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Nice Panda

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Tout ce qui a été posté par Nice Panda

  1. Si j'ai bien compris, tu n'as de toute façon pas aimé le film, donc tu t'en fous, non ? Ou c'est juste pour râler ?
  2. Ou au contraire ne plus en faire, ça ira aussi...
  3. Je ne dis pas le contraire (on parle de Besson, hein). Mais l'ensemble a suffisamment de défauts pour ne pas en inventer ou en rajouter.
  4. C'est vrai que je n'ai toujours pas vu le chef-d'oeuvre de Sean Penn...
  5. C'est pas le scoop du siècle. Sinon, loin de moi l'idée de le défendre (et puis quoi encore) mais la bestiole qui chie des perles est, pour le coup, tirée telle quelle de la bédé.
  6. J'aime bien le premier John Wick mais on est, dans l'esprit, malheureusement là plus proche du deuxième. Soit un machin bien trop long, trop sérieux et trop compliqué pour ce que ça raconte en définitive (c'est-à-dire : rien). D'autant que les fights ne sont même si formidables (à part le fameux plan-séquence partout vanté). La reconstitution du Berlin fin 80's est,certes, sympa (surtout au niveau de la bande-son) mais ça fait peu... Quant à Charlize, si elle est toujours aussi terrassante de beauté, qu'elle fasse aussi attention, après un F&F8 déjà pas indispensable (euphémisme) à ne pas trop souvent tomber dans le n'importe quoi.
  7. J'avais passé mon tour au ciné, me suis laissé tenter en dvd : mal m'en a pris. Tout a déjà été dit plus haut mais je poste ici juste pour avoir une réponse à la question que je me posais à la fin du machin : à quoi sert ce film ? Je cherche encore l'utilité de ce parallèle, aussi vain qu'artificiel, entre la réalité et la fiction. Mais, surtout, le sens de cette fin à propos de laquelle j'avais entendu des choses aussi terribles que "coup de massue", "renversant twist", "bouleversante conclusion". Euh... La meuf se fait poser un lapin dans un resto douze étoiles et c'est juste la fin du monde (comme dirait Dolan) ? Tom Ford ne vient pas de la mode pour rien, son film s'avérant aussi prétentieux, chichiteux, vide et inutile que son ancien univers (j'en rajoute mais à peine). Même les acteurs, d'habitude excellents, sont à la ramasse. On en viendrait presque en comparaison à, par défaut, réévaluer les derniers titres de Refn...
  8. SPOILERS ! Je ne sais pas encore si j'ai aimé ou pas. Enfin si, j'ai aimé mais quelque chose m'a frustré. Ce que j'ai (en partie) compris en furetant sur le web : à savoir que les audiences de la s2 avaient, paraît-il, été si catastrophiques que HBO a coupé les vivres à Lindelof. Lui imposant la présente saison comme fin (qui plus est en huit épisodes au lieu des dix habituels) alors que Damon aurait bien vu le show continuer durant, au moins, deux ou trois années supplémentaires. Alors, peut-être l'ensemble se serait-il terminé de l'exacte même façon. Mais je ne peux m'empêcher de ressentir cette impression bizarre entre la s2 et la s3 : comme si tout était allé trop vite et qu'il manquait un bout (et, de fait) - l'ellipse censée expliquer le bond en avant, au début, n'étant, je trouve, qu'à moitié convaincante. Parce que, du coup, le changement de ton et de direction, entre cette saison-ci et les précédentes, saute d'autant plus à la gueule. Lindelof nous refaisant, ni plus ni moins, le coup de Lost : un argument fantastique WTF qui accouche d'une résolution intimiste à base d'amour, de bisous et de réconciliations. J'avoue que, sur le coup, ça m'a un peu chagriné - attendant, souhaitant, espérant quelque chose d'autre, peut-être plus novateur ou original. Et il est, en même temps, si logique que l'auteur régurgite ses obsessions que ce serait malhonnête de paraître surpris et s'en plaindre. D'autant que, contrairement à sa précédente série-phare, Damon a cette fois évité de (trop) partir dans le décor et bien mieux négocié le virage. Principalement grâce à cette touchante humanité, cet amour pour ces personnages d'exception, cette constante émotion qui nous cueille à chaque fois et annihile toute réserve. L'apocalypse, pour intérieure qu'elle soit, n'en offrant pas moins une formidable déflagration... En résulte quelque chose de différent, surprenant, déceptif et en même temps cohérent, qui menace souvent de sortir de la route (et le fait parfois) avant de miraculeusement se rétablir. C'est troublant, triste, perturbant, rigolo et, au final, tout simplement... beau. Et, tout comme en leur temps Six Feet Under ou The Wire, ça va faire bizarre de se dire qu'on ne pourra plus suivre les déambulations de figures qu'on avait appris à aimer. Preuve que Damon a bien réussi son coup. Chapeau. P.s. : parce que les vrais savent. 1_-3Bh1VFI8
  9. Sans oublier le Gaston Lagaffe réalisé par Pef...
  10. J'avais trouvé le premier sympa sans plus, m'étais poliment ennuyé ennuyé devant le deuxième et ai trouvé celui-ci épouvantablement long... Ça dure donc des plombes (près de 2h30 qui en paraissent bien plus), c'est lent et ça ne raconte rien (ou si peu) - ce qui nous donne TROIS films pour quelque chose qui aurait laaaargement tenu en un seul (non que ça aurait été plus utile pour autant) : soit un bon résumé de ce qui déconne actuellement à Hollywood. Sans même évoquer ce qui est peut-être le pire, à savoir que ça se prend au sérieux, mais à un point... Nous est relaté un affrontement entre singes et humains et les gars en charge présentent ça comme si c'était du Shakespeare ou une tragédie grecque. Et puis, comme déjà signalé, faut pas avoir honte d'appeler ça une "guerre" quand on voit ce qui nous est montré à l'écran (ou alors je n'ai vu qu'une version expurgée, va savoir)...
  11. Quelle magnifique jaquette...
  12. T'as jamais eu l'idée de faire un blog afin de recenser toutes tes trouvailles - historie d'avoir plus de visibilité qu'ici ?
  13. Nice Panda

    Fargo (2014-??)

    La 3 est ce que j'ai vu de mieux en séries, tous genres confondus, depuis je ne sais même plus combien de temps. On pressentait, depuis le lancement du show, une possible grande oeuvre en germe et celle-ci a enfin éclos. Interprétation, récit, ambiance : tout est juste parfait, les auteurs parvenant constamment à lier l'infiniment petit à l'infiniment grand à travers une multitude de détails tordus et idées décalées qui foutent sur le cul. Avec comme plus-value cet humanisme qui permet de s'attacher aux persos même les plus abjects (David Thewlis, ce héros). Entre ça et Legion, Noah Hawley devient tout juste le meilleur showrunner du moment. Excelsior !
  14. Faut aussi remettre ça dans le contexte de l'époque. Je l'avais découvert en salles à sa sortie et je peux t'assurer que la claque venait, en partie, de l'impression d'avoir visionné quelque chose de jamais vu auparavant - cet improbable mélange, aussi étrange que jouissif, entre Blake Edwards et Fincher. Dommage (même si The Host s'en approche par endroits) que son auteur n'ait plus jamais retrouvé tel état de grâce...
  15. Sauf que ça poutre justement rien du tout. L'ensemble démontre, par l'absurde, la spécificité du ciné de Nolan : des moyens, un certain savoir-faire, une originalité dans le choix du sujet. Mais, bordel, ce que le tout reste coincé ! C'est censé être la guerre totale et on s'en fout tant on reste extérieur à l'action. Pas de sang ni de choquante brutalité, aucun ressenti du chaos : tout est propre, lisse et bien ordonné - à l'image de cette plage étrangement vide sur laquelle les soldats sont bien alignés en rang, sans que rien ne dépasse. Le réal nous fait un survival mais (comme à son habitude) sans viscéralité, ce qui est bien dommage quand on s'attaque à ce genre si spécifique. Il suffit de comparer avec le fameux plan-séquence de Atonement pour que saute aux yeux la différence : l'un vit (malgré l'artificialité du procédé), l'autre pas. QijbOCvunfU Et puis, ce rythme, my God ! En lisant partout que le film faisait moins de deux heures, je m'étais imaginé quelque chose de, pour une fois, digeste. Sauf que j'ai eu l'impression que ça en faisait, facile, trois tant c'est peu tendu. Parce que, ouais, il ne suffit pas de se la jouer Spinal Tap en foutant le volume à 11 pour, soit-disant, faire vivre cette expérience de la guerre "comme si on y était". Tu parles...
  16. Oh putain quel horreur !! Ou Rodriguez au pays des merguez (malgré mon amour pour Philippe Clair) Rodriguez, j'avoue ne pas avoir réussi à le mater jusqu'au bout...
  17. Je persiste à trouver Arrête de ramer, t'attaques la falaise bien plus pénible à mater que ce fameux supposé "plus mauvais film du monde"...
  18. http://m.slate.fr/story/148734/the-room-nanar-culte
  19. Après, je crois que c'était pour le rôle dont a finalement hérité Bryce Dallas Howard. Rien de trop physique, en somme...
  20. Peut-être ne s'était-elle jamais remise de n'avoir pu figurer, comme prévu au départ, dans Terminator Salvation ?!
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