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Julien

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Le district numéro 8 de Bangkok présente un sacré bestiaire humain : épaves crackées, ex-Khmers rouges dealers d'amphés, transsexuels et autres filles de joie... Un folklore dont l'inspecteur Sonchaï Jitpleecheep n'a aucun mal à maîtriser les codes. Ce métis, fruit de l'amour hasardeux entre un G.I américain et une fille des bars thaïs, a d'ailleurs choisi une méthode d'investigation bien particulière : c'est Bouddha qui l'inspire et le guide dans ses enquêtes. Et même si son goût prononcé pour les paradis artificiels et l'amour tarifé lui font prendre quelques libertés avec l'ascétisme karmique, celui qu'on surnomme le « flic moine » met un point d'honneur à combattre le crime et la corruption qui gangrènent la mégalopole thaïlandaise. Un polar à l'atmosphère urbaine étouffante sous la plume d'un John Burdett au meilleur de sa forme.

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L’enfant d’Adèle Lahaye est enlevé et présumé mort. Louis Ferrand est le dernier à avoir vu le garçon en vie, mais c’est un homme sans histoires, innocent de ce dont on l’accuse. Psychologiquement fragile, Adèle ne peut accepter que Louis soit relâché et que personne ne paie pour le crime. Elle va désormais s’acharner sur Louis afin de découvrir la vérité qu’elle est persuadée qu’il détient, rendant leurs vies un véritable enfer. Les années vont passer ainsi et suite à une tentative de suicide d’Adèle, Louis va l’accueillir chez lui. Leur cohabitation se passe tant bien que mal et puis un beau jour, 25 ans après le drame initial, le véritable tueur se rend à la police, Adèle voyant là sa dernière chance de se venger

 

Les schizophrènes sont doué pour l'écriture, il me tarde de vérifier cette information !

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J'ai fini :

 

- Ilium de Dan Simmons, j'ai été un peu déçu par rapport au foin fait autour. C'est pas mal quand même, très original, dense, et bourré d'idées, mais parfois un peu indigeste. Et puis j'ai pas trop compris ce que venaient foutre les allusions à l'antisémistisme dans un livre de science-fiction.

 

- No Country For Old Men de Cormac McCarthy. Les frères Coen ont réussi l'exploit rare de pondre un scénario meilleur que le matériau originel. Ils ont su rester très fidèles au texte, jusque dans les plus petits dialogues, tout en élaguant habilement le côté vieux con réac-pilier de bistrot, tout de même très présent dans le bouquin. Style intéressant par contre, sec comme un coup de trique, et sans affèteries. J'ai envie de lire la Route en espérant que l'aspect "c'était mieux avant ma bonne dame" soit un peu moins prononcé.

 

Je lis :

 

- Darkhouse d'Alex Barclay : Premier roman, polar standard et formaté, on dirait du Chattam en mieux écrit quand même. Parfait pour les transports en commun.

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- No Country For Old Men de Cormac McCarthy. Les frères Coen ont réussi l'exploit rare de pondre un scénario meilleur que le matériau originel. Ils ont su rester très fidèles au texte, jusque dans les plus petits dialogues, tout en élaguant habilement le côté vieux con réac-pilier de bistrot, tout de même très présent dans le bouquin. Style intéressant par contre, sec comme un coup de trique, et sans affèteries. J'ai envie de lire la Route en espérant que l'aspect "c'était mieux avant ma bonne dame" soit un peu moins prononcé.

En train de le lire justement. C'est vrai que le style deconcerte un peu au depart, mais ca accentue l'impact du recit.

 

Et apres, j'attaque Ilium (gros fan de Simmons que je suis).

 

Le chapitre le plus sombre de la saga Marvel. Nick Fury découvre un lien inquiétant entre plusieurs des plus dangereux vilains de l'univers Marvel. Il rassemble alors une équipe hétéroclite, formée des héros les plus incompris, pour une mission secrète que le gouvernement américain a refusé de ratifier... Et qui pourrait conduire à un immense conflit impliquant tous les héros et mutants de New York !

C'est bien ca ? On m'a dit que Bendis fatiguait pas mal sur cette mini saga.

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En grand fan du film, j'étais curieux depuis longtemps de lire le livre. Et je suis pas forcement transcendé par cette lecture. Bon, déjà ça se lit très vite, 160 pages, pas écrit petit. Ensuite ça ressemble de bout en bout au film, on a quasiment rien en plus ou en moins. On sent que c'est Barker qui a fait les deux, et il a collé de A à Z à ses écrits pour l'adaptation filmique. Après, je sais pas si c'est le fait d'avoir déjà vu le(s) film(s) avant de lire le livre, mais ça bride un peu l'imaginaire sur les eventuelles imaginations qu'on pourrait se faire des Cénobites. Mais sinon j'ai pas trouvé ça formidablement écrit non plus. Ca se lit bien hein, mais pas de quoi se relever la nuit...

 

Voilà, au final, je préfère laaaaaaaaaaaargement le film ! Mais pt etre que l'avoir vu et revu avant de lire le bouquin y joue, j'avoue...

 

Par ctre, j'ai bien aimé le format du bouquin de chez Bragelonne. Ni livre de poche, ni grand format broché, un peu un format à l'americaine, j'aime !

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L'adaptation française de ce comics viens de sortir chez Panini Comics.

L'histoire se passe durant les 28 premiers jours, on assiste a la contamination dans Londres.

C'est découpé en plusieurs segment (un scénariste pour chaque) et le dernier fait le pont entre 28 days et 28 Weeks.

C'est pas mal, un bon complément qui ne m'a pas transcendé pour autant.

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Frank Castle, le Punisher. Un homme seul, déterminé à éradiquer le mal de la planète. Une obsession née un dimanche ordinaire. Frank, sa femme et ses deux enfants étaient venus pique-niquer à Central Park mais une fusillade a détruit leur vie. Castle a survécu au massacre et est depuis parti en croisade contre le mal sous le nom du Punisher. Aujourd'hui, les criminels des quatre coins du monde le craignent comme la peste. Ce nouveau BEST OF MARVEL réunit les sept premiers épisodes du fameux Journal de guerre du Punisher, un titre régulier consacré au Punisher, écrit par Carl Potts et mis en images par un débutant appelé à devenir un monstre sacré de la bande dessinée, Jim Lee.

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Dans le supermarché Bravo, du côté de Pithiviers, il se passe de drôles de

choses. On ne s'étendra pas sur l'utilisation que fait le charcutier de son saucisson ni de l'utilité de certains légumes pour les jeux entre filles. Sur ces entrefaites, deux loubards de la pire espèce, à la génétique mal engagée, font irruption pour braquer la caisse. Le plan est foireux, la prise d'otage scabreuse, les morts pullulent et l'issue ne fait aucun doute...

 

 

 

Mais quelle mouche a piqué Philippe Bertrand ? Depuis Linda aime l'art (Dargaud, 1985), on le croyait définitivement installé dans le rayon jeunesse, dessinant encore quelques BD sur des scénars de Beigbeder, fréquentant les galeries du VIe et la meilleure presse... Bref, on le croyait rangé quand, patatras, voici qu'il commet, dans le seul but de se (et de nous) faire plaisir, une œuvre inclassable, délibérément trash, porno, folle, avec des illustrations à faire rougir l'amateur le plus blasé.

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Après avoir vu sa famille massacrée par des truands, Frank Castle décide d'éliminer tous les criminels de ce monde sous le pseudonyme du Punisher... Dans un futur proche, la Terre a été dévastée par une guerre atomique... La dernière traque du Punisher promet d'être apocalyptique. Un récit complet et haletant qui est également la dernière aventure du Punisher écrite par Garth Ennis et dessinée par Richard Corben.

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Ca se trouve dans le commerce, et ca se tient bien, c'est super bien foutu, bref ca se fout pas de la gueule des fans, y'a un paquet de contenu, et ca ne se repete pas autant que ce que j'ai pu voir au moment ou Cohen faisait la promo du film a la tele et racontait 15 milles fois les memes anecdotes.

 

Perso, je l'ai achete aux US pour une vingtaine de $, mais je l'ai deja vu dans des librairies a Prague. Par contre, je ne sais pas si le livre a ete traduit, donc faut chercher dans les books en anglais.

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  • 2 weeks later...

Le bâtard qui voit le jour dans le quartier le plus nauséabond de Paris s'appellera Grenouille, étrange nom guttural dont Gaillard (sa nourrice) et Grimal (le tanneur qui l'emploie à des tâches répugnantes) se font les échos, comme si la marginalité appelait forcément la marginalité. C'est donc dans la fange parisienne du XVIIIe que Grenouille, né sans parents ni amour, sans racines ni odeur, mène une vie de nomadisme olfactif, volant les odeurs, les imaginant, les recréant pour les infuser au monde entier. Sans distinction hiérarchique, il se pénètre de la moindre senteur, tout d'abord frénétiquement, puis avec méthode, pour finalement se livrer à un projet démiurgique et vampirique. Dans ce voyage jusqu'aux confins de l'imagination à la fois poétique et morbide, Süskind nous entraîne sans repos à la suite de son héros monstrueux, véritable buvard des essences dont l'ultime expérience revêt presque un caractère généreux et mystique.

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