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Dan

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  1. Dan

    Starcrash - Lugi Gozzi (1978)

    Ben oui, il pèse poutrancièrement Gortner, mais sur le même plan, y a toujours les fesses habillées de cuir de Caroline Munro Et sinon, non, j'ai vraiment pas trouvé de topic Starcrash, même en tapant Cozzi, Star Crash, son pseudonyme américanisé, etc.
  2. Dan

    The Arena - Timur Bekmambetov (2001)

    Comme quoi, hein. Par contre, rien à savoir avec ce qu'il fait désormais aux USA. Evidemment, c'est beaucoup plus cheap dans le sens où c'est carrément Z. Mais même, y a rien à sauver. Même les plans nichons y sont mal filmés.
  3. synopsis wiki : J'ai beaucoup apprécié ce sympathique nanar sous acides, où la nullité globale de l’œuvre est égale à sa bonne ambiance communicative. Pas de logique, presque pas de scénario, des acteurs en totale roue libre, et un traitement aux fraises, mais je m'en fous, j'ai beaucoup aimé : - Le doublage français savoureux - Caroline Munro - Les effets spéciaux ultimement cheaps et colorés, un vrai délice pour des yeux de bisseux. - Nadia Cassini - Le robot qui sort tout droit de "Planète Interdite" (20 ans d'écart) - Caroline Munro bâillonnée par Nadia Cassini - Le reste du cast qui déchire entre Joe Spinell qui rendrait Dark Vador crédible dans un Eric Rohmer, David Hasselhoff qui n'avait que sa place dans un film de cette envergure, Salvatore Baccaro toujours aussi greuh-greuh - Nadia Cassini en petite tenue prise en otage, au corps à corps, par Caroline Munro - L'étoile de la mort en forme de main aux doigts crochus - Des idées stupides à la pelle : le temps arrêté, la survie dans la glace, les sabres laser colorés à la gouache à même la pellicule, les séquences montées n'importe comment. Par contre, étrangement, le film devient assez chiant avec quelques temps morts de mauvais aloi. On prends alors son mal en patience avant la prochaine idée stupide ou en attendant que Munro se remette dans une tenue décente. Mais hormis ça, caviar.
  4. Titre occidental : The Arena Titre russe : Gladiatrix Produit par Corman (qui en avait réalisé une version en 1973), un film russo-américain avec un scénar' bien basique à propos de gladiatrices, de romains impérialistes méchants, de grosses épées, de sang et de nichons. Réalisé par un mec qui a commis Abraham Lincoln, chasseur de vampires. Je me suis dit, "à défaut d'être transcendant, on va peut-être se marrer et passer un bon moment". Et puis, même les chro' françaises lues dessus vantent un divertissement sympa. Erreur. Bon, du côté scénar' et nichons/bastons, on est assez servis : c'est bourrin et abyssalement con. De ce côté là, on en a pour notre argent. Ça se laisse assez regarder, mais franchement, même pour un film de série Z entre potes, c'est bien pauvre. M'enfin, il y a quelques mises à mort sympas, des références à Gladiator et 300, ainsi que qu'une bonnasse qu'on aurait voir un peu plus les boobs. Mention au doublage sous crack et à une scène de danse entre légionnaires romains hallucinante. Voilà. Par contre, là où le bat blesse, et gravement, c'est que c'est un DTV filmé comme un porno US bien gerboulant, d'une pauvreté visuelle inouïe, avec des filtres jaunes/verts tout simplement I-GNO-BLES. Le cadrage y est totalement inexistant, on se demande si la personne qui tient la caméra n'est pas atteinte de tocs. Nan mais sérieux, pas moyen de ne pas avoir un plan qui tremble pas de 50 cms au moins. Insupportable. C'est également cheap, mais pas dans le bon sens du terme. Les films italiens des années 70 sont cheaps, mais il y a du charme. Mais là, c'est le même sentiment que l'on ressent en regardant certains thrillers gores de chez Uncut Movies : un vide total.
  5. Un Fulci mineur, avec un scénario franchement pas des plus prenants et des séquences qui semblent de plus en plus ne plus avoir de rapports entre elle au fur et à mesure que le film touche à sa fin. La gamin de la maison près du cimetière est toujours autant à flinguer et le reste du casting a l'air d'en avoir rien à foutre à l'exception de la fillette. Pourtant, j'ai quand même pris du plaisir à le regarder. En tout cas, plus de plaisir qu'avec Aenigma dont le traitement trop américain de film horrifique avec ados semblait mal réussir à Fulci ; Comme tous, j'ai adoré la musique de Fabio Frizzi. Mais en même temps, il a recyclé à mort les scores de Frayeurs, L'Enfer des Zombies, même si les autres sont franchement très bonnes. Fulci a toujours autant de talent pour poser une ambiance, jouer avec les lumières (surtout sur la fin ), placer la musique au bon moment, rendre une belle photo. Bref, dommage que ce soit dans un film au scénar' aussi faible et au casting aussi je m'en foustiste.
  6. synop' wiki : Vendu comme une version HK de Seven ou du Silence des Agneaux, ce film m'a grandement laissé sur ma faim malgré un casting des plus réjouissants (Anthony Wong ! et la craquante Cherrie Ying ). La faute premièrement à un traitement expédié à la va-vite, qui ne pose aucun climax comme peuvent le faire les films pré-cités. Pour faire simple, je n'ai pas ressenti de tension particulière, ni malsaine, ni inquiétante, ni quoi que ce soit. Ça se suit comme un film policier lambda, sans réelle personnalité, mais sans que ce soit nul pour autant. Le scénario n'a rien de franchement original ou passionnant bien qu'il n'y ait pas de faute de cohérence (sauf le passage des voitures, que j'ai pas eu le temps de digérer). Voir le trip habituel des gens liquidés pour des péchés moraux par un déséquilibré frustré après Seven, euh bof. Voir tout ça mélangé au montage et à l'humour HK, ça a son charme certain, mais j'en reviens au climax qui n'est plus crédible du coup. Le GROS soucis de cette peloche, c'est qu'on se doute bien à l'avance qui est le tueur, et ça dès qu'on commence un minimum à le connaître. Des éléments scénaristiques sont balancés de façon trop grossières pour qu'on ne fasse pas tout de suite le lien... Surtout que bon, après 30 minutes de film, tu t'en doutes un peu aussi, tu as regardé une image sur l'arrière de la couverture du DVD C'est vraiment dommage parce qu'au fond, il y avait moyen de faire un truc vraiment correct.
  7. Le simple titre au simple parfum d'Asie centrale me donne grave envie
  8. J'avoue mon ignorance : je ne connais pas ce film. Et c'est à ton tour de me donner envie
  9. Synopsis d'allociné : VYT5U1gVdWM Le film s'est fait totalement démonter à sa sortie par les Inrocks, Libération et Positif, parfois sur des motifs idéologiques. Du coup, fallait que je le vois, ce devait sûrement être un bon film. Et effectivement, c'est un très bon film. Pourtant, les films roumains distribués en France ne sont pas ma tasse de thé : trop sobres pour moi, trop sombres, et d'une tristesse confondante. De bons films en soi, mais c'est franchement pas mon truc. Ce film, pourtant, est une réelle surprise : Une comédie au goût doux/amer avec de véritables moments de grâce comme on peut en retrouver dans ce cinéma balkanique, par exemple chez Emir Kusturika. Bien que le contexte historique soit bien lourd, on y perçoit avant tout la comédie du destin grâce à un humour paysan très frontal mais jamais parodique au sens folklorique du terme. Un bon casting aide surtout à s'immerger dans la vie de ce village. Les répliques, vannes et dialogues bien sentis fusent, les blagues potaches généreuses, les relations entre les personnages sont magiques, et pour un peu qu'on connaisse la culture de ce pays et son histoire, c'est un véritable délice. Pourtant, le film commençait plutôt mal lorsque l'on débute l'histoire en 2008 avec l'équipe de télévision. Une photographie sombrissime à pleurer façon film d'auteur albanais, mais très vite les couleurs arrivent en 1953, le soleil, la verdure, le bruit, l'activité, et une construction originale se met enfin en place, et là, c'est caviar. Au beau milieu de cette comédie pastorale, des petites séquences assez énormes, comme cette projection de film en pleine campagne qui tourne au désastre avec un montage et un jeu d'acteur façon Laurel & Hardy des années 20, le tout en noir et blanc. Des ralentis bien pensés, une séquence en photos rafales et une autre, onirique et poétique pendant l'arrivée du cirque avec une très belle musique, qui dénote de la musique folklorique, festive et entêtante. Tout ça qui se distille entre une séance de baise dans un grenier à blé et deux nains qui se draguent. Le film vaut l'achat uniquement pour la séquence du repas muet de mariage en lui-même, qui ne dure qu'une vingtaine de minutes. Une séquence simple, très drôle et attachante, où le réalisateur réussit le pari d'en dire plus pendant 20 minutes de muet que durant tout le reste du film qui crie, bois et baise. Ce film recèle également de ces moments de tristesse assez forts pour oublier que c'est une comédie, mais ça passe très bien, la narration étant bien construite et allant dans le sens d'un conte typique de cette région de l'Europe. On se croirait presque dans une nouvelle d'Istrati ou de Creanga. Bref, j'ai passé un formidable moment, même si la fin est expédiée bien vite à mon goût et peut se ressentir comme un petit goût d'inachevé.
  10. Ah ! Et pourquoi donc les serrures ? Je ne comprends pas l'allusion
  11. Pas mieux que les autres. Je me souviens d'une musique assez chouette pour le peu dont je me souviens (loué en VHS il y a bien longtemps étant gamin) et d'un Mario Van Peebles au look bien fun, mais pas crédible une seule seconde dans un vigilante. Le reste est purement annecdotique, sans saveur. C'est bête parce qu'à l'instar du Justicier de New York (Death Wish 3), ça aurait pu éventuellement au moins être un sympathique nanar.
  12. Dan

    Vos lectures du moment

    La couverture fait zomb' bien fantastique, mais il n'en est rien. Je ne connais pas immensément le style, et encore moins l'auteur, en fait, pas du tout. Il s'agit d'une suite de courtes nouvelles, se situant fin XiXe / début XXe en Europe. Oscillant entre des historiettes de télépathies, de malades dégénératives suivies de pulsions meurtrières et de contes érotiques, ce recueil se lit très bien. Il n'y a franchement rien de transcendant ni d'original mais le style agréable, limpide et clair fait que ça se lit très bien en métro
  13. Dan

    The Raid - Gareth Evans (2011)

    Pas grand chose de neuf à ajouter par rapport aux autres. Sans en faire le film de l'année, j'ai passé de très bons moments devant ce The Raid, maté dans la bonne humeur entre potes. Et pourtant, je ne suis pas un grand fan de film d'action pour l'action ou de baston pour la baston, préférant habituellement un bon petit scénario, une bonne ambiance, aux m'as-tu vu de séquences bourrines. Que le scénario tienne sur un timbre poste, oui. Qu'il y ait des incohérences et que les bastons soient pas crédibles, oui. Mais rien à battre, c'est un peu comme Chocolate, j'ai mis mon cerveau sur off et j'ai apprécié les nombreuses scènes de bravoure, que j'ai trouvé très bien rythmées. J'ai tout particulièrement savouré les combats, où l'on voit du krav-maga, du muay thaï, du silat, et même des mises au sol de type sambo Après, les scènes de blabla en appartement et celles avec le chef du gang, un peu longuettes et ça casse effectivement un peu le rythme, surtout après les 30 premières minutes d'action. Un très bon film à part ça
  14. Miam miam ! Sais-tu si l'image a été retravaillée, comme il est parfois le cas chez Bach ? Sinon, c'est un film de morts-vivants comme je les apprécie. Même si ce n'est pas aussi génial qu'un Fulci en grande forme, ça a les mêmes qualités : une personnalité et un style unique. Alors oui, le rythme est particulièrement lent pour le style, avec une direction d'acteurs que l'on pourrait par moments qualifier d'aux fraises. Pourtant, je trouve personnellement que ça se marie plutôt très bien à l'ambiance humide et poisseuse, ainsi qu'au caractère isolé des lieux. Chouette photographie aussi (quand ils sortent de l'eau )
  15. C'est clair qu'il a ses faiblesses, surtout par rapport à des sagas horrifiques de l'époque comme Freddy : manque de rythme, trop peu de gore, un peu faiblard sur la direction d'acteurs (Hicks est bien, mais le reste...). Le problème du film, c'est qu'on voit tout arriver des kilomètres à l'avance puisque c'est un point de vue omniscient qui est employé. Ah bah ouais, si la poupée se réveille pour balancer ta babysitter du vingtième étage de l'immeuble, t'es pas étonné ! Par contre, j'ai de nouveau apprécié ce film que j'ai pas vu depuis gamin (en cachette aussi, avec mes cousins). Toujours en support en VHS, j'ai encore dégusté ce climax propre aux films d'épouvante des années 1980. J'sais pas, ce film, il a quelque chose.
  16. Comment que tu m'as donné envie là
  17. Synopsis allociné : Pour affronter l'équipe Coréenne en compétition officielle de karaté Tae Kwon Do, cinq champions de karaté americains sont sélectionnés pour suivre un entrainement intensif. Tous ont leurs soucis personnels, et avant de d'affronter la cruauté des Coréens, ils auront à supporter la rigueur de l'entraineur Frank Couzo. Premier volet d'une tétralogie de dtv qui se révèle au final bien moisie. Par contre, ce premier volet, pour les fans du genre, il est très bon, bien qu'il n'ait pas non plus le charme d'un Van Damme. Film de compétition sportive très classique dans son approche et son traitement, avec le cliché habituel des fêlures intimes, des entraînement où l'en en chie sur fond de zique bien 80/90's, des adversaires qui fond peur et d'un final particulièrement épique. Très classique mais très bien foutu. On ne s'ennuie pas une seconde dans ce charmant film où le rythme est bien dosé, avec des acteurs qui en imposent bien (Eric Roberts excellent, Christopher Penn très drôle). Le truc que j'ai franchement bien apprécie, c'est qu'on passe naturellement de l'art martial aux personnages et vice versa, le film passant ainsi très vite. La chorégraphie des combats, surtout finaux : caviar. Aériens, lisibles, prenants, ils m'ont vraiment plus. Mais ces combats sont trop rares malheureusement, on suit plutôt les phases d'entraînement et la psychologie des perso. Un peu trop de pathos également, mais ça gêne pas. Chouette film.
  18. gfa_D8riYhU C'est sur qu'après Pantera, ça change Mais j'adore la musique folk, surtout d'Europe orientale. Et ça, c'est la musique d'entrée de Koba dans le film "Warrior". Une très belle chanson de Vladimir Vissotsky.
  19. J'ai franchement adoré, étant friand de tout kitano jusqu'au moment où il tourne dans Zatoïchi (bon, les Takeshi's et consorts sont délirants, mais c'est pas ce que j'attends de lui). C'est vraiment un film d'une grande qualité et il renferme tout le charme kitanesque : des paumés, des marginaux, ce côté sucré/salé entre le drame et les moments d'humour bon enfant, une ambiance posée et carrément prenante, une photographie impeccable, la musique d'Hisashi... Puis le petite ville de province, la plage, le surf, ce ciel, ce Japon cinématographique des années 1990, aux lumières travaillées... Une vraie tranche de poésie.
  20. Dan

    Vos lectures du moment

    Une lecture de choix, assez stimulante et toujours bien rentre-dedans, surtout dans une époque de plus en plus timorée. On sent tout de suite que c'est de la bonne littérature, celle qui prend bien aux tripes, mais je suis pas hyper fan du style, qui respire plus le style grivois du début du siècle que les années 50.
  21. échange le contre une ukrainienne tant qu'à faire
  22. Son père avait aussi une apparence plus cérébrale. J'irai le voir tout de même, ayant été très longtemps fan de Boule et Bill gamin. Mais pas au cinéma.
  23. Ouais, en fait, je crois que ce qui m'aurait choqué, c'est de ne pas avoir une affiche aussi pestilentielle, avec ce fond bleu quasi-institutionnel de l'outrage filmique français.
  24. J'ai regardé les nouveaux épisodes de la saison 3 (les trois premiers donc). Si la seconde saison vous a, comme moi, royalement gonflé avec son côté soap-opéra, ses histoires sentimentalo-culcul et son atmosphère pastorale digne de la petite maison dans la prairie, rassurez-vous. On retourne pour l'instant à l'aspect plus "survival" de la première saison, en mieux quand même (ça se regardait gentiment, sans plus, faut bien l'avouer). Sans faire de spoiler, de nouveaux personnages apparaissent et j'ai envie de savoir ce qui se trame là-dessous, des personnages moins cul-cul la praline que ceux des saisons précédentes. Il y a encore cet aspect soap que je trouve horripilant, mais en nettement plus dilué, heureusement. C'est pour l'instant le meilleur que j'ai vu de la série.
  25. Je ne connaissais pas du tout, on est tombés dessus l'autre soir avec un pote. Très bonne série B qui appartient (en bien) à son époque, et qui vaut son so-90's surtout pour sa bonne humeur communicative, des punchlines idiotes mais touchant au sublime, un casting qui renferme un lot invraisemblable de gueules mais aussi Tia Carrere ( ) Le film, dans son ensemble, est assez idiot. Mais on s'en fout royalement en fait. De l'humour à tous les étages et un spécial pesance rien que pour Mikey Rourke en combinaison cuir avec la voix de Bruce Willis
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