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Undead - Michael & Peter Spierig (2003)


Stéphane

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Syno:

 

Berkeley, un paisible village australien de pêcheurs, ses gentils habitants, son golf, son lac... Un cadre idyllique jusqu'à ce qu'une pluie de météorites transforme tout être vivant en créature assoiffée de sang.

C'est le moment que choisit Rene, beau brun de fille, pour rejoindre la grande ville et tenter une autre vie. Rapidement, elle se retrouve prise en chasse par une bande de zombies affamés de chair fraîche.

Seul refuge, la ferme de Marion, l'illuminé du village convaincu d'être en mission pour sauver l'humanité. Très vite, ils sont rejoints par un jeune couple et deux policiers qui ont échappé à l'épidémie. Ces six survivants sont-ils le dernier espoir pour sauver la Terre ?

 

 

Et hop une sortie ce 12 mai, combien de copie CTV va lui donner (si on prend exemple sur 800 Ballas ça vas pas chiffrer beaucoup)

 

Par contre ce film m'est totalement inconnue, quelqu'un sait si c'est bien ou pas ?

(On remarquera l'accroche française sur l'affiche, plus con tu meurs)

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il déchire pas tout mais il est quand même plutot sympa, ce petit Undead En tous cas, sa visoon au cinéma, meme si elle n'était pas impérissable, offrait un petit délire série B qu'on ne voit pas souvent sur les écrans.

et faut pas non plus cracher dans la soupe, donc ceux qui tirent à boulets rouges dessus, je comprend pas non plus.

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Un bon ptit film avec des temps morts c'est clair mais de bonnes idées et franchement visuellement c'est du très bon boulot pour le budget c'est même hallucinant !

 

Non vraiment un bon ptit B en plus le dvd est techniquement nickel

 

4/6

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Loué il y a quelques semaines... L'affiche est bien plus belle que le film, qui, tout en restant sympathique, ne parvient jamais vraiment à accrocher ! Une mini déception donc pour moi !

Je préfère (même s'il n'a rien à voir) The Undead de Roger Corman - 1957 -

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  • 1 month later...

Je ne sais vraiment pas quoi penser de ce film. L'affiche est excellente, la BA donne envie mais le résultat final...

 

En fait, ça commence bien (vi vi, tout est relatif) et puis avec l'arrivée des extraterrestres , ça part un peu en sucette, nan ?

 

Y'a des passages dans la cabane qui me rappellent méchamment certains dans SHAUN (ou plutôt inversement). Coïncidence ?

Sinon, il y a une image très Burtonesque à la fin avec tous ces gens qui flottent verticalement dans le ciel. Mais j'aime pas Burton.

 

Pas aussi bien que ça aurait pu, mais pas aussi nul que le prétendent certains. Je crois

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Ce film est une bombe, un véritable chef d'oeuvre et je ne remercieraii jamais assez notre modo de me l'avoir aussi bien pitché !

 

Rarement les relations entre personnages n'auront été aussi juste. Mention spéciale à l'acteur jouant le flic, qui en une grimace fait ressentir tout le poid de son métier, ses doutes et ses aspirations. Passant allègrement de scène incroyablement gore ( jamais je n'avais vu autant de tripes, de boyaux et de morve sur un écran. J'ai du quitter la salle par deux fois pour aller me rafraichir), a des moments intimistes haut en psychologie humaine (la scène du commissariat m'a presque fait pleurer par la beauté des relations qui nouent les héros entre eux.. On est dans le meilleur de Doillon), le film accumule les moments de bravoure. Je retient particulièrement le personnage de Marion, ce hors la loi burné, campé par le charismatique Mungo McKay que j'espère vivement voir dans Ong Bak 2 (sa prestation dans "Inspecteur Gadget 2" n'étant pas à la hauteur de son indéniable talent).

Restent des hommages pour érudits, telle cette formidable scène d'ouverture, clin d'oeil direct au Peter Jackson de Heavenly Creatures, arrivant même à dépasser les délires pompeux du gros barbu. La fin du film quant à elle m'a littérallement scotché par son imprévisibilité et j'en viens a regretter que Arch Oboler n'ait jamais eu cette idée dans un de ces films, pourtant j'avais même un titre pour lui : "The Bubble", c'est joli non ?

Bref un condensé de tout ce qui fait que je me lève le matin en espérant me divertir dans une salle obscure.

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