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machun

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Tout ce qui a été posté par machun

  1. Tout pareil, le film déborde d'énergie mais à part ça, rien d'intéressant. Une voix-off chiante au possible, un acteur mauvais, des plans de mecs qui enlèvent du papier peint, les couloirs d'un hôpital, un RDV chez une pédiatre, Valérie Donzelli qui court, Valérie Donzelli et l'acteur mauvais qui courent, des bobos, des personnages secondaires dont on se demande ce qu'ils foutent là, du Vivaldi, opération réussie ou non ? C'est grave ce qu'il a ? Jouera-t-il à la DS plus tard ? Au mieux je dirais mais à vrai dire que je me foutais de ce qui se passait.
  2. C'est très carré, méga classe et malsain comme pas permis . Antonio Banderas assure à fond avec sa gueule qui explose le charisme et Elena Anaya apporte la dose d'érotisme plus qu'on ne l'attendait. J'ai adoré et pas vu les deux heures passer.
  3. machun

    Bref sur Canal +

    Second épisode > http://www.canalplus.fr/c-divertissement/pid3848-c-bref.html?vid=506792 J'aime beaucoup aussi, c'est court, inventif et correspond tout à fait au genre *Mais c'est trop moi!*
  4. Moi ça m'allait contrairement quand j'ai été revoir Il était une fois en Numérique où je n'avais pas l'impression de voir un film aux dix premières minutes mais de la pure épate technique tellement c'est lisse et sans poil de cul.
  5. Redécouverte sur grand écran hier soir et ce n'est plus vraiment le même film que sur petit écran. Une CLAQUE IMPERIALE. Sûrement le meilleur Kubrick avec 2001, tout y est tellement au diapason, la mise en scène est ultime, l'esthétique kitsch est un régal. Clairement l'un de mes films préférés, c'est tellement fort de voir ce déchaînement de violence sur la musique de ce cher Ludwig Von (pourquoi d'ailleurs il dit "Von" sans dire "Beethoven" ?) > La bagarre générale entre les deux bandes et Suicide Scherzo, entre autres, sont non seulement si bien mis en scène mais va cogner dans les tripes du spectateur d'une puissance très rare, à croire que les coups à l'écran sont réelles. A classer direct dans les 10 séances ciné les plus éprouvantes que j'ai pu passer, je ne sais pas dans quel film il y a une scène de verre de vin plus tendue que dans celui-ci, avec un gars musclé immobile qui fait peur malgré son allure gay. Malcolm McDowell y est hallucinant et avec la technique Kubrick il a dû en chier pas mal sur le tournage. Film exceptionnel dont je suis ressorti comme si j'étais en plein trip, beaucoup sifflaient et chantaient I'm singing in the rain dans la rue avec un enthousiasme générale que je ressens très peu après être allé au ciné. Un film qui donne le cancer aux baleines! Je me demande ce que vaut la pièce de théâtre avec Sagamore Stévenin, entendu parler en pleine promo, puis plus un mot.
  6. Road-movie agréablement badant et bien foutu. Pas exceptionnel ni à voir absolument mais au moins je n'ai pas perdu mon temps, c'est déjà ça. Et je n'ai pas compris le message du film
  7. J'ai du mal avec le titre, déjà le jeu de mot pourri et dès que je le lis, j'imagine une motte de beurre géante qui recouvre une ville.
  8. On fait comme on veut alors ? Franchement, dès qu'on met le réalisateur et l'année peu m'importe, je fais mes recherche par réal.
  9. Mon premier LVT et je suis de ceux qui sont restés hors de son monde. J'ai accroché à la première partie, complètement lâché à la seconde. J'étais content de voir Udo Kier, pour le peu que j'ai vu je trouve qu'il a toujours la classe, un nom qui claque et une gueule que j'aurais adoré avoir.
  10. Bien aimé. Une reprise de Blair witch qui m'a totalement emballé pour son début, la caméra-épaule est pas racoleuse pour faire genre et content que ça prenne une autre piste que ce qui s'y passe soit imprévu pour finalement suivre un chasseur qui fait son boulot tout normalement. Malheureusement ça m'a plutôt calmé par la suite, qu'on explique tout Ok mais ça tourne vite en rond pour se répéter et enchaîner les quelques scènes de chasse qui apportent le stricte minimum de tension, ça n'échappe pas malheureusement à dès que l'on explique, ça perd de l'intérêt. Les personnages sont très biens et les histoires locales joliment remises au goût du jour par contre les trolls ne sont pas plus impressionnants que ça dès qu'on sait à quoi s'attendre, j'ai plutôt eu l'impression de voir les maximonstres en plus grand. Juste la fin où tout redevient palpitant mais c'est tout. Une première demi-heure méga enthousiasmante pour un film finalement
  11. Je suis en pleine découverte du genre et en ce moment je bloque sur ça: eRLOtavjM7s
  12. Je n'avais vu que Dust devil de Richard Stanley, j'en garde un super souvenir d'une ambiance pesante qui marque. Et là rebelote des plans tout rouges dans le désert, conquis dès les premières minutes. Je pensais qu'on suivrait l'Homme sans nom du début du film mais non, on va tout droit dans la société post-apo et sa ville comme si Blade runner était devenu une décharge. Comme tout le monde, un excellent film!
  13. Très bizarre cette façon de passer de "j'ai aimé" à "c'est nullissime" et franchement je m'en tape pas mal de son idée de Cannes. Des gens qui n'ont que mépris pour tout le pan du cinéma qu'on aime, pour paraphraser DPG, il y en a plein et il y en aura toujours, ceux qui regardent de haut celui qui dit adoré tel polar de Castellari et se disent plus cinéphiles car ils vont voir Le chat du rabbin, eux. Alors un de plus ou de moins, je m'en fous totalement. Son idée de Cannes est fausse oui (passer de tous les genres en un festival, sans apriori, j'adore) et quand je dis qu'il a bien aimé Drive et que ça me va c'est qu'il le critique négativement par rapport au fait qu'il soit en compétition dans ce festival. Tiendrait-il les mêmes propos si c'était à la compétition d'Hallucination collectives ? Il aime le film.
  14. Il dit qu'il a aimé, moi ça me va. Aperçu de la BO: A9J4R4KYv-s wz5LYdgG5Vk En espérant d'autres AP qu'à Paris, 5 OCTOBRE VIIIIIIIIIIITE!
  15. machun

    Revolver - Sergio Sollima - 1973

    Merci pour Giraudeau! Je trouve pour le cas d'Inglourious que justement le thème est très bien repris alors que ça pourrait être repris juste gratuitement pour rendre bien une scène bâclée.
  16. La jeune femme d'un directeur de prison est kidnappée. Ses ravisseurs réclament la libération d'un des prisonniers. Celui-ci se retrouve libre mais bientôt le directeur et le prisonnier deviennent amis. Ce n'est pas joyeux, clairement pessimiste. Un sous-directeur de prison et un prisonnier qui s'associent pour faire arrêter une puissante organisation dont on sait indéniablement qu'ils sont directement pris dans l'engrenage. Et alors qu'une femme est prisonnière, un dilemme affreux s'impose. Mon premier Sollima et je dis . Un polar qui fait froid dans le dos, Oliver Reed assure totalement, c'est très noir et la fin m'a fait mal au coeur, il y a tellement de rebondissements et de petits moments d'espoir qui s'éteignent en quelques minutes que l'on ne peut deviner le dénouement. Moi, il m'a rendu triste , une belle scène d'émotion qui conclue ce polar italien. Le thème musical magnifique par M. Morricone: pkvXsLGAxqY J'ai un peu de mal avec la version chantée: GlEDlsIfArY 2 questions que j'ai > Pourquoi à la fin > Il est où Giraudeau ?
  17. Bande-annonce > L'acteur préféré de kevo qui joue un zombie recherchant un nazi. Mais pas de zombie-nazi J'ai très envie de voir ce film. Personnage solitaire et badant + road-movie pour retrouver quelqu'un + le petit truc en plus qui peut rendre le film magnifique = le kiff pour moi
  18. machun

    Mad Max - George Miller (1979)

    Vu l'année dernière pour la première fois et j'avais beaucoup aimé sans non plus crier au chef d'oeuvre, j'avais trouvé que le film aurait pu être mieux et avoir plus de rythme. Revu il y a quelques jours et j'enlève carrément ces gentils reproches pour crier au chef d'oeuvre. Comme ont le sait déjà, la poursuite qui introduit le film est magistrale. Avec de faibles moyens la narration se fait par des cadrages impeccables et un découpage bien carré. Rien à dire à propos de la réalisation qui est excellente avec ses plans ni trop courts ni trop longs où beaucoup d'informations nous viennent à l'écran, tous se savourent et c'est très rapide pour installer cette ambiance dangereuse et angoissante. Une petite ville > quelques motards viennent > ils jouent sur la route > C'est bon, le climat d'insécurité est installé. Gros gros choc encore quand . Pareil là, les plans sont de plus en plus courts, les motos et les victimes sont filmées de plus en plus près, l'ambiance est glaçante, le choc est là et pas une goutte de sang ni rien. Avec un grand sens du montage Miller nous fait une scène terrible qui n'a rien à envier à personne. Et bien sûr les décors australiens, l'univers et le personnage Mad Max, ce n'est que du bon!
  19. Tobe Hooper a bien réussi à faire une suite excellente à son TX chainsaw massacre (classique qui n'a pas volé sa réputation et que je classe direct dans mon top 10) en disant clairement à son spectateur que faire pareil que l'original c'était peine perdue et donc on part dans une direction opposée. Alors wait and see comme on dit...
  20. Bande-annonce > http://www.canalplus.fr/c-series/pid3659-c-platane.html?vid=500799
  21. J'ai juste fait projectionniste pour une assoc, en apprenant sur le tas sans rien d'officiel et on ne m'avais vraiment pas parlé de l'émulsion alors je ne pourrais savoir si on peut voir facilement quel est le côté de l'émulsion. Pour ce qui est de: Bon là je ne sais pas trop comment expliquer alors je vais être bref > Oui, on peut inverser l'image horizontalement sans inverser le début et la fin, ni inverser verticalement (je l'ai fait comme je l'ai dit plus haut). L'installation dans la cabine est en sorte que la bobine d'où part la pellicule est assez éloignée du projecteur donc on peut aisément faire un demi-tour horizontal au film, pas comme sur cette photo par exemple. Et pour la méthodologie du montage (ce qui est de relier les différentes parties du film entre elles) on ne prenait absolument pas en compte de comment monter le film par rapport à l'horizontal, et c'est alors qu'on profitait de ce demi-tour possible pour laisser le projectionniste charger le film comme il le fallait avant la séance. (Cette discussion est vraiment très intéressante!)
  22. Moi aussi j'ai été ému pour le ballon. Et hilare pour la fin
  23. Je me suis peut être mal exprimé. Je ne parle pas des deux faces de la pellicule mais des côtés droite et gauche. Ce qui est en vert à gauche sur la pellicule c'est la bande son. Si t'inverses ces deux côtés, la droite à la gauche sont inversés à l'écran (pas pratique s'il y a des sous-titres) et en plus on entend rien. Et logique, la bande ne se voit pas à l'écran et pour Le ruban blanc cette bande son n'avait pas de couleur comme le film, et ça ça me laisse toujours curieux. Pour l'émulsion et le support j'ai jamais pu faire la différence à l'oeil, il faudrait gratter la pellicule et voir si l'émulsion part, mais ça se voit à l'écran ensuite. Mais ça j'ai jamais dû y faire attention, on m'a appris à projeter qu'à partir de la bande son.
  24. Beaucoup aimé quand je l'ai vu, le risque de l'éducation par une idéologie comme le dit Haneke. Finalement, c'est tout le village qui éduque ces enfants sous le protestantisme. Par contre pas compris pourquoi il y a ces punitions. Il m'a beaucoup impressionné techniquement, les gamins sont excellents et le noir et blanc magnifique (petite info à la con > à moins que je n'ai eu une copie exceptionnel, même la pellicule était en noir et blanc et du coup pas de bande son verte. Alors et "C'est comment que je doit le projeter ?" ne pouvant faire la différence entre les deux côtés de la peloche et donc de savoir où se trouvait cette bande son. J'ai donc chargé la bobine au pif, une chance sur deux d'être bien, et quand j'ai lancé devant les spectateurs quelle joie de découvrir la gauche et la droite inversés...)
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