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machun

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Tout ce qui a été posté par machun

  1. Comme Schwarzenegger, Willis ou Stallone dans Inglourious basterds. D'ici fin 2012, on a le temps d'en voir passer des infos à la con et des buzz inutiles, vrais ou non, sur le prochain Tarantino. On peut juste être quasi sûr que des mecs vont parler dans un saloon.
  2. Il est bien ce second opus, l'aspect grisâtre et les fusillades assurent grave! La scène avec les parents de Trash au début dépote bien aussi. On a au moins ça à se mettre sous la dent et c'est déjà pas mal. C'est en tout cas nettement mieux que le premier très mou du genou, laid et avec Mark Gregory qui pollue la pellicule.
  3. Hélène Laborie, un agent des forces spéciales d'une trentaine d'années, a pour mission de transférer jusqu'à une prison française Abedin Nexhep, un ponte de la mafia albanaise accusé d'être à la tête d'un vaste réseau de prostitution. Ce gangster doit être jugé devant un tribunal européen. Mais Hélène est loin de se douter que cette organisation criminelle est prêt à tout pour sauver son chef. Durant le transfert, les hommes de main de Nexhep obligent Hélène et les autres policiers à battre en retraite. Au terme d'une folle cavale, ces derniers se réfugient en compagnie de leur prisonnier dans un entrepôt d'une zone industrielle. Là, ils découvrent une bande de jeunes d'une vingtaine d'années venus cambrioler du matériel informatique. Au même moment, les tueurs de Nexhep encerclent l'entrepôt. Je n'attendais rien de ce film, ni ne savait rien de sa réputation et j'ai été incroyablement tout le long. Très très efficace, le film fait pleinement plaisir à son spectateur et est très bien soigné, un bruit différent par type d'arme, un éclairage qui renvoie à la sensation d'être enfermé dans un entrepôt la nuit, seuls contre tous. Je ne m'étais pas rendu compte que la première partie soit si longue et prend son temps tellement elle est impressionnante, quasi muette, on se balade dans Strasbourg le temps que l'atmosphère s'installe et on découvre chaque personnage selon le même schéma > le personnage > il a une arme > il va entrer dans l'entrepôt > il n'en sortira plus. Très bon que l'on suive les péripéties (ça va de pire en pire et même si on croit que ça ne peux pas aller beaucoup plus mal, ça s'enfonce encore plus dans les minutes qui suivent) du point de vue des personnages uniquement. Tout arrive par surprise, on voit tout de l'intérieur de l'entrepôt et à aucun moment on ne sort dehors pour voir si les albanais préparent un truc avant d'attaquer. Quant à ces albanais, rien à reprocher, ils n'hésitent pas, sont extrêmement silencieux, ne laissent découvrir ne serait-ce qu'un poil derrière leurs tenues et lunettes infrarouges, surtout on ne peut déterminer ni leur nombre ni leur puissance et ils ne sont pas à sous-estimer! Rien que pour le moment où le fourgon entre dans l'entrepôt et les guêpes fusillent tout de l'intérieur ça ne s'arrête pas pendant plusieurs minutes, de plus en plus assourdissant, de plus en plus précis jusqu'à aller détruire quasiment toute la salle de surveillance. Et là aussi le montage est excellent. Les acteurs sont impeccables. Samy Naceri est bon! (on a même droit à une apparition de Bibi). Sami Bouajila qui me laisse d'habitude indifférent est très bon! Les fans de Richard Sammel et Pascal Gregorry seront ravis. Excellent point pour leurs personnages, non seulement ils sont différents et créant ainsi une diversité et des rivalités, mais surtout on sent sans cesse leur passé derrière eux, ce qui les influent directement. On ne nous dit rien mais on nous le fait ressentir. Il suffit d'un cadre photo où est représentée une personne inconnue, siffloter l'air des 7 mercenaires, une boîte de médocs, nettoyer son masque facial, des simples répliques , un violon, une bribe de conversation, des regards, une réaction face aux infos. Sans rien dire, tout ce passé ressort. Siri peut nous laisser imaginer n'importe quoi, ici y a tellement de détails qui ont été pensés et qui nécessite plusieurs visionnages pour être tous repérés, c'est comme s'il racontait ces passés sans le faire. La singularité de chaque comportement est faite. Tout est suggéré et ça donne un volume bien dense. Quant aux guêpes, leur comportement très violent, organisé, stratégique et foncer toujours plus loin, sans montrer un brin de peur, c'est aussi grandiose. Donc voila, grosse grosse claque pour moi. L'affiche est racoleuse et moche par contre.
  4. machun

    QUARTIER BIS - Toulouse

    Moi j'y suis Merci
  5. Musique entendue dans le film: http://www.cinezik.org/critiques/affcritique.php?titre=drive Ouverture sur Nightcall
  6. Par contre, la bande-annonce française est quand même nettement mieux que celle espagnole! http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19221019&cfilm=177409.html Dommage franchement que toute la promo spoile un peu.
  7. L'affiche française qui réussit à faire pire que celle espagnol: Et le film est de la pure
  8. Le T-shirt J'avais bien aimé. Le Che passe pour un saint mais le manichéisme ne m'a pas dérangé. ça se voit, s'apprécie et voila. La seconde partie est interminable et laisse totalement indifférente par contre.
  9. machun

    Dobermann - Jan Kounen (1997)

    Un crossover Dobermann Vs Robocop!
  10. Les remerciements de Refn Les interventions de Mélanie Laurent
  11. Bon et bien on a un peu de Sean Penn au début, encore un peu à la fin (il doit atteindre les 11 minutes à tout casser). Un quart d'heure de genèse et deux heures d'un fils en conflit avec Brad Pitt. La mise en scène est superbe au début, indifférente au milieu, ennuyante au bout d'un moment. J'aurais aimé plus de big bang parce qu'il est sublime. Mais j'ai franchement eu l'impression d'avoir assisté à une version qu'on a dû couper au marteau piqueur faute de temps. Si c'est le cas, en attendant un probable director's cut...
  12. Justement, je me demandais: est-ce que les couleurs pètent plus dans la version étalonnée ou dans celle projetée à Lyon ?
  13. machun

    Insidious - James Wan - 2011

    Un film d'horreur qui ne fait pas dans le renouveau. C'est bien son avantage et son problème. Déjà, ça fait totalement dans le jump scare dans sa première partie et j'adore. Une maison, la nuit, on sent une présence, on marche dans les pièces sombres inquiets et BAM une silhouette humaine est derrière le rideau et nous fixe, mais disparaît direct. Des bons sursauts de ce style, moi j'aime bien. Le mieux, c'est quand on sait qu'il va y avoir une apparition mais on ne sais pas quand. On fixe un couloir, ça se joue à quelques secondes. Quand cela va-t-il apparaître ? Maintenant ? Dans 2 secondes ? Dans 3 secondes et demi ? Le ton monte quand BIM, des fantômes qui nous fixent! Mais le problème, c'est qu'au fur et à mesure que des choses s'installent, on sait qu'il va y avoir le petit moment bateau, mais on ne sait pas quand, et c'est souvent des moments que l'on n'a pas envie d'avoir. Style deux scientifiques sont appelés et ont l'allure de geeks, déjà un peu d'humour. Et on attend le moment où il va y avoir une référence à un truc de SF ou autre. Et après avoir fait leur ménage, un des deux est surpris! Pourquoi ? Mystère. Et là il prend une figurine en citant une série. Voila, c'est le genre d'humour qui me saoule et j'étais satisfait sur le coup parce que c'est passé! A part ça, rien à déclarer, des personnages bien lourds comme on en connait mais que l'on n'a pas envie de voir, mention spéciale à la femme experte en fantôme. Et la mère pleurnicheuse est à claquer. Bordel, mais il n'y a que dans L'exorciste que le personnage de la mère est convaincante et efficace ? Et ça alterne entre moments bons (le plan du couloir éclairé uniquement par une lampe folle, le diable tirant sa langue derrière sa fenêtre!) et beaucoup moins bons ( ) Un film d'horreur bien efficace, je ne le déconseille pas mais je suis loin de le conseiller non plus.
  14. De retour après avoir stoppé les agissements de l’agent Monroe (Eric Roberts), un agent corrompu travaillant pour la CIA dans le premier Expendables, l’agent Church (Bruce Willis) oblige l’unité spéciale à accomplir une « mission simple » : ramener un colis perdu de la CIA depuis Gazak, une zone de guerre civile en Europe de l’Est. Coquille dans le titre, c'est ExpEndables.
  15. machun

    Tomboy - Celine Sciamma

    +1! Grosse souffrance que ce film qui donne l'impression de vouloir surfer sur le succès d'Entre les murs avec son nombre de décors réduits et son groupe d'acteurs amateurs très jeunes qui fait "vrai". Un enfant reste debout immobile, un autre vient, ils se fixent sans un mot, il repart, voila une scène dramatique. Un film où des enfants jouent, se baignent, mangent avec papa maman. A un moment, un garçon pousse une petite fille, c'est le climax du film. Il plaira peut être aux adultes et personnes âgées qui rient devant les bêtises que peuvent dire des gamins. Moi, je suis un être cruel et ignoble, j'ai plus eu envie de leur foutre des raclées comme ils connaîtront jamais.
  16. machun

    Steak - Quentin Dupieux (2007)

    Un film inclassable. Le début est chef d'oeuvresque et installe bien le film (ce n'est que le début mais vaut mieux le découvrir par soi-même, alors SPOILER SUR LES 5 PREMIERES MINUTES): le mélange de comédie et d'une ambiance plutôt malsaine. Ramzy maltraité par d'autres étudiants de son campus, avant de les tuer. On rigole bien sûr par le côté très enfant de Ramzy, ça reste quand même assez dramatique et comme un Bong Joon-Ho, la comédie est mélangé à la situation qui rend le personnage pathétique et on sait exactement sur quel pied danser, on rit sur cette sorte d'Elephant pourtant terrible. Et juste par ce moment, on ne voit que 3 gars envoyer des boules de papier, casser un oeuf et pousser Ramzy, rien de plus. Pourquoi ? On n'en sait rien et on s'en fout strictement. C'est très fort chez Dupieux ça, alors que devant un film on pense quasi tout le temps à la psychologie des personnages et des raisons des actes qui arrivent, ici on ne nous dit rien et on ne cherche même pas à savoir. Le film est un film d'anticipation, je préfère quand même me dire qu'il est atemporel. Il débute avec un bidasse qu'on croirait sorti de la septième compagnie, avant d'enchaîner sur un plan d'un Ramzy surgissant dans le film tel un Marty McFly sur son hoverboard. Et alors qu'on penserait qu'il s'agisse d'une ellipse, on nous montre tout de suite que non. Néanmoins, le film semble être pris dans les 80's, on se fringue comme dans Grease, écoute des cassettes audio, regarde des VHS. FIN SPOILER DES 5 PREMIERES MINUTES Un OFNI épatant où l'humour absurde est mêlé à un certain malaise souvent. Le moment où Ramzy est en voiture avec Eric, un moment très drôle mais derrière le gros plan sur le visage d'Eric, la figure blanche animée qu'avec deux points noirs pour les yeux fait très horrifique. Le plan de la petite avec Sébastien Tellier la suivant est inquiétant. Ramzy découvrant les années de prison psychiatrique d'Eric est terrible! J'aime comment toutes les actions sont utilisées à l'économie, on n'a pas vraiment de scènes mais une succession de scénettes. J'ai même été étonné de la durée trop courte du métrage, j'ai eu l'impression que ça n'a duré qu'une demi-heure. Et puis niveau absurde on est servi, rien que par leur sport à base de calcul mental et d'un cube à jeter par terre. Il est vrai que c'est un humour totalement suicidaire commercialement et qui atteint des sommets de rire chez les fans. Il y a dû avoir que 17,36 % du film où je n'avais pas envie de me marrer. Il suffit de peu à ce film pour provoquer le rire et il y a un paquet de répliques hilarantes: ça m'intéresse pas, c'est de l'ancien humour. Tu la regarderas avec tes gosses plus tard, ça les fera marrer. -Ou avec mes parents. -Avec qui tu veux, je m'en fous. La partie sera bleue. Le dernier arrivé est fan de Phill Collins! Tu vois le nuage là-haut ? Combien de personnes sont mortes dans le crash du vol Paris-Tokyo le 7 mai 1985 ? -C'était un boeing et en mars 82! Allez, dis-moi que t'es plein de poils! -Oui, je suis poilu. + le dialogue totalement vide sur le nuage, à mourir de rire Je regrette également de l'avoir loupé au cinéma, les personnes trouvant que c'est un navet intégral doivent se trouver aussi facilement que des décolletés en été. Rares sont les critiques ayant aimé le film à sa sortie, je me souviens que Ciné live était mitigé et que Les cahiers du cinéma avaient écrit une page élogieuse! La BO dépote grave aussi. BLUE WET SHIRT!
  17. machun

    La proie - Eric Valette - 2011

    Et bien moi j'ai trouvé ça nul. Albert Dupontel nous montre qu'il est TROFORT! et le reste des acteurs est franchement pas terrible. Sauf Sergi Lopez avec une belle gueule mais son personnage ne m'a vraiment pas intéressé, la plupart des autres m'ayant saoulé, quoique c'est le plus bis et crédible je dirais: le flic solitaire qui sait voir le mal parce qu'un connard a brûlé sa maison et mène son enquête à part seul et c'est lui qui a raison . Mais bon, ça se résume à quelques répliques et une pièce remplie d'articles de journaux, et aussi une fin quelque peu . Pas grand chose quoi. Le film pourrait être le "thriller-poursuite pour les nuls": on a la flic qui a du flair, le boss qui n'a jamais raison, le psychopathe super méchaaaaaaaaaaant mais qui n'en a pas l'air, suivi de sa femme répondant à La Parole, la fille à aller sauver, le braqueur qui se bat pour ses valeurs et s'en prend plein la gueule (la religion catholique s'en prend plein la gueule aussi), un gardien pourri, des taulards pas très sympas, il y a un même un sidekick noir qui lance des vannes! Mais voila, ça dépasse pas le *j'ai des lunettes de soleil et je donne des ordres*, *j'ai des lunettes, je suis bien habillé, j'ai mon petit pull autour du cou et je suis gentil avec tout le monde en souriant*, *je cours et braque mon arme*, *je cours et je saigne*, pas assez sortis de leurs stéréotypes et franchement oubliables. Et pour l'action, le contrat est bien rempli: on saute sur un train, on court sur l'autoroute en contre-sens et on se balance d'une fenêtre de très haut. Les acteurs sont assez insupportables et font plus téléfilm policier du jeudi soir. Et quand ça cogne et ça tire et bien CA COGNE ET CA TIRE, le son est juste douloureux, mes oreilles ont souffert et ont de suite réclamé un massage au son de violon. D'ailleurs la musique ne m'a absolument pas marqué. Bien foutu oui mais j'ai plus eu l'impression d'avoir Valette me gueulé "T'AS VU ? HEIN, T'AS VU ? C'EST PAS DES PEDES!!!" Vu en AVP aussi et effectivement, elle a pas des jambes de naines la Taglioni! L'ambiance était quelque peu particulière quand Valette est venu présenté son film. Bien sympathique en tant que toulousain de saluer sa famille dans la salle (étant d'ailleurs non loin de moi et on se serait cru à l'émission de Jacques Martin où des gamins chantent, je ne sais plus le nom) et disant à sa maman que cette fois il a mis des sentiments dans son film. Effectivement, ça débute avec une scène plutôt intime entre Dupontel et Caterina Murino.
  18. Si. Et puis on n'a pas eu droit à la scène de sexe.
  19. Ah ouais... C'est clair qu'il faut abandonner toute logique pour voir ce film rempli de non-sens. Le seul rebondissement doit être l'accident au milieu du film (à mourir de rire) et un peu de la fin. NonFilm nous fait savoir très rapidement que l'on ne devra pas réfléchir et les scènes se répéteront, ça reste tout de même étonnant à chaque louche d'absurdité. Dans un désert sans rien et quelques baraques vide, on ne sait pas qui fait quoi et d'où ils viennent (un personnage qui s'appelle 144 ???). Il y a un mélange inattendu entre ""film"" dans le film et réalité. L'absence d'informations est omniprésente. On sait juste que l'on ne sait pas. C'est ""filmé"" par l'esprit d'un nain qu'a chopé Parkinson et qui se colle sans cesse aux acteurs. Tout a l'air improvisé dans les deux secondes qui précèdent. Il y a Kavinsky qui grimpe un mont pendant un instant. Sébastien Tellier est hilarant. Un métrage fascinant, un bain dans le vide que j'ai apprécié pleinement, il m'arrivait de rire à n'importe quel moment. On ne sait même pas pourquoi on rit, on ne sait que dalle sur les personnes que l'on voit et tout arrive sans aucune raison, pourtant on regarde ça avec un grand émerveillement! Je ne sais même pas si ce film a de quoi être aimé et je ne réfléchissais à aucun moment, comme le dit Dupieux, c'est très beau de ne pas réfléchir devant une oeuvre. Tu regardes sans rien savoir, sans chercher à comprendre, Dupieux lui-même n'a même pas imaginé je suis sûr. En un mot: Passionnant. C'est bien dommage que le film ne soit exploité que dans le coffret collector de Rubber, il lui faut une sortie DVD pour lui tout seul! Et là, j'ai envie de faire une citation des cahiers du cinéma que je compléterai d'un '+1': +1
  20. On a ici une belle liste d'objets servant d'armes. Très coriace ce face à face surdynamité et certaines scènes atteignent un grand sommet de violence. Très habile aussi comment l'humour y est parsemé souvent, un peu avant de basculer d'un coup sec dans l'extrême violence ou sous forme de petit gag en pleine scène nerveuse. Pour les couleurs, c'est très bien travaillé et maîtrisé mais j'ai trouvé ça laid pas mal de fois, ce qui fout un coup à l'esthétique bien léché. Déception pour le duo d'acteur assez inégal. Alors que Choi Min-Sik fait vivre pleinement son personnage comme s'il avait grandi avec, Byung Hun-Lee reste trop inexpressif et ce qui fait qu'on se fout pas mal de son personnage. Grande déception pour le thème de la vengeance. Ok faut pas en attendre des tonnes mais là c'est vraiment la première page de "la vengeance pour les nuls: les bases", les quelques idées se sentaient déjà arrivés avec la subtilité d'un panzer dans le teaser et elles sont les seules pour 2h22 de film. Tout se tient dans une citation de Nietzsche. Sans parler des petits moments où le flic verse une larme pour sa copine. On en a plus rien à foutre d'elle dès son meurtre (les 10 premières minutes quoi) et alors ces instants dramatiques, et bien on s'en bat les couilles (mais pas à coups de marteau). La vengeance plus un prétexte à sortir des grands moments de torture qu'autre chose. Un Kim Jee-Woon qui atteint un certain paroxysme comme d'hab', mais il aurait fallu vraiment plus de relief pour son personnage.
  21. Un bon souvenir de cette comédie fraîche et généreuse. Les acteurs sont bons et le panel de personnages très bien fait. Ce doit être à partir de ce film que j'ai du mal à supporter Jean-Paul Rouve.
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