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Kerozene

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Tout ce qui a été posté par Kerozene

  1. Kerozene

    Vos concerts bis

    Oulah, 71 minutes! Pas le courage Mais quelle intro!!!
  2. Kerozene

    Luz - Tilman Singer - 2018

    Ouais mais là non, rien à voir, vous pouvez y aller sereinement....
  3. Kerozene

    Luz - Tilman Singer - 2018

    Moi aussi, j'ai adoré.
  4. Ben Affleck anecdote pas si drôle: j'ai vu le Batman vs Superman avec mes filles il y a 3/4 semaines, et elles m'ont dit: - Quand est-ce qu'on regarde Justice League - Il faut attendre qu'il sorte - Mais papa.... il est déjà sorti, et rappelle toi: tu as été le voir au cinéma. - .... Depuis, je n'en ai toujours aucun souvenir.
  5. Kerozene

    The Predator - Shane Black - 2018

    Mouais. Une dirait une pub Nike ou Pepsi. Pour être clair, j'ai très hâte de voir le truc, mais cette BA - certes efficace - c'est de la merde. la BA de AvP était super, mais le film était de la merde. Il y a donc de l'espoir
  6. Vu avec mes mômes (vous pensez bien que sans eux, je ne m'y serais jamais risqué ). Si le film passe plutôt bien pendant 40 minutes (avec plein de clichés de college movies, mais aussi quelques belles idées de mise en scène - la scène d'ouverture est d'ailleurs vraiment très bien torchée), il plonge ensuite dans la fange sans honte ni hésitation. Et il y plonge en se donnant une certaine peine - c'est dire si il va profond. La dernière demi-heure est une hallucinante accumulation de détournements marveliens où les super-héros sont remplacés par des ados stéréotypés en armure qui lorgnent vers Iron Man et qu'on essaie de nous faire passer pour le contraire en soulignant (sagement) la présence d'un personnage homo dans la bande. Le final avec ses robots-tetris composant un mécha-machin achève le tout par une bonne dose de ridicule. Réaction grimaçante des gosses - qui n'avaient absolument aucune connaissance des Power Rangers avant ça -: "Mais c'est quoi ce film?"
  7. Kerozene

    Les films de canicule

    "QHS pour femmes" dans lequel deux bombasses nues en cage s'abreuvent mutuellement de la sueur de l'autre. Ca compte?
  8. Kerozene

    Geostorm - Dean Devlin - 2017

    C'était à chier. Voilà.
  9. Ah oui, c'était très bien! Me suis marré comme un gosse, c'est extrêmement divertissant, ça en fout plein les yeux, vraiment très cool. Le genre de film qui te colle un sourire en travers de la tronche pour un bon moment. Je pige pas trop le parallèle avec "Le Monde de Dory" qui était une merde
  10. Je l'ai regardé il y a peu, justement après avoir regardé le documentaire "Montage of Heck" sur Cobain. C'est pas mal du tout, avec un Matt Dillon tout jeune qui se démarque nettement des autres jeunes du film J'entendais l'autre jour un reportage radio qui parlait d'une petite ville en Suisse qui n'offre aucune activité à ses jeunes. Même pas un bar pour ceux qui on l'âge d'y aller - il y a bien le PMU du coin, mais il est squatté par les vieux poivrots agrippés à leur ballon de rouge.... c'est pas l'ambiance idéale pour des jeunes en pleine explosion de puberté. Du coup les mecs glandouillent près de la gare, fument des clopes ou des pétards, boivent des bières, et finissent par casser des bouteilles et commettre de menues déprédations juste histoire de tromper l'ennui. Rien de bien méchant, mais si personne ne fait rien ça pourrait ne pas s'arrêter là (la petite ville étant en train de bâtir de gros lotissements pas chers....). Bref, on est exactement dans le cas de figure décrit dans le film de Kaplan.
  11. Ed Wood: Comment Réussir (Ou Presque) À Hollywood Apparemment, ce manuel manuscrit par l'inénarrable Ed Wood n'a pas été publié de son vivant, et ça vaut certainement mieux pour lui Depuis ce qui semble être un piédestal, Ed Wood se pose en expert de la vie hollywoodienne, et explique par A+B la réalité du terrain, pour au final sommer les éventuels starlettes ou réalisateurs en devenir de NE PAS venir à Hollywood, et de laisser tomber tout espoir de réussite dans le monde du cinéma. L'ensemble ressemble à une mauvaise blague, mais celle-ci est truffée d'anecdotes certes futiles mais pour la plupart amusantes. Le plus énorme reste le passage où Wood dénonce les dérives actuelles: pour faire des entrées, les producteurs verreux mise sur d'avantage de sexe et de violence au détriment des scénarios. Il s'en offusque, ce qui est son droit, mais cite alors fièrement son "Orgy of the Dead" comme contre-exemple! Difficile de prendre tout cela au sérieux... cependant, on devine une certaine amertume inavouée entre ces lignes pleines de désillusion.
  12. C'est par là: http://www.zonebis.com/forum/viewtopic.php?f=36&t=1920&p=116742&hilit=Shyamalan#p116742
  13. Je me suis bien bidonné, mais le film laisse effectivement l'impression d'un final "à la Edika", dans le sens où Dupieux ne sait finalement pas comment conclure son délire (il ne s'est pas encore mis en scène lui-même en train de butter sur son scénario, mais on n'est pas passé loin). après c'est simple, cash, Poelvoorde est très bon et comme tu dis, ça ne tire pas en longueur.
  14. Oh ce n'est pas pour moi, mais pour le peuple français. et qu'est-ce que t'en sais d'abord que j'achète pas tes titres?
  15. J'ai moi aussi de la tendresse pour ce titre déglingo qui ne mérite pas sa mauvaise réputation. Ou alors un peu, mais je trouve les gens bien durs à son égard.... 5.4 sur imdb à l'heure qu'il est, c'est quand même vachement sévère... non? Tu me diras que "Ator" est à 3.9, alors bon, ça veut pas dire grand chose.... D'ailleurs, le Chat qui Fume, il veut pas nous faire un beau combo BluRay avec la tétralogie Ator? Hein? Plutôt que de nous sortir des giallo à la con...
  16. Kerozene

    Climax - Gaspar Noé - 2018

    Bonne grosse claque dans la gueule pour ma part aussi. J'ai été complètement happé par le film qui j'ai vécu comme une expérience de cinéma hyper intense et super tendu. contrairement à la majorité des gens, c'est la deuxième partie qui m'a foutu par terre - même si la première est très bien, et permet justement à la seconde de te tirer vers le bas de manière bien moche. Entre les images en vomitovisions, les effets sonores spacialisés, et l'hystérie générale, j'en était presque tétanisé. J'avoue que ça m'a brutalement rappelé les moments les moins drôles de mes expériences de champignons/LSD, ce qui joue sans doute dans mon appréciation de la chose.
  17. Une idée de base avec un potentiel sympa. Un résultat mièvre d'un ennui profond. Après une heure intriguante, je me suis endormi deux fois, forcé de jouer du rewind. Un truc qui ne m'arrive jamais. Haine et destruction
  18. Kerozene

    Oldboy - Spike Lee, 2013

    Ah beh voui tiens.... vu il y a un ou deux mois. Si c'était pour en faire un tas de boue, Spike Lee aurait pu s'abstenir. C'est con, parce que j'aime bien ce que fait le bonhomme en général, mais là c'est juste papossible.
  19. Kerozene

    Vos concerts bis

    Comme les qdeux soirées ci-dessus, les mecs sont passés à Lausanne avant d'aller au Hellfest. Ce vendredi, c'était Powerstroke, et BODY MOTHER FUCKIN'COUNT!!!!!!!!! POWERSTROKE Bon, très franchement je n'avais jamais entendu parler de ce groupe de nu-metal belge. Un genre qui ne m'intéresse pas de toute façon. Au-delà d'un style musicale qui m'emmerde (du "méchant guturale" suivit de "bluettes vocales"), la prestation scénique était épouvantable, avec un chanteur qui débarque sur scène avec des Ray Ban "Top Gun", une chemise de bûcheron et un jeu de scène digne d'une.. buche. Comme pour boucler la boucle. Son jeu scénique est aussi statique qu'une statue du musée Grévin, je n'avais qu'une envie: le brûler. Le bassiste semblait être son papa, et le reste du groupe embarrassant. Ces petits cons ont quand même joués avec plein de groupes sympas, comme Crowbar.... BODY COUNT Le thrash/hardcore/fusion de Bodycount a toujours été bas du front. Je n'ai d'ailleurs jamais vraiment écouté ça chez moi tant ça m'use. Pourtant, il y a aussi un aspect complètement réjouissant. Ice-T et ses potaux n'ont semble-t-il jamais perdu de leur verve, ce qu'ils ont prouvé ce soir là les doigts dans le nez. Vulgaires comme des sales gosses de banlieues, agressifs comme des gangsters hirsutes, le groupe a fait son show mené par un Ice-T hyper charismatique, débordant d'efficacité. Avec ses 60 balais au compteur, l'ancien gangster de South Central LA a bluffé tout le monde à grands coups de "mother fucker" et de "ya bitch" sans jamais avoir l'air à côté de la plaque - ce que je craignais puisqu'il est désormais un millionaire se dorant la pillule à Beverly Hills ou un truc du genre. La salle était pleine à craquer, le public hystérique sautait dans tous les coins, et Ice-T a fait le papa-poule en présentant son fiston performer de 20 ans, puis sa fille de 2 ans (qui a dû bien morfler au niveau des décibels). 90 minutes de fun, avec un peu trop de solos et de blablas (histoire de faire la fine bouche), mais tout le monde s'est finalement bien marré, et c'est tout ce qui compte.
  20. Kerozene

    Vos concerts bis

    Hop, petite soirée musette avec le supergroup Dead Cross et Zeus! en première partie. ZEUS! Zeus! est un powerduo que j'aime bien mais sans plus. Du moins sur album. Mais sur scène, c'était une bonne petite claque bien sèche et bien placée, le truc qui te réveille dès les premières notes. Zeus!, c'est un bassiste et ses 200 pédales d'effet, et un batteur shooté au speed. Un line-up atypique d'une certaine manière, et pourtant typiquement italien. Ben si, prenez des groupes improbables comme Zu (saxo - batterie) ou Morkobot (2 basses - 1 batterie) qui balancent des morceaux speedés plein de notes bizarres, puis prenez Zeus!, et vous vous direz "je suis sûr qu'ils sont italiens". Bingo. Si l'écoute sur album me fatigue un peu parce que ça finit par se répéter et tourner en rond, voir leur prestation scénique est une toute autre expérience: ça envoie du pâté et c'est carrément réjouissant. Petit bonus, Justin Pearson (chanteur-bassiste de The Locust - Zeus! sont sur son label) est venu pousser la chansonnette sur un morceau, il n'en fallait pas plus pour me combler de joie. DEAD CROSS Dead Cross, c'est un vrai groupe, pas un supergroup (c'est ce qu'ils disent). Et ma foi c'est vrai, Dead Cross ne manque pas de saveur contrairement à la majorité de ce type de réunion. Ici, c'est Mike Patton au chant, Justin Pearson (The Locust, mais aussi Retox et plein d'autres trucs) à la basse, Dave Lombardo à la batterie (Slayer, Fantomas), et Michael Crain à la gratte (Retox). Leur musique: du hardcore bien speed et lourd. Le chant de Patton semble parfois un peu à côté de la plaque sur leur premier album sorti il y a un an, mais là tout sonait très juste. Patton, grimaçant, prend de poses à la Spider-Man, tire la langue, roule des yeux, Pearson se tortille dans tous les sens, Lombardo est caché par une batterie monstrueuse, c'est le super pied. Seulement voilà, le public semble ne pas tout piger. Ben non, ce n'est pas Slayer, ni Faith No More, c'est autre chose. Du coup, il est assez statique, malgré les appels au circle pit. Dommage. Après le rappel, l'intro reprend un riff bien connu de Slayer: hurlements de joie dans la salle! Patton se jette dans le public sans prévenir (il manque de s'éclater la tête tellement il n'y a pas assez de monde), puis le morceau vire sur le tube "Easy" de Faith No More. Les fans de Patton s'aglutine autour de lui pour l'accompagner dans le refrain, et tout s'arrête abruptement à la surprise et au désaroi de la majorité du public. Une façon de dire "Nous ne sommes ni Slayer, ni Faith No More, nous sommes Dead Cross et on vous emmerde". Du pur génie!
  21. Kerozene

    Vos concerts bis

    NEUROSIS Enfin!!! Après les avoir loupés moultes fois, j'ai enfin pu me prendre la baffe sonique qu'est Neurosis sur scène! Et c'est vraiment très très bien foutu, c'est carré, c'est ciselé, c'est net.... trop net peut-être. J'espérais quelque chose d'un peu plus craspec. Comme sur les albums, le quintet évolue dans des compositions qui semblent toujours prêtent à éclater, à t'arracher la tête, mais le seuil n'est jamais franchi, on reste sur le fil du rasoir, le groupe évoluant dans une sorte de retenue quasi-sadique. Il y a quelque chose de frustrant dans la musique de Neurosis, et en même temps, c'est ce qui fait leur singularité: ne jamais s'aventurer là où n'importe qui d'autre s'aventurerait. Néanmoins, quel bonheur de subir ces riffs en live - je les trouve toujours trop étouffés sur leurs albums, comme masqués par une couche de coton. Là c'était juste: lourd, fort, puissant. Les vocalistes sont étonnants (et ils ont de vraies belles voix de crooner quand ils le veulent), le clavier est super poilant à marteler ses touches à coups de poing, le batteur homérique... bref, du tout bon.
  22. Je suis d'accord avec Cyril: ce film pue du derche. Dès que l'action se déroule en dehors de l'île, le film s'enlise dans une monotonie crasse métant en scène des personnages sans relief face à des enjeux jamais crédibles (enjeux ou situations, voir le machin de 25 tonnes qui fait des claquettes sur la verrière sans passer à travers). Comme points positifs: la révélation sur la gamine et le final qui laisse augurer un futur volet où ça va enfin être le bordel. Pour ma part, je préfère 100 fois le volet précédent qui était certes teubé (mais pas plus que celui-ci), mais avait les atours d'un vrai roller-coster avec des gros lézards râleurs et des plans qui t'en foutaient plein les yeux.
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