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Furious 7 (James Wan - 2014)


Nice Panda

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Septième chapitre du truc, cette fois-ci réalisé par James Wan (dont on se demande un peu comment il s'est retrouvé là) et dont le dernier spot a été diffusé avant-hier, durant le Superbowl :

 

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Au vu des derniers plans, je pense que, c'est bon, même Bekmambetov peut aller se rhabiller.

 

En bonus, histoire d'illustrer la fine poésie qui sera distillée tout au long du film :

 

 

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  • 1 month later...

 

Passons vite fait sur l'intrigue décousue et aussi débile que le reste de la saga, sinon plus. Pas grave, c'est peut-être l'épisode qui contient le plus d'action. Donc fini les interminables scènes de diners avec enchiladas et coronas, avec animosité de pacotille ou regards croisés on-est-une-belle-famille : ça s'enchaine à un rythme hallucinant, et tout les grosses scènes d'action sont plus chtarbs les unes que les autres, à faire pâlir Michael Bay. D'habitude, ça a tendance à m'endormir, mais ici les changement de décor, de véhicule, et de duo d'acteurs épicent un peu la sauce. James Wan épouse le style de Justin Lin, en ajoutant sa touche perso, en particulier un mouvement de caméra qu'il sur-utilise ici.

 

Le gros point fort également : tout le monde est au top, de l'équipe principale aux nouveaux persos secondaires. Comme Dwayne Johnson (ici un peu sous-exploité quand même) à l'époque de Fast Five, Statham et Tony Jaa font une sorte de renaissance, leurs scènes de combat étant très généreuses. Kurt Russell traverse le film à la cool, avec un perso qui évite de justesse le cliché de ce genre de film. Furious 7 inclut donc tous les persos de la saga, en faisant le lien final avec tous les autres films, en particulier Tokyo Drift dans une sequence un peu WTF

 

Et enfin cette fin, on l'appréhende, on sait qu'ils vont vouloir nous faire chialer, et on essaie d'être un grand bonhomme et de retenir ses larmes, mais ce plan final bordel, fallait le faire et ils l'ont fait.

Modifié par Invité
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Vu en compagnie de mon fiston Samedi soir.

Je suis toujours aussi peu client mais faut avouer que j'ai pas vu le temps passer et que point de vue action, ça n’arrête pas. Lui il a adoré.

Beaucoup moins dialogues et ça c'est bien aussi parce que le vrai problème de la série il est la : FAUT PAS QU'ILS PARLENT !!! Rodriguez et Diesel, c'est juste pas possible

Le final hommage est cousu de fil blanc mais j'avoue que même moi qui n'en ai rien a carrer, j'ai fait un pti snif.

Et une spéciale dedicasse inlove a la demoiselle qui donne le go du depart de la course de Rodriguez (la tatouée en "mini" jupe )

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Ca lui fait quel age maintenant a ton fils Bast ?

 

J'avais vu le Furious 6 avec le mien quand il avait 8 ans, ca lui etait passe completement au dessus de la tete. Par contre, la il a tellement kiffe le 7, qu'on a du se faire un marathon Fast & Furious pendant le weekend de Paques. Ce qui au passage me fait re-evaluer la saga. Par ordre de preference:

 

1. The Fast and The Furious: Tokyo Drift

2. Furious 7

3. Fast Five

4. 2 Fast 2 Furious

5. Furious 6

6. Fast & Furious (4)

7. The Fast and The Furious (1)

 

 

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13 ans fin mai cette espèce de grand machin tout poilu avec la voix qui mue et qui fera je pense une bonne tête de plus que moi l'année prochaine .

On peux dire qu'il est en plein dans la cible et qu'il est super fan depuis le début.

Marrant que tu mette Tokyo Drift en premier, dans mon souvenir c'est le pire mais bon encore une fois je suis la série de trés loin. Je ne crois pas avoir vu le 6 par exemple

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  • 2 weeks later...

c'est pas mal, j'y suis allé en imax mais alors la VF c'est pas possible, ca ressemble à de la série TV de l'après midi sur france 3. Après ca dépote tout du long, j'avais un peu peur dans les 15 premières minutes que ca talonne sur la revanche de statham mais ca va super loin dans le n'imp. ca démarre sur une comparaison entre la [placement produit] corona, la pire bière du monde avec de la bière trappiste boum .

la suite devient de plus en plus rock'n'roll et généreuse en action, en personnage haut en couleur, tony jaa et kurt russell et les 854 kg de the rock sont parfaits. La nana garde du corps du prince doit faire 90kg de muscle, sa robe va craquer, elle m'a fait flippé. Statham est flippant aussi, ses interventions pourraient terminer le film en moins de 10 minutes mais ca passe à chaque fois à un poil de cul. Et les bastons corps à corps, depuis le 1er fast& furious, ils sont tous devenus ninja. Ca tape limite entre mission impossible et Gi Joe, les marketeux de la sécurité routière ont dû chopper des AVC.

Y'a des concepts espace-temps super louches, tout se passe merveilleusement le lendemain ou dans quelques heures, mais pile poil le temps de fabriquer des voitures increvables ou de monter un plan plus vite que tom cruise.

Les cgi sont même discrets et bien foutus, mais bah de toute facon, faire passer une voiture d'un building à l'autre voila quoi ca se voit .

 

Par rapport à une connaissance qui a été sur place, je suis pas super convaincu que y'a autant de meufs en bikini à abou dabi qui se baladent comme ca n'importe comment

La fin, comme les autres, difficile de pas être un minimum ému. Un bel hommage, un peu tiré à rallonge (2 à 3 min de moins aurait été parfait je crois) mais d'une sincérité qui ne laisse pas de doute.

 

c'est quand même super généreux

 

mini spoiler

 

putain la scene a tokyo et dans le desert vers le début c'est vraiment de raccrochage de wagons et la tete d'endive du gars de tokyo drift, le pauvre, ils auraient pu lui épargner la peine d'apparaitre pour servir à rien au final, c'est vraiment l'humiliation jusqu'au bout, 3 ou 4 films plus tard

 

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Perso j'ai trouvé ça insuportable (pour rappel j'ai commencé la série avec le 5 que j'ai adoré et je me suis cassé de la salle au milieu du 6)

 

Les seuls trucs que je sauve c'est la premiere séquence du film avec Statham qui sort de l'hopital

Et toutes les scénes avec The Rock.

 

Sinon

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Lorsque j'ai vu "F&F5", j'étais déçu. Trop de bla-bla, de violons mièvres, de "ce qui compte c'est la famille". Tous ces gros durs dévoilaient le côté gonzesse de ces gros bras pleurnichards et si les scènes d'action étaient plaisantes, elles étaient effacées derrière la mièvrerie de l'ensemble. Pédés.

Pas vu le 6.

"F&F7": Ah ben voila: un gros cartoon de teubés rempli de scènes improbables, une sorte de BipBip & Will Coyotte sous ecstasy, tout est complètement con et improbable mais c'est finalement ce qui nous fait marrer. Il y a toujours quelques violons vomitifs, tous les dialogues sont indignes d'un épisode de "Pas de pitié pour les croissants", mais ça bourrine comme jamais et c'est ce que je voulais voir.

Est-ce que c'est bien pour autant?

Non.

Je suis peut-être trop vieux.

J'étais le seul à ne pas avoir mon téléphone allumé dans la salle.

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Comme le truc symptomatique des films popcorn ras du slip, c'est le rabâchage de l'excuse scenaristique , l'enjeu de "l'œil de dieu " et le deal qu'ils font doit être repeté 3 ou 4 fois en début de film pour être sur que ceux qui ont pas suivi (ceux avec leur téléphone portable par exemple) puissent avoir un minimum pour raccrocher les wagons. Ca joue le jeu de prendre les spectateurs pour des cons.

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  • 2 months later...

Je ne sais, en fait, pas trop quoi dire...

 

C'est certainement l'un des trucs les plus gols que j'ai jamais enduré.

Quelque chose comme La vengeance de Morsay filmé par Bekmambetov, à la limite du soutenable : punchlines historiques, overdose de WTF, honteuse indigence scénaristique (même s'il paraît osé de parler de scénario à ce niveau) et crétinerie ambiante générale...

 

Alors, on va me dire que ça ne se prend pas au sérieux et qu'on sait à quoi s'attendre en matant ce genre de truc.

Certes.

Mais, je ne sais pas, il y a quelque chose que je trouve gênant : peut-être l'absolu cynisme affiché par l'ensemble, tellement conscient du public à qui il s'adresse qu'il nivelle par le bas à absolument tous les niveaux, sans jamais - ne serait-ce qu'un court instant - chercher à relever le niveau.

 

Ou bien,comme Kerozene, je deviens juste trop vieux pour ces conneries...

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  • 2 weeks later...

Par une étrange ironie, la mort tragique de Paul Walker a donné à Furious 7 une symbolique qui le surélève un peu. L'enterrement de Han et les "plus d'enterrements" que se lancent à tour de rôle les membres du casting ont désormais une étrange résonance funèbre, sans parler d'un épilogue en forme d'épitaphe.

 

Parce que sorti de ce contexte, c'est aussi bas du front que les autres opus. James Wan à la réalisation, j'avoue que j'ai pas vu la différence avec Justin Lin ou même Rob Cohen, sorti d'une poursuite en voiture qu'on croirait sortie de Bullit et d'une propension à faire faire des looping à la caméra.

 

Le vrai héros de F7 est bien sur Deckard Shaw aka Statham, qui où que se trouve l'intrigue débarque toujours au bon moment, avec les petits pains et les croissants, pour défoncer le crew à Torreto. Comme disait je sais plus qui, il pourrait parfaitement finir le film à lui tout seul.

 

Ledit crew qui change de bagnoles à chaque scène, se dotant même d'une bugatti Veyron, la supercar la plus chère du monde ou presque. Je veux bien qu'ils vivent sur les deniers de FF5, mais quand même...

 

The Rock est malheureusement peu présent, mais chaque passage à l'écran est jouissif et il fini par sauver littéralement le film. Ah cette scène où il enlève son plâtre en bandant juste son muscle

 

J'ai bien aimé le traitement de l'amnésie de Michelle Rodriguez : ça commence un peu dark puis quelqu'un s'est dit "oh et merde" et s'est plié pour plutôt faire n'importe quoi en Ford Mustang.

 

L'intrigue est un peu pareille d'ailleurs, dans tous les autres ont voyait la bande s'entraîner dur, en faisant des drift dans des hangars, puis ça partait en sucette et on passait au plan B (tout casser avec des voitures hors de prix). Là on s'encombre plus d'entraînement, on exécute directement le pan B : les voitures tombent du ciel, traversent des buidlings, les problèmes se règlent à coup de poing...Sage décision.

 

Un petit poing sur le personnage de Kurt Russel, qui déchire tout aussi : eh bien...il déchire tout aussi. Voilà.

 

J'espère que dans le 8, il y aura juste Kurt, Statham et The Rock.

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Vu la semaine dernière. Bon je suis d'accord avec tout le monde : pas assez de The Rock mais un putain de film bien jouissif avec des poursuites WTF. Et Kurt Russell pèse avec ses bières qu'il sort comme des tic-tac.

 

C'est fascinant de constater qu'ils font plus con à chaque fois. Ce film a détruit les les 5 derniers neurones qu'il me restait après le 6.

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