The backwoods - Koldo Serra (2005)

[guncrazy]

c'est la soirée Filmax.

 

Voici donc le trailer de ce survival chorizo avec un casting fort sympa.

 

http://www.filmax.com/trailers/galeria_trailers/1656_ENG_686_320_144_teaser1.mov‹

 

?

[El rectificador]

Plutôt pas mal....

[ZombiGirl]

Ca m'a l'air bien sympa, tout ça. J'espère juste que la BA n'en montre pas trop...

[Cyril]

Review de Rafik Djoumi sur Excessif

 

Si l'écart avec la France s'est heureusement resserré ces derniers temps, l'Espagne continue de mener la danse en termes de révélations de jeunes talents élevés au cinéma dit "de genre". Nous vous prions donc de réserver dès lors une petite place dans votre DVDthèque pour Koldo Serra, dont le premier film a été chouchouté par Filmax International (société montée par deux fanatiques du cinéma fantastique).

Backwoods met en scène deux couples descendus d'Angleterre (à ma gauche, Gary Oldman et Aitana Sachez-Gijon; à ma droite Paddy Considine et Virginie Ledoyen) pour s'offrir un été 1979 dans une forêt perdue d'Espagne. Village désolé voire arriéré (aucun téléphone à l'horizon), population locale manifestement peu encline à accueillir les touristes, maison de vacance difficile d'accès au coeur d'une forêt sauvage. Pour corser l'affaire, les deux couples semblent avoir importé des problèmes intimes que de simples vacances ne suffiront pas à résorber.

Lors d'une partie de chasse, les deux maris anglais repèrent une grange abandonnée dans laquelle semble être enfermé un animal. Ce qu'ils découvriront dans cette grange n'aurait jamais dû leur être dévoilé, et quatre des villageois vont se charger de le faire comprendre. La vraie partie de chasse vient de débuter.

 

Koldo Serra ne cherche pas vraiment à cacher son influence majeure. Le titre Les Chiens de paille est inscrit aux quatre coins de l'écran. Son équipe s'est autorisée à agencer certains coins de la maison de vacances à l'identique du film de Peckinpah, et il ne manque plus qu'une paire de lunettes au comédien Paddy Considine pour que l'évocation soit manifeste lorsqu'il empoigne son fusil.

Pas spécialement gore ni même "gunfightesque", Backwoods joue son accord majeur sur des montées de tension successives, prenant le temps de planter ses personnages et leurs failles essentielles, insistant sur les regards chargés, des dialogues faussement diplomatiques où les interlocuteurs (armés) ont tous le doigt sur la gachette. On pourra éventuellement glauser sur certains portraits déjà vus (Considine en cocotte-minute des villes, d'aspect apathique mais sur le point d'exploser à la moindre étincelle; Ledoyen en belle femme traumatisée dans sa chair, sur une pente suicidaire) on ne leur retirera pas leur efficacité narrative. Ajoutez à cela un Gary Oldman impérial en ex-macho vieillissant et fatigué, quatre péquenots à tout point de vue meurtriers qui réussissent presque à nous convaincre de circonstances atténuantes, et enfin un commentaire, jamais lénifiant ni envahissant, sur l'héritage du franquisme, et vous obtenez une première oeuvre en tous points soignée, qui croit véritablement au pouvoir du Cinéma, fusse-t-il "simplement" de genre.

[Basculo Cui Cui]

coming soon at lezob's

 

[ParaNorman]

c'est vraiment sympa, une très bonne ambiance et pas mal de piquant mais par contre lapin compris la fin.... ? un avis anyone?

[NickLezob]

Jolie mise en scène, c'est plutot pas mal mais alors le personnage de Norman (le mec de Ledoyen) je peux pas. Quel gros naze. Dustin Hofman dans Chiens de paille était à la masse lui aussi mais pas antipathique comme ce gros niais tout miteux. Du coup j'étais limite du côté des consanguins.

[FUCK YOU BILL MURRAY]

c'est vraiment sympa, une très bonne ambiance et pas mal de piquant mais par contre lapin compris la fin.... ? un avis anyone?

Moi non plus...

 

Il tue la gamine ou il ne la tue pas ?

Elle a quand meme l'air bien mal en point lors des derniers plans sur elle, en meme temps, la boite a musique (manuelle) continue de jouer, alors ?

 

 

En etant gentil, on dira que le film est gentiment referenciel.

En etant mechant, disons qu'on voit mal l'interet de refaire Les Chiens de Paille (jusque dans l'affiche, mon dieu), parfois au plan pres, sans avoir quasiment rien a dire de plus sur le sujet (si, une histoire de paternite/maternite frustre... mouais...).

 

Le film demarre tres bizarrement (les plans sur le chien... puis ces arrets sur images noirs et blancs affreux), et peine un peu a trouver son rythme (ne parlons pas de son identite) malgre la presence d'une belle brochette de "gueules". On se demande tout de meme ce que Oldman est venu faire dans une histoire aussi fade... Il avait peut-etre envie de se faire payer des vacances en espagne ?

[DPG]

Me rappelle pas plus que ça du film que j'ai vu à sa diff sur Canal. J'avais trouvé ça bien foutu, mais manquant un peu de personalité je crois. Ca rappelle fortement tout un tas de trucs, mais sans jamais parvenir à vraiment s'en demarquer. Mais c'etait qd meme bien foutu et bien joué donc on passe un bon moment !

[Jeremie]

Itout : souvenir d'un Chien de Paille bis avec une bonne gueule, mais finalement assez basique dans son cheminement. Pas de grandes surprises, et ça se bouscule pas vraiment rayon sensations fortes.

Reste Ledoyen, toute mouillée

[Benj]

J'AI TROUVé CA D'UN CHIANT!

oh la purge putain, aucun personnages attachants, un scénario nous reprenant Les chiens de paille en tout moisi, nan mais sérieux c'est chiant, il ne se passe rien dans ce film, et le mec flamby tout nase, et leur histoire d'amour toute chiante toute nase bordel j'en ai chié. Et cette VO toute pourrie avec le doublage digne d'un tele novelas, et hop d'un coup on parle anglais et hop d'un coup on sait parfaitement parler l'espagnol.

 

enfin bon je dirais pas une daube mais une bonne congestion rectale.