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machun

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Tout ce qui a été posté par machun

  1. Ou Balada triste, histoire de voir un film qui vaut plus le coup. Mais la bande-annonce m'a largement donner envie de ne pas le voir (DPG le fera-t-il ?)
  2. Le chanteur dont le succès est pour moi un mystère est Francis Cabrel. Je trouve ses chansons insupportables (Petite Marie, quelle horreur...). Et l'exception que j'aime bien: XHVqKqmbhFA Encore mieux en espagnol!
  3. Vu au ciné et je le trouve bien mauvais. Le personnage de Spaggiari est inintéressant et on dirait que les acteurs ne savent pas jouer, Gilles Lellouche (entre autres) c'est juste pas possible! Juste les scènes du braquage qui sont agréable à regarder, et encore c'est aussi assez inintéressant. J'ai eu envie de tuer Jean-Paul Rouve tout le long du film.
  4. Bien curieux de découvrir le résultat de cette série au pitch absurde! La dernière phrase est . Et si je comprends bien, il n'y aura pas du tout Ramzy (à part peut-être des apparitions de la fausse série HP) ?
  5. Rien à redire techniquement, c'est magnifique et très bien léché. Plus le tueur en série crédible alors que c'est un petit jeune qui semble pathétique. Déception pour l'histoire, alors que ça promettait en surprises dès que le tueur se fait arrêter au bout d'une demi-heure, c'est quand même très banal. Un premier film qui attire l'attention, hâte de découvrir son murderer
  6. Teaser > http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19231908&cfilm=188871.html Pendant ce temps, le bleu et le orange sont des couleurs complémentaires, ce qui permet un meilleur effet de contraste.
  7. machun

    Au-delà - Clint Eastwood - 2010

    Curieux résultat que cet Au-delà: impression d'avoir vu 3 films qui ont été faits puis assemblés au lieu de voir un seul film choral. 3 courts-métrages pas vus à la suite mais mélangées. J'ai davantage préféré celui du petit garçon qui ère seul, troublé par la mort de son frère. La seule histoire qui m'ait intéressé en tout cas. Celui avec Matt Damon est bien filmé mais on voit à l'écran beaucoup trop de trucs qu'on aimerait passer. On a compris que ce n'est pas un don mais une malédiction, qu'il est le seul à comprendre, que son frère le fait chier parce qu'il ne le comprend pas, et qu'en fait personne ne le comprend et qu'il se sent seul. Mais il n'y a QUE ça! . Le cours de cuisine est la seule scène palpitante et l'apparition rapide de Bryce Dallas Howard est agréable à regarder. Et pour Cécile de France, en effet, c'est la cata. Cécile de France joue mal, on se fout totalement de ce qu'elle fait, on en viendrait à regretter que son personnage ne soit pas mort dès le début. Impression étrange ici: sa partie ne ressemblait pas à un film de Clint. Pour les deux autres on reconnait bien la photographie de ses films précédents mais ici tout parait moche et les couleurs plus criades. C'est au final un navet pour moi, mal foutu, qui parait trop peu maîtrisé et fini. Ce qui est d'autant plus étonnant de la part de Clint qui nous sortait L'échange et Gran Torino il n'y a pas longtemps, et qui avait fait l'oubliable Invictus entre temps. Mais à moins que ce ne soit qu'un accident, commencer à prendre un coup de vieux à 80 ans, respect! PS: quel festival d'affiches laides!
  8. Vu à sa sortie alors que j'en attendais rien et j'avais bien aimé sur le coup! Le film est resté un sacré bout de temps dans ma tête, mon estime ne faisant qu'augmenter. Revu en début d'année au ciné grâce à Télérama et pour cette fois c'était . J'étais rentré chez moi les yeux rouges. Le film qui m'a bouleversé ces dernières années, surtout par le personnage du veuf dont les occupations se résument à attendre à la gare pour choper le tueur de sa femme. Pareil pour la scène où Benjamin découvre la victime. C'est pas amené de façon à ce qu'on sache ce que on va voir, quand, comment on va le ressentir. On entend juste Benjamin parler de choses banales, j'écoutes ça banalement quand BIM! > il voit le corps > il ferme sa gueule > PAF! > On voit le corps > Je suis . Un film qui m'a pris et ne m'a relâché qu'à la fin. Les scènes fortes n'ont pas trop d'effets, tout est montré comme si c'était simple. Le tueur est un mec tout bête et quand on le voit, on a plutôt envie de choper sa gueule pour qu'il ait très mal. Le gars sur un banc à la gare à fixer les trains est un type comme les autres comme ça, et c'est assez bouleversant. Et je le dis: quel plan-séquence de dingue! Rien que quand les deux cherchent le tueur, j'avais vraiment l'impression d'être compressé au milieu de supporters alors que les personnes les plus proches étaient à une dizaine de rangées derrière moi. Par contre, quel festival d'affiches laides! PS: Pour Memories of murder, je dirais plutôt que c'est une critique de la société sud-coréenne régressive. Les personnages cherchent à manipuler, se surestiment puis sont rapidement dépassés par la situation et ce qui peut les aider leurs échappent (très) bêtement.
  9. Moi qu'adore les couleurs et m'en prendre plein les yeux, j'ai été comblé. Comment c'est trop beau!!! La folie de Jodo bien généreux qui part dans tous les sens se savoure totalement. Même si quand même devant ce genre de film très coloré je suis un peu triste en pensant aux daltoniens qui ne peuvent profiter pleinement de ce spectacle visuel . Et d'un autre côté, je suis heureux car je me rends compte que j'ai la chance de ne pas l'être . Je crois que c'est sur le DVD de Wild side qu'on peut voir aussi son court-métrage La cravate qui met en scène brillamment une idée originale et folle avec peu de moyens. Excellent lui aussi.
  10. Très bon, très beau, très fou mais j'ai eu du mal sur la longueur. Au bout d'une heure, je sature, les délires de Jodo surchargent un poil trop. Un gros gros film qui fait plaisir à voir en tout cas. Par contre Fando Y Lis J'étais comme un aveugle se demandant s'il préférait la couleur bleue ou la couleur rouge devant ce film.
  11. Peut être qu'il existe déjà un thread (dur de trouver une série dont le titre ne comporte qu'un seul caractère) Des décors puant le studio en carton, une mauvaise sitcom, un hôpital où le chirurgien n'a fait que 2 années d'études (très bon Jean-Luc Bideau) et où on ne verra personne parler de quoi que ce soit à propos de médecine. Juste des histoires et situations originales, voire improbables, où l'humour nawak, absurde et non-référentiel d'Eric & Ramzy officie à fortes doses. Série devant laquelle on a pu laisser éclater de nombreux délires. Que les deux grands gamins puissent balancer 27 476 phrases inutiles par minute, ça me ferra toujours marrer, l'impertinence et l'excès faisant bien partis de leur humour. Juste Jamel qui en fait parfois trop dans la série mais ne pollue pas non plus. Mention spéciale au tout dernier épisode qui vire au glauque et aux deux guests Richard Bohringer et Joey Starr. En ce moment, je redécouvre des épisodes (Une histoire de théâtre ) et découvre certains que je n'avais pas vu, celui avec Serge Riaboukine en mafieux (excellentissime, un grand moment ) étant particulièrement fendard dans (épisode Une histoire de parrain). J'apprends il y a peu que Bénabar avait écrit des épisodes (!) et aimerais bien savoir ce que devient Sophie Mounicot (le personnage le plus réaliste de la série parait-il: la chef de service hargneuse). Du gros gros n'importe quoi qui fait plaisir et ne déçoit pas. Généreux à mort! Au passage, de gros bisous à Eric & Ramzy et je suis bien curieux de découvrir la mini-série Platane crée par Eric.
  12. Sans crier au chef d'oeuvre non plus, j'ai beaucoup aimé surtout grâce à un John Goodman excellent! Une bonne plongée la tête la première dans l'enfance de Dante avec l'idée intéressante de comparer les films d'horreur et la crise de Cuba. Et puis être déguisé pour surgir dans une salle de ciné, original comme boulot. Je m'achèterais bien le DVD pour Mant!
  13. machun

    Paul - Greg Mottola (2011)

    Ouais c'est marrant, voila. Merci de m'avoir diverti pendant 1h30. Sauf la fin insupportable
  14. Dernier opus de la Cornetto trilogy (Blood & Ice cream trilogy) après Shaun of the dead et Hot fuzz. Bien entendu > réalisé par Edgar Wright > Avec Simon Pegg & Nick Frost Une parodie de blockbusters de science-fiction et de films-catastrophes. Aussi amusante soit-elle , la comédie fantastique Paul aura démontré que le duo Simon Pegg/Nick Frost était en fait bel et bien un trio complété par le réalisateur Edgar Wright (Scott Pilgrim). Bonne nouvelle : les trois compères britanniques escomptent conclure leur trilogie « Cornetto » (en référence à la glace largement appréciée par les personnages de Shaun of the Dead et Hot Fuzz), comme l’a récemment confirmé Simon Pegg au site Ain’t it Cool News. Connu sous le nom The World’s End, le projet n’est malheureusement pas pour tout de suite selon le comédien qui espère démarrer une session d’écriture prochainement avec son ami Edgar Wright : « Nous avons déjà entamé le processus de conception, la question la plus importante à résoudre reste quand pourrons-nous être réunis tous ensemble ? Je viens juste de démarrer le tournage d’un film en Angleterre, alors peut-être qu’avant de rempiler sur Star Trek 2 nous pourront aboutir à un premier jet du script si nous sommes chanceux. » déclare-t-il sans préciser de quoi il en retournera. En guise d'indice Simon Pegg affirme ne pas vouloir se contenter « de refaire la même chose mais de proposer quelques chose de différent » aux spectateurs. « Vous ne pouvez pas rester le même éternellement. Vous devez évoluer pour survivre… Je déteste l’idée de devenir prévisible. »
  15. Le best, c'est le crayon géant à la fin. Et aussi l'apparition de Booder qui est totalement tellement il arrive sans prévenir
  16. machun

    Stalker - Andrei Tarkovski (1979)

    Ah ouais quand même! Dommage qu'il soit parti de l'URSS après, même s'ils sont bons, on le ressent dans le sacrifice et Nostalghia qui sont moins forts.
  17. Film à sketches au ton délirant orchestré par John Landis et produit par la trio Zucker-Abraham-Zucker. Bien drôle, dès qu'un sketch commence on ne sait jamais combien de temps ça va durer, ça part dans tous les sens et cette humour absurde (que faire quand on sent que l'on va mourir ) fonctionne à chaque fois. Le film qui nous apprend que voir Irréversible en sensorama peut faire très mal.
  18. Stalker, sorte de guide, accompagne un physicien et un ecrivain dans la "zone", vaste no man's land ou jadis est tombe une meteorite. Ce territoire contient un secret: "la chambre des desirs" exauçant les voeux de ceux qui s'y rendent. Découvert il y a quelques semaines ce monument considéré comme une référence absolue, j'ai reçu ma claque pour le reste de la semaine. De toute façon, les films posés, qu'ils soient longs et lents, dès qu'il y a une ambiance assez particulière qui est diffusée je pourrais admirer très longtemps. Et pas de déception pour celui-la, que ce soit pour l'URSS terne, triste et quasi vide ou pour la Zone avec ses dangers invisibles et son tunnel glauque, on croirait tout ça sorti d'un autre monde qui n'appartient qu'au film. La scène avec les dunes de sable et ce mystérieux oiseau qui disparaît en plein vol . Plus on avance dans le film et plus on est plongé dedans, comme si le temps se ralentissait de plus en plus et pour l'avoir vu dans une salle de ciné, au milieu des sièges tous remplis, j'avais vraiment l'impression que tout le monde s'effaçait au fur et à mesure pour avoir l'impression d'être vraiment tout seul. Rarement ressenti cet effet bizarre, quand le film est fini et que les lumières se rallument, que l'on se souvient que l'on était dans une salle de ciné.
  19. Ok! Après, il y en a qui disent que le genre n'est pas mort, j'ai rencontré un passionné qui prétendait que le mondo se faisait toujours avec Michael Moore. Bien qu'un livre soit sorti sur le sujet, je connais très peu le genre et il est peu abordé. A une projection d'Adieu Afrique, les auteurs insistaient sur la difficulté due à pas mal de monde qui refusaient totalement d'en parler, trop honte de ce sous-genre.
  20. Revu hier soir, ça défonce tout comme la première fois. Une pellicule enragée jusqu'à son dernier plan, sortie des tripes de son réalisateur. Les personnages sont fous, barbares, animals. Un film qui ne ressemble qu'à lui-même où les scènes se suivent mais ne se ressemblent pas, arrivant sans prévenir, continuant la nervosité ambulante de cette Espagne violente qui est un beau cirque (l'interview d'Alex de la Iglesia dans le dernier Mad Movies est très intéressante à ce sujet). Et il y a le sosie espagnol d'Harvey Keitel dedans. totale
  21. Il a bien raison, je n'aurais jamais cru que ce genre, la bête noire du cinéma, aurait attiré des foules. Il est dit aussi que ça utilisait la culture de l'époque, le genre était beaucoup utilisé pour nuire à l'image d'un endroit ?
  22. Ah mais le montage qu'on voit au ciné le fait déjà assez. Je veux 4h30 de genèse
  23. C'est pas mal, dispensable quand même, la faute à une histoire sentimentale entre Fabio Testi et sa pute assez lourdingue et m'a fait penser à la petite maison dans la prairie au bout d'un moment. Très bon Tomas Milian par contre.
  24. Découvert il y a peu et belle baffe dans ma face! Impressionnant comme, contrairement au premier, l'univers post-apo est totalement imaginé et chaque détail est crée pour. Je comprends bien mieux maintenant pourquoi on me parlait de ce film dès qu'une discussion abordait Waterworld. Surpuissance pour l'ambiance désertique, pesante et brutale sans besoin qu'il se passe grand chose (Max se pressant de ramasser de l'essence, sous l'oeil menaçant de Wez sur sa moto! ). On admire le paysage désertique, on écoute le vent et on voit passer toute cette galerie de freaks barbares (Vernon Welles en roue libre et sa crète! ). Préférence pour la scène d'Humungus, intriguant par son visage caché et son crâne rasé, où les plans sont multipliés et on les apprécie tous sans exception. La mise en scène est excellente et c'est quasi contemplatif de toute la meute et du désert présents. Gros coup de coeur à l'interruption du gamin limite primate qui attaque avec son boomerang . Tout y est bref, le rythme est impeccable et chaque plan est absolument délicieux.
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