Nice Panda

C'est vrai qu'on l'oblige à jouer dedans...

I agree.

Langue de bois, je me suis mal exprimé. C'est juste que j'avais trouvé ça peu intéressant, en fait. Le gars a eu une vie et un parcours absolument démentiels et on se retrouve à bouquiner ça comme une bio lambda, qui enquille les faits sans rien approfondir. Bon, après, c'est pas très grave non plus et tant mieux si certains y trouvent leur compte.

C'est son Total Recall ? Si oui, j'avais, pour ma part été bien déçu, tant j'avais rarement autant eu le sentiment de lire du vide. Des centaines de pages de langue de bois où l'acteur évoque (à peu près) tout mais sans s'appesantir sur rien. Ne faisant que survoler tous les sujets (notamment celui du dopage, lors de ses années de culturisme : évacué, de mémoire, en quelques lignes chrono) et se donnant, en plus, toujours le beau rôle. En somme, aussi pertinent qu'un long article de Paris Match...

Les deux épisodes de Futurama avec le Père Noël robot.

Sont-ce les Missing Pieces ou autre chose ?

Je n'y vois rien que de très normal.

Ouais, c'est violent. Mais ce n'est quasiment que ça... Et oui, c'est meilleur que les dernières croûtes Marvel-Netflix (pas difficile, d'un autre côté) mais c'est pas glorieux pour autant. Le début fait pourtant illusion. C'est sec et brutal. Ça charcle bien comme il faut. Et Bernthal affiche une bonne tronche de bourrin psycho. Sauf qu'arrivent les épisodes 5, 6 et l'inévitable plaie des séries Netflix : ce ventre mou qui emmène le spectateur au bout de l'ennui. Délayant absurdement sur treize épisodes ce qui, peu passionnant à la base, aurait déjà du mal à tenir sur moins de la moitié. Et du coup, non seulement, ça cause non-stop. Mais, en plus, ça le fait mal et à propos de trucs dont on se fout totalement (les interminables atermoiements de la famille de Micro ? Sérieux ? ) Que Netflix engage des gens qui sachent écrire. Ou qu'ils laissent ENFIN le soin de faire des séries à ceux qui en ont le talent... P.s. : au moins aura-t-on, cette fois, échappé à Rosario Dawson en infirmière omnipotente.

Dispo en replay sur le site de Canal+.

Ça fait très longtemps que je l'ai vu mais c'est pas voulu, cette antipathie ?

D'ailleurs, si j'étais eux, j'aurais inscrit la citation du Times dans une police ENCORE plus grosse...

Merci pour le conseil.

Il est sorti ou est dispo quelque part ?

Vu à sa sortie et j'avais trouvé ça chouette. C'est fun, rythmé et ne se prend pas au sérieux - ce qui, en ces temps de héros costumés supra-sérieux, fait du bien. Même que c'est peut-être la première fois que j'ai l'impression de voir, en live, un Spidey qui s'approche de l'esprit de celui que je lisais étant môme. Good job.

Détesté de la première à la dernière image. Rarement vu un truc aussi vain et racoleur, emballé dans d'horripilantes poses "arty", histoire de cacher l'absolu néant de l'entreprise. Tout est laid, chiant (ça ne dure pourtant qu'1h30) et agresse les sens : de la composition "minérale" de Phoenix à la réal tape-à-l'oeil, en passant par la bande-son en freestyle de Greenwood. Que les membres du jury tournent au crack me semble être la seule explication rationnelle au fait que le film soit reparti de Cannes avec le Prix du Scénar... Parfait smiley pour définir l'ensemble (et c'est encore trop d'honneur) :

La s1 tenait du doudou, de la sucrerie nostalgique, du revival inoffensif mais pas foncièrement désagréable. Mais l'effet de surprise ne jouant plus, les coutures apparaissent désormais au grand jour. Et sont d'autant plus visibles que j'ai comme l'impression que cette suite, pas forcément prévue au départ, ne fut enclenchée que devant le succès rencontré... En gros, c'est la cata à tous les niveaux. Le vide abyssal. Un néant scénaristique qui cherche à (maladroitement) camoufler sa misère en enquillant, de façon plus grossière que jamais, les références hors de propos (j'ai failli rendre grâce quand arrive le moment Exorciste-like). Tous les acteurs surjouent comme des buses. La bande-son a de quoi rebuter même le plus fanatique des nazeries pop 80's. Et, bordel, ce que c'est mal écrit... Le pire ? Peut-être s'apercevoir, à la fin, que strictement rien n'a évolué par rapport au début. Comme si les neuf épisodes n'étaient qu'une longue et laborieuse digression d'une situation de départ déjà pas gégé à la base. Mais vu la hype du machin (et ce ridicule plan final qui annonce une suite), ils auraient tort de se gêner...

Après, un truc comme, disons, au hasard... Los Bastardos : c'est hardcore même en festival, non ?

Oui, pour une fois que les gusses ne se prennent pas au sérieux, on ne va pas s'en plaindre. Un peu pareil que tout le monde, donc : fun et sans prétention. Ce qui aide à faire passer les habituels défauts des prods Marvel - soient une demi-heure en trop et un déroulement balisé de la première à la dernière image. Parmi les points qui emportent l'adhésion : - une musique électro typique 80's du meilleur mauvais goût. - voir Thor qui broie du renégat sur du Led Zep (et instaure, enfin, un vrai sens de l'epique) - Chris Hemsworth qui affiche un vrai tempo comique - Korg : meilleur perso de la saga ! Vivement la rencontre avec les Gardiens.

Je confirme pour la chaîne.

Tout l'inverse pour moi. J'ai trouvé ça d'une fadeur et d'une platitude assez remarquables. Zéro tension, que ce soit dans le récit, l'ambiance, la réal ou le jeu des acteurs (les pires étant le "héros" et sa meuf, dont on ne croit pas une seconde à la relation). Je ne comprends pas où la série veut en venir, en fait. Et ne le saurai jamais, vu que ce sera sans Bibi pour la saison 2...

Mn44oHvirDw

Je suis plutôt d'accord. Et ne comprends pas pourquoi certains titres, tel celui-ci, attirent à ce point haine et vindicte. J'ai vu mieux, hein. Mais aussi bien pire, tellement souvent...

Penser que, durant ce temps, tant de grands films attendent encore, pour certains, ne serait-ce qu'une édition dvd digne de ce nom, a de quoi laisser songeur...

Concernant le vrai Henry, je me souviens effectivement d'une interview de John Douglas (l'inspiration première de Mindhunter) dans laquelle il disait que le gars était bien mytho. Et qu'il en avait, très certainement, largement rajouté dans ses affabulations, quand il avait vu à quel point cela lui permettait d'attirer l'attention des foules et médias...