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Nice Panda

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Tout ce qui a été posté par Nice Panda

  1. On va dire que cette scène-ci flirte dangereusement avec la limite... (moi, de parti-pris ? )
  2. Fini. Et l'impression d'avoir visionné, ressenti, vécu quelque chose d'inédit, une expérience limite, de celles qui vous modifient à jamais. La plus belle chose que j'ai vue depuis... quand donc ? En vrac, se bousculent des images : de cet épisode 8 historique, de cet époustouflant travail sur le son, de ces visions du cosmos, de cet au-delà troublant, d'un enfer terrifiant, du feu intérieur (qui marche avec chacun)... Seul Lynch est capable de raconter tout ce qu'il raconte sans sombrer dans le ridicule le plus achevé... On rit, on pleure et on a peur - parfois en même temps. Que les suiveurs retournent à leurs études : David vient de tuer le game. Nuff said.
  3. Ça avait été évoqué avec les récents titres de super-slips mais ça se confirme ici, avec BR 2049 (2h45) ou même Kingsman 2 (près de 2h30) : les réals ne savent donc définitivemernt plus livrer quelque chose de concis ?
  4. Nice Panda

    The Babysitter - McG (2017)

    Au moins, ça ne dure pas longtemps, ça va à l'essentiel et on sent, effectivement, McG un peu plus concerné que sur ses dernières croûtes. Si ça pouvait lui remettre le pied à l'étrier - parce que c'était quand même sympa, les Charlie's Angels...
  5. Concernant ce brave Commissaire Moulin, je doute fortement mais sait-on jamais ?... Merci pour le lien du blog.
  6. Question à Mike Hunter (je fous ça en spoiler au cas) : Bravo pour la review,une fois de plus. T'as jamais eu l'idée de faire un blog ou un site, afin de compiler toutes tes trouvailles ?
  7. Bon, j'imagine qu'au vu des derniers produits, tout le monde (Bibi compris) se fout, désormais, un peu légitimement de la saga. Vient ainsi de sortir le dernier trailer du chapitre 8 et ce qu'il dévoile ne semble, ô surprise, pas proposer grand-chose d'inédit. On ira donc, ou pas, juger le résultat sur pièces à partir du 13 décembre. Histoire de s'agacer comme un vieux fan aigri et assurer aux ados, qui s'en foutent royal, que c'était bien mieux avant... Q0CbN8sfihY
  8. Pas (encore) vu le Fleischer mais la comparaison, concernant le Aldrich, avec Police Academy n'est pas entièrement fausse. Pour le coup, il s'agit d'une stricte adaptation des livres qui, dans leurs meilleurs moments, parviennent à mélanger, à parts égales, noirceur d'ébène et gags vraiment hilarants - les dialogues, notamment, atteignant par endroits le high-level.
  9. À noter que le film est adapté d"un bouquin de Joseph Wambaugh, ancien fic lui-même (que Ellroy cite souvent parmi ses auteurs favoris) et dont ses années sous l'uniforme infusent toute l'oeuvre. Notamment ses titres qui relatent le quotidien des patrouilleurs du LAPD, les excellents Soleils noirs et Le crépuscule des flics en tête. Outre ce New Centurions, il a également été adapté au ciné par Robert Aldrich (le sympatoche The Choirboys, en 1977) et Harold Becker, par deux fois (le culte The Onion Field et le moins connu The Black Marble, tous deux en 1980). Sans compter l'influence officieuse qu'on peut l'imaginer avoir eu sur des séries telles que Hill Street Blues et NYPD Blues...
  10. Bordel, j'ai détesté. Mais alors, d'une force ! Je précise que j'aime bien le premier (sans pour autant l'avoir jamais adoré) et que j'apprécie, en général, plutôt le ciné de Villeneuve. Mais là, c'est juste pas possible - alors que je partais plutôt confiant... Histoire de ne pas paraître trop injuste, causons d'abord des points positifs, à commencer par cette direction artistique à tomber. Si la photo de Roger Deakins se montre, curieusement, un peu en-deça de ce qu'on pouvait attendre, tout le reste (à commencer par les décors) s'apparente rien moins qu'à un rêve sur grand écran de tout amateur de s.f. qui se respecte. On pense au premier film, on pense à Ghost in the Shell, on pense à Dredd, on pense à des tas de choses : l'ensemble, soigné jusqu'au moindre détail, est un régal pour les yeux de la première à la dernière image. Bonne surprise également au niveau du cast : non seulement les chouquettes qui se croisent mais (plus surprenant en ce qui me concerne) également Ryan Gosling, dont l'inexpressivité sert, pour une fois, son rôle. Bémol, par contre, au niveau de la bande-son qui semble constamment hésiter entre la planante mélancolie de Vangelis et les infrabasses souvent de mise chez le réal... Mais tout ça n'est rien en comparaison du défaut numéro uno de l'ensemble : son scénario - ou plutôt son absence de... Non que j'attendais du Shakespeare futuriste (le film de Scott n'étant pas non plus spécialement fourni en la matière) mais, au moins, quelque chose d'un peu plus consistant que le vague prétexte faisandé qui tient lieu d'intrigue... Sans compter qu'en corollaire (et c'est bien le pire), c'est d'un chiant. Beau, oui. Mais alors, chiant ! Il n'y absolument aucun rythme. Ça se traîne, il n'y a pas de vie et, passée la belle ouverture, on en vient à très rapidement s'emmerder. Possible que ce soit juste une question de trip dans lequel on parvient ou non à entrer. Car je reste songeur quand je lis, dans certains avis dithyrambiques, des termes comme "contemplatif", "méditatif", "philosophique" et que sais-je encore. J'ai, pour ma part, juste trouvé ça plat, inintéressant et long, très long, beaucoup trop long - 2h30 (!) qui semblent en durer le double... Je m'avoue curieux quant au résultats du box-office car je ne vois pas comment un tel machin va pouvoir se payer un bouche-à-oreille autre que désastreux...
  11. J'ai, dans le genre, toujours aussi trouvé étonnante la dégringolade de certains réalisateurs venus des antipodes (même si, dans leur cas, le passage à Hollywood explique, peut-être, bien des choses). Russell Mulcahy, Simon Wincer, Geoff Murphy, Lee Tamahori, Alex Proyas (et j'en oublie sans doute) qui ont, tous, signé des premières oeuvres marquantes et originales. Avant d'ensuite, tous, dériver vers quelque chose d'étonnement convenu, entre titres quelconques, suites inutiles et DTV anecdotiques dont aucun, de près ou de loin, n'a jamais approché la force de leurs essais de jeunesse. Curieux...
  12. De voir évoqués les frangins Hughes me fait, du coup, penser à leur contemporain John Singleton. Lui aussi avait démarré très fort avec Boyz n the Hood, film emblématique de son temps. Avant de décevoir avec Poetic Justice et Higher Learning. Puis se diriger vers un cinoche mainstream où se côtoie le sympa comme le moins bon (Shaft, 2 Fast 2 Furious, Four Brothers). Et bifurquer depuis quelques années vers la télé...
  13. Richard Kelly m'en semble être l'archétype. Lui qui, avec Donnie Darko, s'était vu propulsé dans la stratosphère. Puis avait subi un net coup d'arrêt avec Southland Tales. Avant de méchamment dégringoler avec The Box. Jusqu'à purement et simplement avoir, aujourd'hui, disparu des radars...
  14. Personne, n'a du coup, posté les deux autres courts constituant des mini-prologues au film ? Après un deuxième fort dispensable, mettant en scène Bautista, le dernier (tout juste dévoilé), a été conçu par nul autre que le sensei Shinichiro Watanabe ! rrZk9sSgRyQ De quoi rappeler la belle (?) époque des Animatrix...
  15. Il s'agissait donc d'une adaptation fidèle.
  16. Il serait bien plus original (et snob) de voir la suite.
  17. Je serais curieux de voir la version censément bien rythmée et qui met mal à l'aise. Parce que ce à quoi j'ai eu droit, c'est un machin mou, mal foutu, bien trop long pour ce que ça raconte et dont on sent en même temps qu'il manque des bouts (comme si plein de scènes avaient sauté mais que, manque de pot, celles qui restent se traînent laborieusement). Ce qui ne fait que confirmer, par défaut, à quel point uniquement se concentrer sur les mômes, en éjectant la partie "adultes", était une belle idée de merde. Sans compter que l'interprétation est, globalement, bien faiblarde. Que c'est bourré de clichés. Et que l'ensemble se montre si appliqué et aseptisé qu'il en devient fort inoffensif. En fait, comme indiqué dans les avis précédents, j'ai plus eu l'impression de voir un Elm Street-like (avec Pennywise en lieu et place de Freddy) qu'une adaptation de King. Et puisque tout le monde les compare, je trouve que Stranger Things (qui m'en avait pourtant touché une sans faire bouger l'autre) parvenait à mieux restituer l'ambiance si particulière qu'on trouve dans les ouvrages de l'écrivain - celui-ci, tout particulièrement. Et il fracasse le box-office partout où il sort ? Eh ben, misère...
  18. ET COMME ILS ONT RAISON ! (parce qu'ils n'oublient pas que l'important, c'est de continuer de danser)
  19. Nice Panda

    Hellboy - Neil Marshall

    TOUT LE MONDE AIME NEIL MARSHALL !
  20. Nice Panda

    Hellboy - Neil Marshall

    Absolument - j'avais lu de travers. (et je trouve que si, il ressemble plus au perso de la bédé. J'aime, de toute façon, si peu les deux films de Del Toro que n'attendez pas la moindre objectivité de ma part à ce sujet. )
  21. Nice Panda

    Hellboy - Neil Marshall

    Ah, non ! Avec Marshall aux commandes, ça risque justement d'être au moins plus péchu et surtout plus fidèle à l'esprit de Mignola (rien que le perso ressemble bien à celui de la bédé) que les machins de Guillermo.
  22. J'allais dire la même chose. C'est même dans celui-ci, si jamais tu cherches.
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