Moi à l'époque j'avais ça trouvé ça un tantinet pouragave au début parce que bon, pour nous faire comprendre qu'on était dans une famille de cons, ils étaient pas d'accord sur le choix des pizzas. C'était horrible à regarder ces gens qui choisissaient des pizzas au cinéma. Après c'est mieux quand même, j'avoue... quand toute cette famille de cons se casse. Ca m'avait libéré, je me sentais Kevin, c'est un peu la force du film de se sentir Kevin une fois dans sa vie. Tu mets John Williams sur "je me sens Kevin", ça marche. On ne peut qu'être déçus de voir ces cons revenir à la fin, m'enfin y avait une retenue bienvenue sur l'effet de joie. On sent l'enthousiasme mou du Kevin à la fin, on peut imaginer être dans la posture et la crédibilité, les contingences de l'âge. C'est un peu ouvert, reconnaissons-le. Depuis Chris Columbus a tenté, je me sens Percy Jackson sur Lady Gaga, hé bé nan.