-là.
  23. Je ne te rejoins pas complètement, j'ai trouvé que le film osait une mise à nue franche et sans filtre du personnage. Alors certes, ce n'est pas parfait, il y a des longueurs, voire des errances qui ne sont sans doute pas sans rappeler celles de la vie de Darc lui-même, mais c'est surtout tellement plus sensible et plus intéressant que le tout-venant du doc musical qui aligne sans saveur les interviews face caméra de personnes ayant côtoyé l'intéressé.
  24. Kerozene

    Yves - Benoit Forgeard - 2019

    Vu hier, et si le film pose des questions intéressantes et propose quelque chose de différent du tout-venant de la comédie française, il ne tape pas forcément juste. J'ai été particulièrement agacé par des personnages irritants du fait de leur incapacité à prendre les bonnes décisions, ou à prendre des décisions tout court... Reste quelques scènes plutôt plaisantes, et quelques gags réussis généralement situés en-dessous de la ceinture.
  25. Ah mais je kiffe depuis bien longtemps!
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