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Nice Panda

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Tout ce qui a été posté par Nice Panda

  1. J'avoue n'avoir, pour l'instant, toujours pas réussi à dépasser les vingt premières minutes (lesquelles m'ont semblé durer vingt heures).
  2. MAIS BORDEL, JE L'AI VU EN SALLE ! MON CERVEAU L'AVAIT OCCULTÉ !!!! NE CHERCHEZ PLUS ! LA VOILÀ, MA PIRE SÉANCE DE TOUS LES TEMPS !!!!!!!!
  3. De ce que j'ai compris, le film se pose en suite directe du 2 et occulte tout le reste. Ouais, c'est pratique...
  4. J'avais aussi réussi à oublier L'apollonide... Sinon (en plus de celui-ci), je garde un souvenir particulièrement atroce du Gerry de Gus Van Sant, de Foxcatcher et de The Assassin de Hou Hsia Hsien. Ainsi que tous les Gilliam depuis Tideland (inclus). Tous regroupant ce que je hais peut-être le plus au ciné (et dans l'art en général) : la prétention creuse, le vide camouflé en vaine pseudo-beauté pucturale, l'ennui à son stade absolu. Rien qu'y repenser réveille un ulcère...
  5. Ton abnégation force le respect.
  6. Je confirme pour le doc Welcome to Death Row : exhaustif, très bien documenté et étonnement peu langue de bois.
  7. Ceux qui regrettent les années 80 ne les ont pas vécues.
  8. Personne pour regretter que n'ait pas duré plus longtemps la scène durant laquelle
  9. Il est curieux qu'ils aient omis que Orson Welles a participé à ce fameux film (qui semble effectivement à chier par les yeux).
  10. The Defiant Ones, ça pèse. Mais c'est vrai que la fin verse tant dans l'auto-congratulation satisfaite que ça en devient obscène. Sinon, Netflix a plusieurs docs autour du hip-hop, en général tous sympa (même si partisans comme il faut) - comme, par exemple ntre autres, l'excellent Stretch and Bobbito.
  11. En parlant de marketeurs, je me demande si ceux de Star Trek ne sont pas pires encore, avec leur manie de détourner n'importe quel jouet lambda, lui apposer l'étiquette de la série et en faire soudainement un produit officiel. Magie !
  12. Rien, dans le malaisant, ne vaudra
  13. Mise en ligne, aujourd'hui sur Netflix, de quatre nouveaux épisodes consacrés, comme annoncé, à Star Trek, aux Transformers, aux Lego et à Hello Kitty.
  14. Sans être aussi catastrophique que ce que les premiers échos laissaient entendre, ça reste néanmoins l'archétype du machin qui ne sert à rien. Tout ce que les fans idiots attendent y est (rencontre entre Solo et Chewie, vaisseau gagné au poker, raid de Kessel : check, check et re-check) mais sans aucune idée originale ni la moindre plus-value - comme, par exemple, les grandioses visuels apportés dans son segment par Gareth Edwards ( ) L'ensemble m'a fait même penser à un mix entre Rogue One (pour le genre spin-off/prequel inutile) et SW7 (dans le côté balisé de la première à la dernière image). C'est plat, terne et routinier : sans qu'on sache s'il faut plus blâmer un Ron Howard aussi fade que d'habitude ou les cadres de Disney qui, entre les produits Marvel et la présente saga, poursuivent leur entreprise de nivellement par le milieu. Sinon, on était une dizaine dans la salle : de quoi annoncer un box-office des plus faramineux...
  15. Je ne comprends pas. Ça (re)marche aussi, sauf pour certaines vidéos spécifiques. Ou c'est mon ordi qui fait des siennes. Bref... V7CjXzyA92s
  16. Toby, un jeune réalisateur de pub cynique et désabusé, se retrouve pris au piège des folles illusions d’un vieux cordonnier espagnol convaincu d’être Don Quichotte. Bon tout le monde connait l'histoire de la malédiction du tournage maudit ou a vu Lost in La Mancha, inutile de revenir dessus. Au-delà de la sensation bizarre de voir débarquer un film dont il était admis qu'il n'existerait jamais, que vaut le résultat final ? Ben, j'ai détesté ou pas loin... Faut déjà dire que je suis loin d'être fan hardcore de Gilliam dont le dernier titre regardable remonte, pour moi, aux Frères Grimm. Mais je pensais que cette oeuvre en particulier, qu'il a portée pendant si longtemps et si chère à son coeur, saurait faire sortir le meilleur en lui. Sauf que non... Passée une chouette intro (à vue de nez, les vingt premières minutes), tout se délite dès que le perso joué par Adam Driver rencontre le fameux Quichotte. Dès lors, on a droit au pire du réal : jeu hystérique de quasi tous les acteurs, onirisme de pacotille, fatigant jeu constant entre le réel et l'imaginaire, scénar incompréhensible et (pire que tout en ce qui me concerne) rythme abominable - l'ensemble, qui fait déjà plus de deux heures, semble en durer le triple. C'est mou, laid, sinistre... Au final, en fait, je ne comprends pas où Gilliam veut en venir. Ni pourquoi il a, à ce point, voulu porter à l'écran précisément CETTE histoire. Et si certains évoquent une "oeuvre testament" (j'ai plusieurs fois vu revenir le terme), c'est plus dans le sens où on sent qu'il n'a plus à rien à dire et/ou ne sait plus comment l'exprimer. Après, encore une fois, son univers ne me touche que peu et peut-être un admirateur ressentira-t-il le tout de manière différente. Mais, bon...
  17. Nice Panda

    The Predator - Shane Black - 2018

    Mais c'est que le teaser est entre-temps sorti, dites donc ! 5QKfPX-MV-g Et le moins qu'on puisse dire est qu'il laisse dubitatif...
  18. WTF ? Je comprends rien, ça semble varier d'une vidéo à l'autre. Bref...
  19. Mon QI ne doit pas s'arranger car je ne parviens plus à intégrer des liens en provenance de YouTube (et j'ai pourtant l'impression de tout bien faire comme il faut)...
  20. Je l'aime bien, ce film. Hopkins se démarque astucieusement du premier en version urbaine et ça le fait plutôt pas mal (dans mes souvenirs, en tous cas). N'avait-il pas marché à ce point pour qu'on ait ensuite été sevré de la créature durant autant de temps ?
  21. Nice Panda

    Papillon - Michael Noer

    Ah, encore le coup du "il s'agit d'une adaptation du bouquin originel et non pas d'un remake, pensez bien qu'on ne mange pas de ce pain là, non, monsieur" ?
  22. Typiquement le genre d'affiche qui promet plus que ce que le film offre en réalité (de mémoire, l'ensemble n'était pas désagréable mais quand même bien convenu).
  23. Un peu pareil que tout le monde : c'est bien, très beau, drôle par moments, triste juste ce qu'il faut mais l'ensemble (tout en restant élégant d'un bout à l'autre) ne possède rien de vraiment renversant. Et reste, en tous cas, fort loin de l'euphorisant Fantastic Mr Fox - ce film de l'amour qui ne s'use en rien, malgré les visionnages répétés...
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